This review may contain spoilers
buena peli pero con un final horrible y algunos por no decir casi todos son re racistas (0.o)
la peli esta buena lo malo es q se la pasan diciendo q es de piel oscura y las amigas hicieron una banda de cosas para intentar cambiarle el tono de piel re turbio y lo otro es q el final estubo HORRIBLE!!! hubiera preferido 1.000 vecesq terminara cuando le deja el libro en la puerta antes d ver ese final estuvo 0 realista y como q todo termino muy rapido y asi nomas tipo la presentadora de la nada saca el libro y llega el loco dice q la estubo esperndo y ya esta!?!! dos horas para q asparesca un 9 años mas tarde y termine asi nomas y encima ni ciquiera esta serca de ser bueno el final pero quitando eso esta buena la peli
Was this review helpful to you?
Se você ainda não assistiu Reply 1988, assista!
Ele não tem uma trama mirabolante, não tem efeitos cinematográficos, não tem mocinho e nem vilão, ele tem apenas a vida cotidiana de 5 famílias, ele enaltece a simplicidade, a juventude, o amadurecimento, o companheirismo, a cumplicidade, as boas amizades, o amor em todas as suas nuances, e é isso que o torna tão especial. Ele retrata a vida como ela é, com seus sabores e dissabores, o que faz com que a nossa identificação com o drama seja instantânea. Reply 1988 é uma brisa leve em uma tarde quente de verão.Was this review helpful to you?
Pior série que assisti
Mesmo com fois temas polêmicos que envolve a saúde e dinheiro!A série não foi tão bem, na minha opinião!
Faltou contexto na história, o enredo estava todo atrapalhado!
Só assisti até o último episódio só para ver como terminava essa série que não me agradou em nada!!!
Mesmo tendo dois temas polêmicos, que um deles leva para o ódio!
Os atores não estava em seus personagens!
Parecia mais robôs!!!
Demorei muito para finalizar essa série ou melhor eu já havia esquecido dela!!!
O que me fez me lembrar foi esse site que maravilhoso...
Was this review helpful to you?
Un chouette BL qui mériterait une meilleure note
Je ne comprends pas bien pourquoi cette romance BL thaïlandaise est aussi sous-évaluée. Ou plutôt si, une personne a tenté de l'expliquer dans son commentaire (notamment le fait que cette série est passée sur une chaîne payante et non pas sur Youtube, d'autre part il semble qu'ils n'aient pas fait beaucoup de promo etc.) mais franchement, elle n'a rien à envier à certaines daubes produites à la chaîne, souvent problématiques et neuneu. C'est peut-être ça aussi, d'ailleurs, qui gêne une partie de l'audience : que l'histoire ne présente pas de situation de viol qui plaisent tant à certains genre TharnType, mais bon, passons...L'histoire nous raconte la romance entre Maze, le patron d'une agence de communication, rigide, obsédé par l'argent et assez déconnecté de ses émotions (à part l'agacement et l'impatience, pour ça il est assez doué) et Phab, un peintre talentueux mais anticonformiste et "nature". Le peintre ayant merdé lors d'un évènement organisé par le publicitaire, il est obligé de travailler pour lui afin de rembourser sa dette, et se voit en parallèle proposer un projet de peinture qui pourrait lui rapporter encore plus gros et rembourser son débiteur plus rapidement. A côté, on suit aussi l'évolution des sentiments entre Nueng, un acteur assez connu avec qui Maze semble avoir un conflit non résolu, et Than, un ami des deux précédents, acteur débutant qui se voit proposer de jouer dans un BL avec Nueng. Une troisième romance (beaucoup moins développée mais choupinou quand même) se noue entre deux membres de l'agence de com, un gars plutôt timide et une fille discrète mais professionnelle. Cette romance accessoire, on s'en fiche un peu, mais elle a le mérite d'exister et ça ne gêne en rien les 2 autres histoires d'amour, dans la mesure où tout le reste est bien mené et ne présente pas de manque, du moins à mon sens.
