Quand l'amour rend bête... et l'arrivisme odieux...
Il faut vraiment s’accrocher et tenir bon la rampe pour résiste à l’avalanche de catastrophes qui s’accumulent sur la tête de cette pauvre Yoo Jung, qui se retrouve en prison pour 3 ans alors qu’elle est totalement innocente !
Il faut résister à l’envie permanente celui crier « mais bon sang ! Dis que tu n’y es pour rien !!! » tellement ça paraît invraisemblable qu’une femme supporte tout ça pour les beaux yeux d’un homme ! D’un homme, qui plus est, plutôt du genre « planche pourrie » qui non seulement ne la soutiendra pas mais l’enfoncera ! Sans parler de Min Hyuk, l’héritier caractériel, qui ne pense qu’à ce qu’il peut inventer pour faire de sa vie un enfer !
Il faut aussi passer sur le scénario du début qui nous fait sauter d’années en années très rapidement, juste le temps de faire un enfant, passer deux ans en prison et en sortir et là commence vraiment l’histoire.
Mais ensuite commence ce qui fait l’intérêt majeur de ce drama : les personnages, leur psychologie et leur évolution. Parce que le « méchant » Do Hun est en fait un faible, blessé par les humiliations qu’une société de classe gérée par l’argent lui a infligées, qui veut absolument monter dans ladite société, il y perdra presque son âme. L’autre « méchant » Min Hyuk, n’est qu’un enfant qui n’en finit pas de faire le deuil de sa mère, que son père ignore ou traite comme un pion, à qui on a enlevé son unique amour, et le chemin sera pour lui difficile pour devenir un homme !
Sa fiancée officielle Se Yeon (arrangement entre fortunes) semble dure et cynique, sans pitié, mais en tant que femme elle le doit si elle veut sa place à la table du pouvoir. La moins intéressante pour moi est l’héroïne, campée dans sa stature de perfection morale persécutée, mater dolorosa et victime expiatoire, qui ne se rebelle jamais, supporte tout, est un peu lassante quand même ! Il faut remarquer qu’elle est un roc autour duquel les autres tournent et soit qu’ils s’y opposent, soit qu’ils s’y appuient, c’est elle qui va générer leurs évolutions diverses !
Donc au final, j’ai suivi ce drama avec beaucoup d’intérêt, bien que, comme toujours, je l’ai trouvé un peu trop long ! Il aurait fallu équilibrer le début trop expédié et la suite trop insistante…
Très bonne distribution, Bae So Bin excellent dans ce rôle difficile, Ji Sung parfait, Lee Da Hee aussi (cette pauvre femme, si elle continue à maigrir, un coup de vent va l’emporter sur les côtes japonaises sans qu’elle y fasse attention ! ) et une mention pour Choi Wong, l’ombre, le bras droit et l’ange gardien de Ji Sung. La musique ? Je ne m’en souviens pas donc elle doit être bien !
Il faut résister à l’envie permanente celui crier « mais bon sang ! Dis que tu n’y es pour rien !!! » tellement ça paraît invraisemblable qu’une femme supporte tout ça pour les beaux yeux d’un homme ! D’un homme, qui plus est, plutôt du genre « planche pourrie » qui non seulement ne la soutiendra pas mais l’enfoncera ! Sans parler de Min Hyuk, l’héritier caractériel, qui ne pense qu’à ce qu’il peut inventer pour faire de sa vie un enfer !
Il faut aussi passer sur le scénario du début qui nous fait sauter d’années en années très rapidement, juste le temps de faire un enfant, passer deux ans en prison et en sortir et là commence vraiment l’histoire.
Mais ensuite commence ce qui fait l’intérêt majeur de ce drama : les personnages, leur psychologie et leur évolution. Parce que le « méchant » Do Hun est en fait un faible, blessé par les humiliations qu’une société de classe gérée par l’argent lui a infligées, qui veut absolument monter dans ladite société, il y perdra presque son âme. L’autre « méchant » Min Hyuk, n’est qu’un enfant qui n’en finit pas de faire le deuil de sa mère, que son père ignore ou traite comme un pion, à qui on a enlevé son unique amour, et le chemin sera pour lui difficile pour devenir un homme !
Sa fiancée officielle Se Yeon (arrangement entre fortunes) semble dure et cynique, sans pitié, mais en tant que femme elle le doit si elle veut sa place à la table du pouvoir. La moins intéressante pour moi est l’héroïne, campée dans sa stature de perfection morale persécutée, mater dolorosa et victime expiatoire, qui ne se rebelle jamais, supporte tout, est un peu lassante quand même ! Il faut remarquer qu’elle est un roc autour duquel les autres tournent et soit qu’ils s’y opposent, soit qu’ils s’y appuient, c’est elle qui va générer leurs évolutions diverses !
Donc au final, j’ai suivi ce drama avec beaucoup d’intérêt, bien que, comme toujours, je l’ai trouvé un peu trop long ! Il aurait fallu équilibrer le début trop expédié et la suite trop insistante…
Très bonne distribution, Bae So Bin excellent dans ce rôle difficile, Ji Sung parfait, Lee Da Hee aussi (cette pauvre femme, si elle continue à maigrir, un coup de vent va l’emporter sur les côtes japonaises sans qu’elle y fasse attention ! ) et une mention pour Choi Wong, l’ombre, le bras droit et l’ange gardien de Ji Sung. La musique ? Je ne m’en souviens pas donc elle doit être bien !
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