Le fils du mari de ma mère est-il mon frère ??? Grande question !
Bon, moi, j’avoue tout, et j’ai même pas honte, j’adore ce drama !!
Pourtant au niveau du kitsch, c’est un champion, mais justement, le kitsch à ce degré-là, ça devient de l’art !
Les coiffures et tenues incroyables de Ah Mong, le côté affirmé « regardez bien, je suis un mauvais garçon » son comportement soit-disant de voyou… On voudrait qu’ils soient tous comme ça, les voyous, le monde serait plus heureux !
Bon toute l’histoire tourne autour du fait que lorsque un homme et une femme chinois (ou coréen, d’ailleurs) se marient, les enfants deviennent aussitôt frère et sœur et donc amour interdit ! Jamais, pas une demi-seconde, on ne doute de qui finira avec qui, mais l’histoire est racontée avec énormément de gaîté, les dialogues sont loin d’être idiots, les questions existentielles que se posent les jeunes gens sur l’avenir, la famille, l’amour, le mariage, la parenté sont bien pensées, et même assez fines et réfléchies. Cliché, vous dites ? Et oui, mais la vie est en fait un énorme cliché, ne la passe-ton pas à chercher l’âme sœur, à chercher sa voie, à choisir et assumer ses choix ?
Il y a tout cela dans Devil beside you, et partant d’une histoire plus que banale, la mayonnaise prend magnifiquement !
Il faut dire que le trio principal d’acteurs y est pour beaucoup ! Mike He a un charme dévastateur, Rainie Yang une fantaisie et une drôlerie qui n’enlève pas l’émotion quand elle arrive, et King One, en ami sûr et toujours là apporte une force tranquille non dénuée d’humour et de courage quand il affronte au sabre le père se sa petite amie ! Un mot pour le couple drôlissime de la mère de Qi Hue et le père de A Meng. Bon si le surjeu vous fait fuir, passez votre chemin, mais c’est la loi du genre, c’est fait pour, comme on dit !
Alors, bien sûr, il y a tout : l’antagonisme qui devient l’amour, les amours contrariées, les choix cornéliens, le traditionnel « je t’aime mais je te quitte » et bizarrement, celui-là, il me convient, je le supporte, la rivale qui débarque , l’ex-petit ami qui arrive, le frère qui avait disparu… Tout, je vous dis !!
C’est le charme même de ce drame : c’est un délicieux plat cuisiné auquel ne manque aucun ingrédient, intelligemment dosés et dont les goûts et les arômes se marient parfaitement !
On ne peut pas le regarder sans avoir envie de rire bêtement, quand on n’a pas une petite humidité au coin de l’œil…
Inconvénient : 2005, le chinois, l’image médiocre, les sous-titres français par dessus le chinois, et les chansons …. mais quand même, on se demande bien pourquoi on l’aime, mais quand on le (re)commence, on ne le lâche pas !
Pourtant au niveau du kitsch, c’est un champion, mais justement, le kitsch à ce degré-là, ça devient de l’art !
Les coiffures et tenues incroyables de Ah Mong, le côté affirmé « regardez bien, je suis un mauvais garçon » son comportement soit-disant de voyou… On voudrait qu’ils soient tous comme ça, les voyous, le monde serait plus heureux !
Bon toute l’histoire tourne autour du fait que lorsque un homme et une femme chinois (ou coréen, d’ailleurs) se marient, les enfants deviennent aussitôt frère et sœur et donc amour interdit ! Jamais, pas une demi-seconde, on ne doute de qui finira avec qui, mais l’histoire est racontée avec énormément de gaîté, les dialogues sont loin d’être idiots, les questions existentielles que se posent les jeunes gens sur l’avenir, la famille, l’amour, le mariage, la parenté sont bien pensées, et même assez fines et réfléchies. Cliché, vous dites ? Et oui, mais la vie est en fait un énorme cliché, ne la passe-ton pas à chercher l’âme sœur, à chercher sa voie, à choisir et assumer ses choix ?
Il y a tout cela dans Devil beside you, et partant d’une histoire plus que banale, la mayonnaise prend magnifiquement !
Il faut dire que le trio principal d’acteurs y est pour beaucoup ! Mike He a un charme dévastateur, Rainie Yang une fantaisie et une drôlerie qui n’enlève pas l’émotion quand elle arrive, et King One, en ami sûr et toujours là apporte une force tranquille non dénuée d’humour et de courage quand il affronte au sabre le père se sa petite amie ! Un mot pour le couple drôlissime de la mère de Qi Hue et le père de A Meng. Bon si le surjeu vous fait fuir, passez votre chemin, mais c’est la loi du genre, c’est fait pour, comme on dit !
Alors, bien sûr, il y a tout : l’antagonisme qui devient l’amour, les amours contrariées, les choix cornéliens, le traditionnel « je t’aime mais je te quitte » et bizarrement, celui-là, il me convient, je le supporte, la rivale qui débarque , l’ex-petit ami qui arrive, le frère qui avait disparu… Tout, je vous dis !!
C’est le charme même de ce drame : c’est un délicieux plat cuisiné auquel ne manque aucun ingrédient, intelligemment dosés et dont les goûts et les arômes se marient parfaitement !
On ne peut pas le regarder sans avoir envie de rire bêtement, quand on n’a pas une petite humidité au coin de l’œil…
Inconvénient : 2005, le chinois, l’image médiocre, les sous-titres français par dessus le chinois, et les chansons …. mais quand même, on se demande bien pourquoi on l’aime, mais quand on le (re)commence, on ne le lâche pas !
Was this review helpful to you?