In a quiet neighborhood in Tokyo, Kobayashi Mikio lives with his younger wife, Natsuki, and a daughter from a previous marriage. Mikio also runs the small Kobayashi Printing Co., in their two-story duplex. Their life rarely changes, with the disappearance of their parrot being the most memorable event in recent memory. One day, a man named Kagawa arrives unannounced. He talks his way into landing a job at the printing company and, soon enough, moves into their house, along with his wife of a mysterious foreign ethnicity. The quiet and predictable life of the Kobayashi family is about to turn upside down. ~~ A revised, "1.1" cut of the movie was made in 2013. Edit Translation
- English
- magyar / magyar nyelv
- dansk
- Norsk
- Native Title: 歓待
- Also Known As: Kantai , Hospitality , 歓待1.1 , Kantai 1.1 , Hospitalité 1.1 , Hospitalité
- Screenwriter & Director: Fukada Koji
- Genres: Comedy
Where to Watch Hospitalite
Cast & Credits
- Sugino Kiki Main Role
- Yamauchi KenjiKobayashi MikioMain Role
- Furutachi KanjiKagawa HanataroMain Role
- Hyodo KumiKobayashi SeikoSupport Role
- Saito HarukaFumieSupport Role
Reviews
Does privacy matter?
I really have enjoyed Japanese literature - it is unique in many ways. Authors such as Kayaka Murata, Mieko Kawakami, Yoko Ogawa, Karuki Murakami - among many more whose stories border on surrealism or are surrealist, write stories that have fascinated me.This movie is along that line - it is not surrealistic but the story has an absurdity to it that is delightful and provocative and leaves the viewer to reflect on the needs of the individual verses the group. I will seek out more films by this director.
L'histoire du coucou qui prend le nid de l'autre est éternelle...
Impossible de ne pas penser à Parasite, du fait de son succès mondial, mais Hospitalité est bien antérieur, non que Bong Joon Hoo ait « copié », car les histoires de parasites qui envahissent l’espace d’un autre ne sont pas nouvelles, depuis le coucou, et en France nous avons eu « Harry, un ami qui vous veut du bien »dont j’ai un souvenir assez glaçant !Le film de Fukada, lui, choisit volontairement dès le départ le ton plutôt comique, d’ailleurs le dénouement est sans drame, avec simplement un grand ménage à faire dans une maison ravagée par une horde de squatters… ça aurait vraiment pu finir en tragédie, on ne la sent pas loin, derrière les répliques drôles et le culot incroyable de M.Kagawa, mais Fukada l’a délibérément laissée de côté, et je dois dire que j’ai aimé ce choix, qui permet d’apprécier ce film sans se sentir étouffé par l’angoisse que ce genre de situation peut impliquer (c’est mon cas, l’image de la perte de l’espace vital, du choix de vie me gêne considérablement ! ) Il y a quand même une critique assez acerbe de la lâcheté inhérente au refus de se laisser aller à être soi-même : dire à quelqu’un « va t’en de chez moi ! » n’est pas si simple quand l’adversaire utilises toutes les armes sociales pour vous donner mauvaise conscience ! D’ailleurs M.Kagawa n’est pas le squatter égoïste qu’on imagine, mais un homme qui a un projet social et qui prend en charge avec talent mais sans scrupules une communauté…
Un mot sur l’acteur qui interprète M.Kagawa avec un brio, une faconde et un abattage impayable ! C’est sûr que le pauvre Kiki a peu de chance de lui résister !
Au total, c’est un film bien moins ambitieux que ceux déjà vus, mais où la maîtrise de cadrage et et de réalisation et de direction d’acteur de Kôji Fukada est déjà bien présente. C’est un moment divertissant, drôle mais qui laisse quand même des questions sur la société japonaise…