Ongoing 5/9
New Yorker Drama Lover
1 people found this review helpful
6 days ago
5 of 9 episodes seen
Ongoing 0
Overall 5.0
Story 5.5
Acting/Cast 8.0
Music 1.5
Rewatch Value 2.5
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This review contains spoilers

I did not realize when I started watching this drama that, spoiler alert, suicide would be a major plot point, and I might not have started it if I had. But once engaged I was going along with it as best I could when suddenly the reason for said suicide is revealed in episode 5. So here it is: The guy is a prosecutor and is unjustly accused of professional and criminal misconduct when, instead of choosing to stay alive for his wife and child who adore him, and fight the charges, he instead decides to secretly record his suicide note with his version of the truth on a handheld recorder, say a heartfelt farewell to his daughter on said recording, and then leaves it completely to chance if anyone finds said recording on said recording device after he is dead. He even says on the recording itself that it doesn't matter if anyone finds it, but also that he is making the recording so people will know the truth. Then why does it not matter if it's found or not, he does not say! He also says elsewhere, in some kind of a riddle I guess that he is committing this act so that the truth will NOT come out or be known., and it's left completely unclear how such a contradiction can exist. The problem with all this besides just seeming like very lazy writing is that the stated reason for this man to commit suicide is so nonsensical, preposterous and unbelievable and counter intuitive for someone trained in and committed to the law, that it seriously trivializes suicide itself, and it is disappointing to see a show handle such a serious subject so objectionably and inartfully.

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Ongoing 6/9
Kenseiden
0 people found this review helpful
14 days ago
6 of 9 episodes seen
Ongoing 0
Overall 8.5
Story 8.0
Acting/Cast 9.0
Music 9.5
Rewatch Value 7.5

C'est ton destin, Manu !

Ishihara Satomi s'est faite rare sur les écrans ces derniers temps, puisqu'elle n'y est plus apparue depuis 2021. C'est dire si on attendait son retour avec impatience. D'autant plus, que sa destinée est liée aux productions japonaises prévues à l'export, et cela, depuis son apparition remarquée dans le succès international qu'a été Shin Gozilla en 2016. En voilà donc une série qui réunit tous les ingrédients qui en feront un nouveau succès pour la plateforme Netflix. Un amour hatsukoi et impossible, contre l'avis de la famille et des amis, façon Roméo et Juliette, 10 ans après. Un trauma insurmontable, de la vengeance. Bref, on n'échappe pas à sa destinée, de revoir se dérouler inlassablement les mêmes scénarios devant ses yeux. C'est le fardeau des fans de dramas, mais bon sang que c'est bon.

Un dimanche à la campagne
Oie blanche, incarnation de la pureté, Satomi-san vous énervera dans les premiers épisodes, mais révèlera tout son potentiel de jeu vers la mi-série. C'est d'ailleurs après l'épisode 5 qu'elle trouve vraiment un intérêt scénaristique, même si on pouvait se douter du déroulement des évènements, c'est bien comme cela que l'on espérait que les choses allaient évoluer pour nous surprendre. Et c'est en ça que les dramas sont passionnants. En se limitant aux premiers épisodes, on ne voyait rien d'autre qu'une romance "10 après" déjà tellement vu et revu, surtout si on ne regarde que Netflix. De plus, sur cette plateforme, toute référence à la culture japonaise est souvent réduite au minimum ou exagérément cliché par son caractère international.

Des acteurs au top
Que ce soient Ando Masanobu, Yamoto Yuma ou Nakamura Toru qui sont abonnés toujours aux mêmes types de rôles, c'est-à-dire le gendre idéal trompé, le support du héros gaffeur ou le mec en costume impec, ils réalisent tous les trois des prestations tout en retenu. Et clairement, cela peut aider à enlever cette étiquette, injustifiée, qui colle aux dramas japonais. Celle du surjeu. Malheureusement, je n'en dirai pas autant de Ishihara san. Pour sa période universitaire, elle minaude à chaque scène et nous rappelle ses premiers dramas. Heureusement, c'est dans sa phase procureure qu'on la préfère et arrive à nous faire transmettre clairement ses émotions, ses doutes et sa peur. Mais c'est Miyazawa Emma qui me bluffe vraiment dans ce drama, car elle a un naturel dans son jeu qui donne vraiment cette touche de réalisme à l'histoire. Kamenashi Kazuya est un cas à part Car avec un très bon jeu, on arrive à la fois à le détester et à avoir de la compassion pour lui. Peu de dialogue, mais alors une présence à l'écran qui impressionne. Là aussi pas dans sa période université qu'il est le moins convaincant, car cela sonne encore assez faux.

En conclusion, accompagné d'une musique épique, d'une production léchée et de rebondissement sans temps mort, c'est certainement une de mes productions Netflix préféré, malgré le classicisme des propos. Présentée comme une romance sur la plateforme française, on est plus dans Roméo et Juliette que dans Premier Baisé. Soyez prévenu, il n'y aura pas de dépôt de plainte possible.

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Destiny (2024) poster

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