Déjà pour commencer, l'histoire se passe dans un environnement professionnel et c'est très appréciable. Depuis l'an dernier, la Thaïlande prend un virage intéressant en offrant de plus en plus d'histoires sympathiques et originales qui s'éloignent du traditionnel contexte universitaire. On a donc droit à une intrigue adulte, avec des acteurs plus âgés et surtout, qui n'en sont pas à leur premier BL : Singto (Maze) était un des acteurs principaux du couple de Sotus, et Tae (Phab) incarnait Forth dans la première version de 2Moons. Sans leur décerner un Oscar non plus, j'ai toujours trouvé que Singto était assez émouvant et capable de faire passer des émotions sans paraître débile. Quant à Tae, dans ce drama il a clairement laissé tomber le balai qui semblait coincé dans son fion dans 2Moons et si je pense qu'il a encore des efforts à faire, il est en tout cas beaucoup plus naturel (je ne l'ai pas vu dans d'autres dramas, donc je ne peux pas trop comparer, en tout cas j'ai perçu une différence notable). Tout cela fait que leurs scènes sont plus matures et qu'on ne les sent pas gênés lors des moments romantiques. Alors bien sûr il ne faut pas s'attendre à des scènes passionnées de ouf non plus, mais c'est romantique et mignon, ça fait parfaitement le job et c'est l'essentiel. Si l'on ajoute à ça une histoire complète et assez originale par la nouveauté de son environnement, des personnages sympathiques ainsi que l'absence de clichés vus et revus (et fait non négligeable : pas de placements de produits à gogo !!!), on peut dire que c'est une très bonne série.
En ce qui concerne l'histoire principale, qui se passe beaucoup au sein de l'agence de communication, eh bien pour une fois on voit vraiment les gens bosser, le décor n'est pas là pour faire semblant. Alors bien sûr ça reste light et ne plombe pas le reste, mais au moins les dialogues sont crédibles. Quant à Phab, bien que son personnage de peintre soit assez stéréotypé, au moins il pratique une activité qui a du sens et qui sert l'histoire, que ce soit pour montrer la nécessité d'être inspiré et la difficulté du processus de création, ou encore le côté parfois inadapté au monde du travail de ceux qui ont des personnalités dites "artistes". Je travaille dans l'insertion professionnelle alors je sais de quoi je parle quand certains ont vraiment du mal à coller aux attentes de la société et des jobs prétendument "sérieux", avec leurs lots de codes à respecter et souvent le manque de naturel, de profondeur ou de spontanéité que ces personnes ressentent dans le monde du travail classique. Le tableau qu'il est en train de peindre est aussi une métaphore de sa relation avec Maze, donc les scénaristes ont su exploiter ce support à leur romance. Enfin, les collègues de l'agence sont tous agréables et bienveillants, ce sont des personnages qu'on apprécie et ça fait du bien.
Concernant la romance secondaire entre les deux acteurs de BL, bien que le contexte soit moins développé, il a le mérite de nous montrer certains aspects problématiques que peuvent rencontrer les débutants confrontés à des agents peu sérieux ou qui tentent d'abuser de leur position. Certes on a déjà eu l'occasion de voir l'envers du décor dans Lovely Writer, mais ici on découvre un autre aspect de cette industrie, qui est rarement abordé dans les dramas. Alors leur histoire d'amour ne casse pas des briques et il y a comme d'habitude le traditionnel malentendu (j'aime quelqu'un qui est amoureux de quelqu'un d'autre sauf qu'au final non il n'y a rien entre eux) mais là encore, elle est sympathique, donc le contrat est rempli.
J'ai lu ici ou là que certains n'avaient pas apprécié la personnalité de Maze, le patron de l'agence. C'est vrai qu'il se comporte comme un trouduc pendant une bonne partie de l'histoire et que comme d'habitude, on lui oppose un partenaire qui est au contraire très spontané et vrai dans ses sentiments, et qui se fait pas mal rabrouer. Alors en général j'ai du mal avec ce genre de scénario où un connard en fait voir de toutes les couleurs à un gentil (ou une gentille) qui va lui courir après sans faire preuve de fierté et poser de limites. C'est malheureusement fréquent dans les dramas, où l'on fait croire à l'audience (généralement féminine) qu'un connard sera transformé par l'amour et deviendra gentil une fois qu'il sera attendri par la bonté et la mignonnitude de son/sa partenaire. Soyons honnête, ça n'arrive jamais en vrai, et c'est quelque chose que je trouve extrêmement frustrant d'habitude. Notamment j'estime que les femmes (l'audience majoritaire de ce genre d'histoires), qui sont déjà victimes de micro-agressions tous les jours ne serait-ce que dès qu'elles allument la télé ou la radio, quand ce ne sont pas les différences de salaire et de responsabilité au travail... bref, les spectatrices voient déjà des relations dominant-dominé partout autour d'elles et qu'il s'agisse d'un BL ne change pas grand-chose au schmilblick : dans ces séries on vient souvent romantiser