The series follows Tomura, a young screenwriter whose promising career in the television industry collapses after he is falsely accused of causing a fatal accident during the production of a TV show. Branded as a "murderous writer" and ostracized, he finds himself at rock bottom. One day, he meets Akizawa, a producer who praises his creative ideas and offers him an opportunity to contribute to a mysterious "death game" project. Akizawa reveals she is part of a secret organization, Dreamia, that orchestrates deadly games for indebted individuals as a last hope for redemption. Although conflicted, Tomura ultimately joins Dreamia, where he meets an eclectic group of colleagues. As he navigates this dark new world, Tomura struggles with his guilt and begins using his role to seek revenge on those who wronged him. (Source: Japanese = KTV || Translation = MyDramaList) Edit Translation
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- Native Title: デスゲームで待ってる
- Also Known As: Desu Geemu de Matteru
- Screenwriter: Suwa Masashi
- Genres: Thriller, Drama
Where to Watch Death Game de Matteru
Cast & Credits
- Hyuga WataruTomura TakumaMain Role
- Umezawa MinamiAkizawa NagomiSupport Role
- Namioka KazukiSetouchi TsuneSupport Role
- Hamatsu TakayukiOsanai SosukeSupport Role
- Miyama KarenKino MadokaSupport Role
- Komiya HironobuKonishiSupport Role
Reviews

La vengeance aux deux visages
Avec Death Game de Matteru, nous allons une nouvelle fois réviser nos classiques en matière de Fukushū Dramas. Et ce, pas seulement en raison de l'homonymie entre les termes « réviser » et « vengeance » (je sais, je me la raconte, mais je ne pouvais pas m'en empêcher). Tous les poncifs inhérents à ce genre si populaire au Japon vont se dérouler sous vos yeux blasés, au fil de 11 épisodes de 25 minutes chacun. Un exploit, compte tenu de la courte durée de la série.Et alors que vous vous apprêtez peut-être à passer votre chemin ou à savourer un Gedō no Uta bien plus brut et incisif, sachez que ce drama mérite néanmoins qu'on s'y attarde. J'ai rarement vu une telle audace dans ce genre souvent balisé, ou dans les Death Games, un registre qui semble avoir atteint le niveau zéro de la créativité depuis Battle Royale et Squid Game.
La présence de Hamatsu Takayuki, acteur principal de One Cut of the Dead, aurait dû vous mettre la puce à l'oreille. Bien que les premières minutes, voire les premiers épisodes, ne soient pas particulièrement impressionnants – et mettent même mal à l'aise, tant les personnages paraissent dénués de toute compassion ou sens moral –, le scénario prend rapidement une tournure inattendue. Malgré la fadeur des autres acteurs (y compris Hamatsu lui-même, ce qui parait peut-être volontaire) et des personnages très caricaturaux, qu'il s'agisse des intimidateurs ou des victimes, le point de départ – des Death Games clandestins, mais filmés – n'est qu'un prétexte pour réunir, façon Friends, une bande de losers dans un même appartement. Vous ressentirez sans doute, comme moi, un certain malaise face aux sourires et aux rires joyeux de cette agence événementielle qui organise ses premiers jeux clandestins avec succès, bien qu'ils se soldent par la mort des participants. Des pourritures, certes, mais après avoir vu Gedō no Uta et son casting buriné, il est difficile de pardonner ce manque de remords et de tourments à nos jeunes Idoles ou Johnny's qui forment celui de cette série. Certains spectateurs arrêteront probablement leur visionnage après les deux premiers épisodes. Pourtant, c'est précisément parce qu'il en restait neuf que je me suis dit : On ne peut pas en rester là.
Avec peu d'effets spéciaux, une production modeste et des acteurs peu connus, ce drama aurait pu sombrer dans la médiocrité. Cependant, malgré ses défauts, la suite mérite un coup d'œil. Malheureusement, un nanar reste un nanar, et malgré quelques bonnes idées qui rappellent One Cut of the Dead, on est déçu par le manque d'ambition. Jusqu'à la dernière image, aussi clichée que possible. Le côté Friends n'est pas suffisamment développé, les moments d'humour ne sont pas assez poussés. Pouvant être pris comme une parodie de SAW, il y avait matière à se lâcher, mais la production hésite constamment entre le sérieux et la folie, si bien que l'ensemble reste fade.
Dommage, l'idée de départ était prometteuse, mais les choix réalisés ont été les mauvais. Pour une bonne parodie de Death Game, on attendra encore.