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Lorsque les désirs sont confrontés à la réalité
Le désir de Tae Ha, c’est d’aimer Ji Woon. Cependant, sa réalité est toute autre, car sur le point de se marier avec So Hee, sa fiancée. D’une certaine façon, Bad Guy traite l’infidélité comme une échappatoire pour Tae Ha. Il s’échappe de cette vie qu’il ne souhaite pas et dont il suit le chemin socialement acceptable.
Peut-on vraiment en vouloir à quelqu’un qui quitte l’homme qu’il aime pour vivre une vie « normale » ? Et pourtant, peut-on seulement accepter la tromperie qui vient des années plus tard ? Ji Woon est-il le méchant de l’histoire pour ne pas avoir résisté à l’homme qu’il aime ? Est-ce Tae Ha qui, en réalité, a besoin de lui ? À moins que cela ne soit, en réalité, So Hee qui menace clairement Ji Woon.
Le casting (au nombre de trois) était bon. Personnellement, je ne pouvais pas arrêter de regarder Park Luke. Tant pour le personnage qui se trouve malmené, émotionnellement, que pour l’acteur qui possède un charme fou. Jeong Ri U démontre aussi un peu plus de sa comédie après son passage dans Blue Boys. Quant à Kim Bong Pang, j’ai apprécié la balance entre la femme douce et mignonne et la femme blessée.
En revanche, l’ambiance manque parfois de charme. Certains plans sont beaux (sous le porche à l’extérieur du café ou la scène avec la bibliothèque en fond), mais la lumière ne permet pas d’installer réellement une atmosphère.
En bref, Bad Guy remet en question le statut social en traitant un sujet encore délicat en Corée du Sud. Mais surtout, ce court drama est un petit coup de cœur derrière ses quatre épisodes intenses, toujours accompagné d’une agréable bande son et d’un excellent casting.
Peut-on vraiment en vouloir à quelqu’un qui quitte l’homme qu’il aime pour vivre une vie « normale » ? Et pourtant, peut-on seulement accepter la tromperie qui vient des années plus tard ? Ji Woon est-il le méchant de l’histoire pour ne pas avoir résisté à l’homme qu’il aime ? Est-ce Tae Ha qui, en réalité, a besoin de lui ? À moins que cela ne soit, en réalité, So Hee qui menace clairement Ji Woon.
Le casting (au nombre de trois) était bon. Personnellement, je ne pouvais pas arrêter de regarder Park Luke. Tant pour le personnage qui se trouve malmené, émotionnellement, que pour l’acteur qui possède un charme fou. Jeong Ri U démontre aussi un peu plus de sa comédie après son passage dans Blue Boys. Quant à Kim Bong Pang, j’ai apprécié la balance entre la femme douce et mignonne et la femme blessée.
En revanche, l’ambiance manque parfois de charme. Certains plans sont beaux (sous le porche à l’extérieur du café ou la scène avec la bibliothèque en fond), mais la lumière ne permet pas d’installer réellement une atmosphère.
En bref, Bad Guy remet en question le statut social en traitant un sujet encore délicat en Corée du Sud. Mais surtout, ce court drama est un petit coup de cœur derrière ses quatre épisodes intenses, toujours accompagné d’une agréable bande son et d’un excellent casting.
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