des différences de statut social, de position hiérarchique etc., et je trouve rageant de voir l'un des personnages (généralement celui auquel on s'identifie le plus) se faire humilier ou remonter les bretelles pendant une bonne partie de l'histoire. Après cette tension, cette frustration qu'on ressent à l'égard du personnage rabroué, on a BESOIN d'une catharsis, on a BESOIN que ce personnage dise stop et prenne sa revanche (pas forcément méchamment, ça peut être simplement en disant à l'autre que désormais, son avis de trouduc ne compte plus et qu'il fera ce qu'il a envie), et malheureusement cette catharsis n'arrive jamais parce que dans ces histoires c'est juste l'amouuuur qui change le méchant en gentil (et qu'il n'a pas vraiment l'occasion de s'excuser du coup, et le gentil n'a pas non plus posé ses limites). Alors qu'en vrai on sait tous que c'est faux, plus une personne continue à se comporter en carpette et plus l'autre lui manquera de respect, et ne tombera sûrement jamais amoureux. Je comprends pourquoi certains ont pu être agacés par cette histoire, sauf que justement, l'acteur qui incarne Maze a su interpréter le changement de ses émotions correctement; d'ailleurs il se comporte davantage en enfant gâté qu'en véritable con fini, donc ça va, on a vu pire (par ex. on comprend au bout d'un moment que c'est la fierté qui lui fait refouler ce qu'il ressent, et on comprend aussi pourquoi il rejette l'autre "pour son bien"), d'autant qu'on a droit à une belle situation d'arroseur-arrosé, si je peux l'exprimer ainsi. Donc pour une fois, si j'ai été un peu agacée au début, j'ai ensuite eu le plaisir de crier "BIEN FAIT ! " et oui, j'ai eu ma catharsis, et je les ai trouvés émouvants tous les deux. Ca ne vole peut-être pas très haut niveau romance, mais franchement c'était, je le répète, mignon et romantique donc j'ai passé un moment très agréable.
Pour conclure, j'ai apprécié le fait qu'il s'agisse d'une histoire adulte, qui se passe dans un contexte professionnel et pas encore vu dans un BL (du moins je ne crois pas). Les romances sont sympathiques et l'émotion au rendez-vous, avec des acteurs qui font le job et n'ont pas l'air d'être embarrassés dès qu'il s'agit de se bécoter, ce qui est déjà beaucoup quand on compare ce drama avec les productions débiles qui ont précédemment inondé le marché thaï. Ce drama mérite d'être vu, et quitte à choisir un BL, autant choisir celui-là, ça nous change des niaiseries universitaires.
Was this review helpful to you?
Non fermatevi ai primi episodi, andate avanti!
La forza di questo drama non si percepisce subito, infatti ero tentata di mollarlo dopo qualche episodio siccome non riuscivo a capire dove volesse andare a parare. Lo trovavo sciatto, piatto, inconcludente. Ma poi è letteralmente esploso affrontando argomenti quali: genitori che non accettano l'esport come un lavoro ma solo come semplici videogiochi, le donne all'interno di un contesto prettamente maschile, il marcio che si cela sui social, cosa succederebbe se un "idol" si fidanzasse, etc. Mi è piaciuto molto come sono state trattate, soprattutto gli ultimi due.Il gancio trainante di tutto lo dobbiamo per la maggiore a Xu Kai che è riuscito in questo ruolo a trascinarmi all'interno degli esport e letteralmente a catturare tutta la mia attenzione: lo trovo un attore fantastico. Tutte le scene con cui sono state bellissime, non solo perchè è bello ma perchè è proprio bravo.
Unica pecca se così la vogliamo chiamare, ma che per me non lo è stata, è la forte presenza dell'esport: alcuni episodi, principalmente quelli ambientati durante le gare, sono focalizzati sulle battaglie, talvolta riportate in 3D. Questa cosa può essere un difetto per alcuni ma a me è piaciuta molto (forse perchè mi ricorda un mio lontano passato..? Chi lo sa).
Nel complesso lo consiglio, ma davvero portate pazienza e andate avanti. Io in un futuro non molto lontano sicuramente lo riguarderò.
Was this review helpful to you?
ga bisa move on dri series ini, plot twist nya parah sih
jujur nonton nya bikin emosi, krna isinya orang licik+egois semua jdi kyk emosi sndiri.
Buat para aktor dan aktris nya PARAHHH kalian mantep bangettttttt, 10 jempol deh pokonya
apalagi acting nya Namtan dan Joss beh mantep, jujur agak kesel sm Chimon krna polos bgtt, kesel juga sm Kappook kyk ih pokonya pgn sy tabok
Tp sukaaaa sm ending ny, lucu Jane jadi sm Joss kyk ga kebayang gitu awalnya ngira nya mreka bakal jdi musu terus wkwkwk
Was this review helpful to you?
tp pas akhir”nya bikin mewek parahh, akting bagus semuaaaa, paling suka kisah nya Jarunee biarpun bikin mewek tp seru parah, apalagi yg pas dia jalan” sm Bomb, terus suka juga sama Jaya, lagunya sampe sekarang masih terngiang”
masih agak bingung sm ending ny San jdi gmn, tp berharap bgt ni series ad S2 hehe. sukaaaaa, nontonnya ga sampe 1 minggu
ad unsur bl ny dikit, tp masih bisa lah klo ditonton bareng keluarga, tp ga disaranin ya wkwkwkek
LOVE LOVE BUAT SEMUA AKTOR DAN AKTRIS YANG MAIN?❤️?
