Teenage girls Azami and Rie are leading a lifestyle full of delinquent behavior. One night, when they find a good hiding spot after being chased by mobs, Rie points out Tsukumodo, a place where they serve free food. There, they meet other people from various backgrounds with all kinds of personal problems, and the owner, a 52-year-old woman named Tsukumo Sakura. They discover that Tsukumodo, a secondhand bookstore which stands alone in Tokyo's Ota district, is a shop where people of all generations can enjoy manga but also find comfort. At the back of the bookstore is a room called Tamariba, where people with nowhere to go gather and eat the delicious oyakodon Sakura cooks for them. She serves them for free without prying into their backgrounds or circumstances. Her meals fill stomachs and also seem to warm hearts. With their hunger satisfied, the people “with nowhere to go” slowly start to talk to Sakura about themselves, and she listens to them. Sometimes she encourages them with a smile. At other times, she cries with them. She loves to say, “It’s all right to cry when you want to. The teardrops that fall will simply burst into flowers of happiness.” Meanwhile, Sakura herself has to face a tragic past. An incident 16 years ago spurred her to make oyakodon for free. When Azami and Rie visit Tsukumodo and Sakura decides to cook them a meal, time starts to rewind. Edit Translation
- English
- magyar / magyar nyelv
- dansk
- Norsk
- Native Title: さくらの親子丼
- Also Known As: Sakura's Oyakodonburi , Sakura no Oyakodonburi , Sakura no Oyakodon Season 1
- Director: Abe Yuichi, Kinouchi Kento
- Screenwriter: Shimizu Yuuki
- Genres: Food, Life, Drama
Cast & Credits
- Maya Miki Main Role
- Yoshimoto MiyuNinomiya AzamiSupport Role
- Motokariya Yuika Support Role
- Daichi NobunagaTsukumo Yuhei [Sakura’s son]Support Role
- Tsukada RyoichiNakanishi ShuntaSupport Role
- HaogoTamaki Gen / “Gensan”Support Role
Reviews
Un grand bol d'amour
La sortie fin 2020 de la 3e saison de ce drama me donne l'occasion de parler d'une des plus touchantes réalisations sur les relations entre enfants et parents. Et en particulier les relations mère-fille.Avant de visionner ses nouveaux épisodes, j'ai relancé la première saison avec plaisir afin de me replonger dans ce lieu rempli de nostalgie qu'est la librairie d'occasion de Sakura la reine des oyakodons. Magnifiquement jouée par Maya Miki, qui reste la maman rêver de tous les ados en perdition, on apprend assez vite pourquoi elle s'est mise à recueillir et nourrir tous les chiots errants de Tokyo, rejetés par leur famille et une société japonaise pas si structurée que ça. Sa propre histoire touchera autant que celles de ses petits protégés, croyez-moi.
Cellule familiale explosée, disparition des parents, d'un enfant ou mère étouffante .... Tout y passe et on pourrait craindre que la série plonge rapidement dans le patosse et l'artificiel, avec une Joséphine ange gardien qui résout tous à coup d'oyakodon magique. Mais rassurez-vous, dans cette première saison rien n'est tout blanc ou tout noir comme un feuilleton de TF1. La couleur est très grise, quand même, car les situations sont extrêmement dures et réalistes. Les larmes couleront en cascade. Pour le spectateur en tout cas, car les personnages sont si cabossés par la vie que la coquille est dure à fendre.
Le duo Maya Miki - Yoshimoto Miyu fait des merveilles, tant leurs douleurs se percutent et nous est renvoyée décuplée. Formant un couple mère-fille malgré elles, parviendront-elles à garder leur relation intacte lorsqu'elles seront rattrapées par l'horrible passé qui les relie. Yoshimoto Miyu qui montre un caractère bien trempé, comme Maya Miki en grande fan de boxe qui se respecte, est très juste dans son rôle et on se sent un peu abandonné de ne pas la retrouver dans plus de drama récents. Si un producteur pouvait réunir à nouveau le public avec cette jeune actrice, telle Sakura réunissant parents et leurs progénitures dans un bol d'oyakodon pour le plus grand bonheur de ses invités.
Il est toujours intéressant de voir à quel point une idée simple peut aboutir à une belle production artistique. L'oyakodon, plat ultra populaire auprès des enfants et des parents japonais, à la fois simple, avec son mélange de poulet et d'oeuf sur donburi, mais tellement plein de poésie. Symbolisant les retrouvailles entre parents et enfants. La bouffe préoccupation numéro un au Japon, mais toujours empreint de philosophie. J'adore (les deux).
La musique, loin d'être grandiloquente, mais complètement essentielle, vous accompagne avec justesse et restera longtemps en tête, jusqu'au rap susurré de Hilcrhyme qui fait office d'Ending parfait. Parfait, comme cette saison qui me paraissait suffire à elle-même. Mais les producteurs en ont décidé autrement. Affaire à suivre donc, en espérant que manger trop de fois le même plat ne va pas conduire à l'indigestion.
Itadakimasu !