This review may contain spoilers
J'adorerais les voir s'inviter à dîner pour une seconde saison
Mal aimé et sévèrement critiqué, The Director Who Buys Me Dinner (TDWMD) est une belle romance de bureau avec sa pointe de fantasy, des personnages intéressants et une note d’espoir à la fois surprenante et séduisante. Et cela, malgré sa courte durée.
The Director Who Buys Me Dinner est une histoire séduisante qui manque de développement en raison de sa durée. Il s’agit d’un format d’à peine dix épisodes d’une quinzaine de minutes – génériques et récapitulatifs des épisodes précédents inclus. Mal aimé par la plupart et boudé pour son final, j’y ai pourtant trouvé un attrait unique. Entremêlant une romance de bureau et une pointe de fantasy, cette histoire regorge de moments entraînants malgré une narration précipitée.
Le couple possède un charme indéniable, même s’il manque une petite étincelle lors des premiers épisodes. Et s’il manque un peu d’alchimie au début, c’est une situation qui évolue au fil de l’intrigue. Leurs interactions en tant que couple sont convaincantes pour la durée allouée, et sans en faire plus que nécessaire.
Un autre attrait de ce couple est le contraste qu’ils projettent. Park Young Woon possède des traits droits et saillants, lui donnant un air plus froid, exactement comme Min Yu Dam. Tandis que Park Jeong Woo affiche des traits plus en rondeurs, doux et chaleureux, ce qui colle parfaitement à Seol Dong Baek. Bref, le charme élégant de Min Yu Dam s’oppose parfaitement à celui plus doux de Seol Dong Baek.
En revanche, le personnage m’ayant laissé perplexe est Denis (Jang You Sung). Au départ, je pensais que Denis pouvait être lié à leurs vies antérieures, ce qui n’est pas le cas. Par conséquent, il n’est qu’un élément perturbateur sans réel enjeu si ce n’est appuyer sur le bouton rouge pour le dernier épisode. Enfin, le final est un retournement de situation inattendu qui fait son effet !
<< SPOILER >>
La fin m'a rappelé Kissable Lips (KL) de la même réalisatrice. Une fin qui sortait des sentiers battus, brisant le cycle des fins habituelles. C'était surprenant et en accord avec l'ensemble de l'intrigue. D'autant plus qu'une fin, ne veut pas dire la fin de tout. C'est un chapitre qui se ferme et un nouveau qui attend de commencer. Contrairement à KL, la fin de TDWMD active le paramètre d'espoir.
<< / SPOILER >>
Au fond, le réel défaut de ce drama est d’être beaucoup trop court. Malheureusement, c’est aussi l’une des plus grandes frustrations des KBL. Des idées entraînantes, mais des formats trop serrés pour exploiter tout leur potentiel. Néanmoins, il reste un plaisir non discutable pour moi. Dans la même veine que A Breeze of Love qui malgré un succès mitigé est l’un de mes KBL préférés.
En bref, trop court pour exploiter tout son potentiel, The Director Who Buys Me Dinner dégage malgré tout un charme unique avec des personnages attrayants et une jolie note d'espoir.
The Director Who Buys Me Dinner est une histoire séduisante qui manque de développement en raison de sa durée. Il s’agit d’un format d’à peine dix épisodes d’une quinzaine de minutes – génériques et récapitulatifs des épisodes précédents inclus. Mal aimé par la plupart et boudé pour son final, j’y ai pourtant trouvé un attrait unique. Entremêlant une romance de bureau et une pointe de fantasy, cette histoire regorge de moments entraînants malgré une narration précipitée.
Le couple possède un charme indéniable, même s’il manque une petite étincelle lors des premiers épisodes. Et s’il manque un peu d’alchimie au début, c’est une situation qui évolue au fil de l’intrigue. Leurs interactions en tant que couple sont convaincantes pour la durée allouée, et sans en faire plus que nécessaire.
Un autre attrait de ce couple est le contraste qu’ils projettent. Park Young Woon possède des traits droits et saillants, lui donnant un air plus froid, exactement comme Min Yu Dam. Tandis que Park Jeong Woo affiche des traits plus en rondeurs, doux et chaleureux, ce qui colle parfaitement à Seol Dong Baek. Bref, le charme élégant de Min Yu Dam s’oppose parfaitement à celui plus doux de Seol Dong Baek.
En revanche, le personnage m’ayant laissé perplexe est Denis (Jang You Sung). Au départ, je pensais que Denis pouvait être lié à leurs vies antérieures, ce qui n’est pas le cas. Par conséquent, il n’est qu’un élément perturbateur sans réel enjeu si ce n’est appuyer sur le bouton rouge pour le dernier épisode. Enfin, le final est un retournement de situation inattendu qui fait son effet !
<< SPOILER >>
La fin m'a rappelé Kissable Lips (KL) de la même réalisatrice. Une fin qui sortait des sentiers battus, brisant le cycle des fins habituelles. C'était surprenant et en accord avec l'ensemble de l'intrigue. D'autant plus qu'une fin, ne veut pas dire la fin de tout. C'est un chapitre qui se ferme et un nouveau qui attend de commencer. Contrairement à KL, la fin de TDWMD active le paramètre d'espoir.
<< / SPOILER >>
Au fond, le réel défaut de ce drama est d’être beaucoup trop court. Malheureusement, c’est aussi l’une des plus grandes frustrations des KBL. Des idées entraînantes, mais des formats trop serrés pour exploiter tout leur potentiel. Néanmoins, il reste un plaisir non discutable pour moi. Dans la même veine que A Breeze of Love qui malgré un succès mitigé est l’un de mes KBL préférés.
En bref, trop court pour exploiter tout son potentiel, The Director Who Buys Me Dinner dégage malgré tout un charme unique avec des personnages attrayants et une jolie note d'espoir.
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