Was this review helpful to you?
This review may contain spoilers
Perjuangan
Kisah juang yang dibalut rasa cinta dan persahabatan. I want u to know that.Meskipun karakter favorit saya harus berakhir seperti itu, saya rasa itu ending yang sangat melegakan. Ini adalah salah satu film yang sangat merepresentasikan daya tarik jepang. Sejauh ini, ini adalah salah satu film jepang favorit saya. Apalagi lagu-lagu yang dimainkan dalam film ini juga sangat cocok digambarkan dengan kisah para pemerannya. Dan sekedar info, saya menyukai lagu band jepang. Mungkin itulah yan menjadi alasan saya memilih menonton film ini selain tertarik pada para pemerannya.
Untuk sekali lagi, saya sangat menyukai film ini. Semua pemeran, kisah dan juga lagunya.
Was this review helpful to you?
This review may contain spoilers
"No quiero terminar porque lx quiero o es solo temor a estar solx"
Esta es mi primera reseña en un drama... decidí empezar a dejar algunas en los que vea este año.De todos los temas presentado en el drama con el que más me sentí identificada fue en el momento en el que Yumi decide tomarse un tiempo en la relación para pensar en sus sentimientos, y si es necesario muchas veces tomarnos un tiempo para tomar un respiro y pensar en lo que realmente deseamos y no me refiero a solo en una relación sino en general. Cuando Yumi se pregunta a ella misma si teme terminar con Woong por el hecho que lo quiere o simplemente teme estar sola me recordó a mí misma ya que antes de terminar una relación me pregunte lo mismo y a diferencia de Yumi llegue a conclusión de que si era temor a estar sola, pero la soledad muchas veces no es mala a vece simplemente necesitamos ese tiempo para nosotros.
Recomiendo el drama es entretenido, tiene sus escenas bastante graciosas sobre todo con las células, aunque por momentos era un poco aburrido.
Was this review helpful to you?
Shi Won é a fã número 1 do H.O.T e conhecida por todos na escola como a "esposa do Tony", um dos membros do grupo.
A forma como Reply 1997 é contada, apresentando os alunos formados em 2002 e com suas carreiras, cria todo o suspense de o que aconteceu no passado até esse encontro escolar rolar no futuro.
Shi Won é uma personagem vivaz, enquanto Yoon Jae é centrado e focado. Tbm temos a Yoo Jung, a amiga da Shi Won, que se encarna muito bem o papel de melhor amiga de um jeito que dá pra sentir a amizade delas. Jun Hee, que sem dúvida, fez o melhor papel não romântico desse drama. O lado cômico fica todo para Jung Jae, e, Hak Chan é o aluno transferido que vem pra fechar esse grupo de amigos inseparáveis.
Eu amo a forma como esse drama é contado: com presente e passado. É uma verdadeira viagem no tempo para conhecer a magia desses adolescentes crescendo e pensando/sendo empurrados para a vida adulta.
O romance é algo que por mais que saibamos quem tem interesse em quem, é uma incógnita ter a certeza até que a verdade seja revelada, pois a trama cresce conforme os episódios vão passando. É possível ver o relacionamento saudável entre eles apesar das brigas, coisa que apenas no último episódio em uma fala é dismestificado. Eu amo a Shi Won e o Yoon Jae! ❤
Temos um interesse homossexual que foi contade de um jeito sensível e muito sentimental. No final das contas, foi o motivo das minhas lágrimas e da minha torcida por um final bonito para o personagem.
A ost ficou devendo, mas talvez seja pq foram várias músicas antigas. No entanto, "Just The Way We Love" e "All For You", os duetos do Seo In Guk com a Eun Ji, os protagonistas do drama, serve muito bem.
Eu amo quando a Coreia fala sobre juventude e primeiro amor, é diferente, e tem um jeitinho todo especial de me deixar anestesiada.
Was this review helpful to you?
This review may contain spoilers
Inkarnacyjna gra w berka.
Jest mi taaak ciężko sklecić jakoś przetrawić ten tytuł żeby dać jakiś jasny obraz o czym była ta seria.Głównym powodem jest chyba to że w tych wątkach to chyba nawet sami scenarzyści się pogubili bo koniec końców, najważniejsze pytania i spory wciąż nie są jasno rozstrzygnięte. Mało tego, mam wrażenie co najmniej pierwsze tak porządne w kdramowym życiu, że villan tej historii był najbardziej pokrzywdzoną osobą której nawet na końcu pozbawiono dobrego zakończenia.
______________________________________________________________
Głównym reklamowanym wątkiem tytułu Bulgasala jest historia mężczyzny, którego jedynym celem jest zabicie osoby, która nie dość że wyrżnęła mu rodzinę w poprzednim życiu to i na dodatek zabrała jego ludzką duszę czyniąc go tym samym nieśmiertelnym potworem zwanym Bulgasalem. Idąc dalej tropem historii poznajemy przeszłość Hwala (czyli tego Bulgasala głównego) jako przeklętego dziecka (przez Bulgasala) wychowanego przez dowódcę armii królewskiej, który staje się szanowanym i niepokonanym na "dworze" wojownikiem w walce z wrogami i potworami. Hwal w swoim poprzednim życiu zakłada rodzinę z córką swojego ojczyma (taaak przybraną siostrą), które na wskutek przekleństwa rodzi się ślepe bądź nieżywe potomstwo. Jak można łatwo wywnioskować Hwal ma nieszczęśliwe życie, wciąż będąc ściganym przez znamię przekleństwa jakie na niego nałożono i to dopełnia się w kulminacyjnym momencie w którym ów potwór zabiera duszę Hwalowi.
Sprawa wygląda na wstępie prosto do rozwiązania i napawa odbiorcę adrenaliną w oczekiwaniu na pojawienie się potwora w ludzkiej postaci ażeby wreszcie wyrównać rachunki. Powiem szczerze że wstęp i zarys historii oraz chyba reżyserska robota dawały mi jakiś naprawdę good vibe co do tego tytułu. Niby nic szczególnego w historii, ale postać nieśmiertelnego potwora, te wizualne klimaty dawały mi nadzieje że poza dobrym mordobiciem zobaczę motyw akcji i dreszczyku na tle nadnaturalnych czy raczej duchowych klimatów. Ale im dalej w las szłam tym tak naprawdę tylko więcej drzew zamiast uzasadnionego zachwytu doznałam.
No więc przeskakując już do ówczesności, poznajemy znów inkarnację złodziejki duszy Hwala którą jest Sang Un.
Sang Un całe życie ucieka nie tylko przed Bulgasalem ale i przed potworami. Dodatkowo żeby było ciekawiej, rodzina i osoby bliskie z poprzedniego wcielenia Hwala również się odrodziły jako inne osoby i jak na złość również napotyka ich na swojej drodze, gdzie ponownie walczy o ich bezpieczeństwo.
Historia mogłaby się szybko skończyć śmiercią Sang Un, gdyby nie fakt że ściga ją jeszcze jeden Bulgasal głodny jej duszy, a sama śmierć dziewczyny wcale niekoniecznie rozwiąże problem Hwala.
W ten oto sposób, mam niekończącego się berka potworów o duszę Hwala która koniec końców się okazuje nie być najprawdopodobniej jego duszą..
I tak oto drodzy państwo mamy bałagan fabularny na tle przeskakiwanki wcieleń którą ewentualnie możecie próbować rozgryźć dopiero na końcu po obejrzeniu genezy w finałowym odcinku.
**
|spoiler alert|
Od połowy serii trwa jedna dramaturgia płaczu i żalów pomiędzy Hwalem a Sang Un. Absolutnie mnie szlag trafiał od ciągłego przeskakiwania z "zabije się razem z Ok Tea Gyulem bo innego wyjscia nie ma" na "sama sie zabije/albo dam sie zabić OTG żeby oddac ci duszę Hwal" Aktorstwo w tamtym momencie... boli. Dużo generalnie tych scen każdego bohatera który był taki pick me mocno dawał mi się we znaki. Nie mogłam już w niektórych momentach patrzeć na tę dramę i przesuwałam do przodu, bo doprawdy fabuła od połowy strasznie się wlekła jakby nikt nie miał zamiaru wreszcie powiedzieć czy wyjawić jaka jest geneza tych bulgsalów, jakie są przeszłe wspomnienia Sang Un i co mamy wreszcie zrobić żeby rozwiązać problem trójki bohaterów.
Geneza jest jakoś tak prostaczna i bez wyrazu, że szybko doznaje wrażenia że scenarzystom albo brakło pomysłów albo ich jedynym rozwiązaniem było zrobić pomieszane z poplątanym tego co już mają. W praktyce wyglądało to tak że jeden bulgasal goni drugiego; jeden bulgasal chroni człowieka chcąc znowu być człowiekiem i zmieniając go w bulgasala, a z kolei ten drugi chce śmierci człowieka, żeby ten mógł doznać ulgi w cierpieniu nałożonym mu przez bycie potworem. Jedynym panaceum okazuje się nie magiczne zioło, nie zaczarowany miecz, nie ogień czy cudowne moce i rytuały a nawet zwrot duszy. Żeby wrócił jakiś porządek w tej całej gonitwie jedynym rozwiązaniem się jest pozabijanie się nawzajem dwóch bulgasalów.
Już wisienką na torcie jest fakt że Sang Un według mojego rozeznania nie jest właścicielką duszy Hwala a bardziej OTG, bo nie wiem czy pamiętacie że Hwal pierwotnie aby mógł inkarnować jako wojownik musiał zabrać duszę OGT czyniąc go bulgasalem. Więc jeśli w następnym wcieleniu OGT wymordował faktycznie rodzinę Hwala to nie mógł wziąć sobie jego duszy bo nie miał by chyba tej całej dziury co nie? Ale wciąż miał, więc samego Hwala zabiła Sang Un i jak dobrze kalkuluje to ona przetrzymuje dusze OGT w ówczesności. Wszystko by się dobrze logicznie też tu ułożyło i OGT mógł sobie zabić Sang Un odzyskując dusze ale za każdym razem coś go blokuje i zalewa sie czarną krwią. Wtedy był wątek autentycznie niezrozumiały, jakoby to Hwal musiał zabić Sang Un żeby OGT mógł być 'sobą'.
Wniosek się najwyraźniej też sam piszę, że bulgasale nie mogli mieć swoich dusz dlatego byli potworami nieśmiertelnymi. Inkarnować mogli jedynie kradnąc dusze człowieka.
Powalone co nie? Ja wciąż nie jestem pewna całej tej bezsensownej krzyżówki. Jeśli ktoś ma lepsze wyjaśnienie to dajcie znać.
Postacie drugoplanowe czyli cała inkarnowana rodzinka w zasadzie większego sensu istnienia w tej fabule nie ma poza emocjonalnymi kwestiami i robieniem zmiksowanego tła. Oni po prostu są, żyją i uciekają. Czasem tylko dzięki retrospekcjom z poprzedniego życia udaje się troszkę układać tę pomieszaną zagadkę.
A zakończenie.... porażka. No tak, najlepiej jest pozamiatać śmieci pod dywan. Wszyscy zadowolenie w nowych wcieleniach i wszystko jasne bo bez bulgasalów i wgl. Tylko szkoda że takiego OGT nie pokazano w nowym wcieleniu jakbym nie mógł sie odrodzić a przecież zachowywał się jak niewyżyta bestia w nie mniejszym stopniu niż pierwotny Hwal na instynktach.
Pytanie teraz: dlaczego? Jakby nie było to jego okradziono...
__________________________________________________________________________________________________________________
Ścieżka dźwiękowa dość nostalgiczna i spokojna. W 90% same wolne i smutne kawałki do podkreślenia historii dramatu. Aktorstwo.... ahhhh nie. Jestem bardziej na nie. Scenariusz najpewniej musiał wyciskać na aktorach tak beznadziejne dialogi i tą całą dramaturgię. Ostatnia scena doprawdy śmierdzi kilometrami Goblinem. Na największe oklaski zasługuje Lee Joon, bo świetnie po raz kolejny zresztą wcielił się w rolę potwora z duszą rozżalonego mordercy. Uwielbiam Jin Wooka ale stać go na więcej. No i to ciągłe płacze Kwon Na Ry ahhh
Podsumowanie: Drama z motywem potworów i dobrze się sprzedającym wątkiem podróży dusz. Coś na słodko coś na kwaśno. Nienajgorsze pierwsze wrażenie niekoniecznie wystarczy do końca dramy ale sądzę że warto dać szanse. Potwory na scenie wciąż ewoluują i to jest tegoroczna jego odmiana w świecie kdram.
Was this review helpful to you?
Leider nichts...
Die Produktion könnte recht gut Geld gekostet haben. Die Promotion und Aufmachung zeigt dies genauso, wie einige Schauspieler und verschiedene Drehorte, aufwendige Kostüme usw..Leider ist nicht nur die Story flach. Musicals muss man mögen, ich bin nicht der Freund davon, aber dies macht diese Serie leider weder besser noch schlechter.
Einige SchauspielerInnen sind nett anzusehen, aber ob man sie wirklich Schauspieler nennen kann? Ich habe mich durch 6 Folgen gequält, weil ich dachte, es wird besser - Fehlanzeige. Die Interaktion ist so mies, dass keinerlei Gefühle rüber kommen. Eine der schlechtesten Serien, die ich je gesehen habe. Schade.
Was this review helpful to you?
"Diriger ou être dirigé ?", telle est la question
Difficile d'aborder la critique de Drive My Car, tant la diffusion de ce film fut précédée d'attentes fortes de ma part. Meilleur scénario à Cannes en 2021, dernier film d'Hamaguchi et surtout Nishijima Hidetoshi en vedette. Sur le papier, il a tout pour (me) plaire. Mais la hype grandissante ces derniers mois, ses 3h00 de durée affichée au compteur et une adaptation d'une toute petite nouvelle de Murakami me laissa perplexe. On le verra, avec une durée digne d'une pièce de Tchekhov, ce film est capable du meilleur comme du pire, comme tout Hamaguchi et Murakami d'ailleurs. La route risque d'être longue, sinueuse, ennuyeuse parfois, mais riche de découvertes sur les autres et sur soi-même. Alors attachez votre ceinture, car cette Review va vous conduire au bord de l'introspection.Il est vrai que j'aurai mis du temps à voir ce film, sortie en plein été en France, certainement à la va vite, puisque tout juste auréolé de sa palme du meilleur scénario. Il fallait donc vite exploiter le filon pour le distributeur. Mais avec une seule diffusion en plein milieu de la journée dans un seul cinéma du département, j'ai loupé la première salve. Parce qu'une deuxième n'est évidement pas exclue aux vues des nominations, en ce début 2022. Golden Globe, Oscar, ... Ah... quand les Américains s'en mêlent, cela va probablement ouvrir de nouveaux horizons à ce road movie d'un nouveau genre. Et en particulier à Ryūsuke Hamaguchi qui je l'espère augmentera son audience au-delà du cercle restreint des amoureux du cinéma cannois (comprendre : retraités de la fonction publique - bobos - urbains)
On a effectivement affaire ici au dernier film d'un des fleurons de la nouvelle vague cinématographique japonaise. Habitué des festivals classieux/prétentieux, Hamaguchi peut fasciner autant que décevoir. Ses films sont à la fois vus comme de chefs-d'œuvre de sensibilité, mais aussi extrêmement présomptueux. Asoko I, II n'avait enchanté alors que Senses m'ennuyait profondément, par exemples. En 3h Drive my car ne pouvait pas échapper à ses deux facettes du réalisateur, sans que vraiment l'une prennent le dessus sur l'autre d'ailleurs. Tout sera donc question de goût et de sensibilité.
Il faudra, comme souvent, passer les premières minutes, ici très racoleuses, pour toucher au cœur du film. Hamaguchi nous réserve (à nouveau) une trop longue introduction de 30 min qui laisse planer le mystère. Mais qui en fait trop côté scènes éroticos-intellos, à mon sens. Dommage cela pourra rebuter la vision du film dans son ensemble, qui commence réellement après des évènements et des révélations d'une certaine intensité. En considérant que l'histoire débute vraiment à Hiroshima, l'œuvre prend toute sa dimension et clairement, on sent qu'on s'éloigne de la nouvelle originale pour le plus grand bien du film et du spectateur. La partie métaphysique des 30 premières minutes laisse place enfin à des introspections sur les personnages et se déroule alors, devant nos yeux, une galerie de portraits originaux, rafraichissants et extrêmement humains. Très loin des premières minutes, montrant un couple trop parfait. L'un metteur en scène/acteur installé et respecté, l'autre scénariste de génie et tous les deux filant le "parfait" amour depuis des années. On sait bien que dans le Showbiz rien n'est parfait, mais là, le glamour en devenait écœurant jusqu'à ce fameux changement de contexte.
On trouvera dans ce film un foisonnement de thèmes qui vous toucheront :
Comment continuer à vivre avec l'absence de l'autre ? La reconstruction qui aurait pu d'ailleurs être symbolisée par Hiroshima, même si le réalisateur s'en défend. Le deuil, la culpabilité, la solitude, la transmission, la folie parfois proche du génie, etc ... Mais un contexte également, qui à lui seul justifie de si nombreuses nominations ou distinctions pour le milieu du cinéma.
On sait bien que jouer une personne ayant un fort handicape ou un biopic assure une distinction dans ce genre de festival, mais le milieu adore aussi se regarder le nombril. Et quand les thèmes principaux sont les acteurs, les metteurs en scène ou le théâtre classieux pour pas dire classique, l'Oscar n'est pas très loin. S'autorécompenser sur des films "intellos", c'est d'une certaine manière se racheter des Avengers et autres Star Wars qui rapportent tant de fric au cinéma, mais si peu de neurones aux spectateurs. Une schizophrénie dont sont affligés tous les bons acteurs et Nishijima Hidetoshi n'y échappe pas. Autant son jeu est extrêmement mauvais dans le récent drama Shin Hannin Flag, autant il mérite amplement ici la récompense du meilleur acteur. Qu'il aura d'ailleurs peut-être eu à l'heure où vous lisez cette critique encore plus longue que le film
L'amour du théâtre et des acteurs dégouline de ce film et moi qui n'y connais pas grand-chose, je me suis mis à m'intéresser (un peu) à Becket ou à Tchekhov. Ses longues pièces de théâtre plus ou moins contemporaines, parfois ennuyeuses, souvent prétentieuses, mais qui posent un regard sur la condition humaine ne rentrent pas seulement en résonance avec le film. Elles se confondent, sont absorbés jusque dans les longs dialogues dans cette voiture, qui malgré ce que l'on pouvait croire n'est pas le centre d'intérêt majeur du film. C'est vraiment cette mise en scène et ses jeux d'acteurs qui fascinent. Le scénario, un peu certes, mais on a le temps de le détricoter en 3h. Quelques Twists intéressants vous surprendront peut-être, mais ne vous attendez pas tout de même à un effet Ouahou !
Hamaguchi s'est amusé à reprendre les situations en réel des pièces et vous vous amuserez probablement à trouver tous ses clins d'œils classieux.
Le casting cosmopolite joue certainement aussi en la faveur de récompenses internationales, mais je ne pense pas qu'il y avait des arrières pensés United Colors of Benetton. D'ailleurs Hamaguchi avait bien l'intention de tourner en Corée, s'il n'y avait pas eu la pandémie, histoire de bien effacer le passé du metteur en scène avec un cadre plus "exotique". Du coup, je ne sais pas comment les habitants de Hiroshima doivent comprendre le choix de leur ville...
Je n'ai pas beaucoup parlé des acteurs, puisqu'ils ont tous formidables et font partie du haut du panier d'acteurs de cinéma comme de dramas en Asie. Ils aideront par leur bienveillance, mais aussi par leur propre histoire, Nishijima Hidetoshi à lâcher prise, à se laisser conduire, lui si habitué à diriger les autres... et sa voiture.
Dans l'éventualité où vous aimez un tant soit peu le théâtre, le bon jeu d'acteur, les belles lignes de dialogues, longues, mais profondes de sens... et la Saab 300 Turbo, tout de même, vous vous laisserez conduire jusqu'à la fin, on ne peut plus touchante de ce film concept, qui vous rappellera que l'important dans un voyage ce n'est pas la destination, mais la route.
Was this review helpful to you?
Un drama percutant
D.P. est un drama qui aborde un sujet sensible et qui de ce fait est parfois assez dur.Jun Ho est un gars qui semble perdu dans la vie et qui se retrouve à faire son service militaire. Très rapidement l'ambiance se dégrade et montre la violence interne aux groupes de militaires. J'ai vraiment apprécié le regard du réalisateur sans concession qui nous plonge au cœur de la violence et du désespoir des soldats.
Les nouveaux enrôlés sont harcelés et maltraités de façon assez horribles qui conduits certains à déserter l'armée. Le drama dénonce l'immobilisme des cadres qui savent ce qui se passent sans agir.
Jun Ho se fait assez vite repérer et intègre une unité qui lui permet de retourner régulièrement à la vie civile. Il doit retrouver et ramener les déserteur.
On le découvre intègre et sensible, investit dans sa mission pour sauver ses camarades.
Le coté un peu lourd de la série est contrebalancé par le personnage de Beom Gu qui est assez décalé, dans l'humour et qui apporte un peu de légèreté au propos. C'est cet équilibre entre violence militaire et humour qui rend ce drama si spécial et qui vous accroche dès les premiers épisodes.
Le rythme des épisodes est efficace et nous tient en haleine. La saison s'achève sur un twist qui annonce la 2e saison.
Jung Hae in est toujours aussi génial. Il me touche avec le moindre petit regard. Il sait faire passer des émotions sans même les exprimer avec des mots.
Was this review helpful to you?
Se suponía que iba a ser revolucionario y van, y meten a una estúpida pareja cuya presencia es prescindible. Si no la hubieran metido, les hubiera dado un 9.
Las actuaciones de las dos protagonistas fueron increíbles, se comieron el drama .
Todo lo demás, la historia, los personajes, tanto principales como secundarios, están bien.
Was this review helpful to you?
Recent Discussions
-
** Moon BAR + Starlight KTV + Moon SPA **15 seconds ago
-
Who Do You Prefer? (Kpop Ver.)47 minutes ago
-
Official Spam Thread- Report spam here1 hour ago
-
Last Korean song you listened?2 hours ago