This review may contain spoilers
Aguardando o desfecho, não foi esse o final que eu pedi!
São apenas 3 episódios, mas que doem a vida inteira...Iniciei sem muita expectativa, pensando que seria apenas um pequeno projeto para manter o ship YimWar vivo enquanto a segunda temporada de "En of love não chegava", mas posso dizer que realmente me surpreendi. A atuação dos meninos foi simplesmente maravilhosa, eu ri, chorei, torci, chorei de novo, quase desidratei no final, como foi possível tanta emoção em apenas três episódios, jamais saberei. Apesar de curtinha, não foi previsível, eu fiquei até o último segundo esperando um plow twist com meu final feliz (infelizmente não veio). E a ost... o que dizer dessa música? Linda, perfeita, a voz do War encantando, a letra da música sendo a cereja do bolo, encaixando perfeitamente na história deles. Conseguiram ser adultos, interpretando perfeitamente adolescentes e sem aquele quê de infantilidade que é normal nesse estilo de série. Os amigos de ambos, os melhores que alguém pode ter, mas ainda não engoli a "amiga" simplesmente estragar o lance dos meninos antes mesmo de começar e ficar tudo bem para ela, a mãe homofóbica conseguir seu intuito de afastar os meninos, sinceramente foram pontos que achei que poderiam ser modificados. O final é muito poético, mas muito triste... espero que a qualquer momento anunciem um episódio especial, um filme, ou quem sabe uma segunda temporada mostrando eles formados e podendo viver o amor em paz.
Was this review helpful to you?
Adorable
J'ai adoré cette petite histoire toute mignonne entre deux individus complètement à l'opposé l'un de l'autre. Les métaphores autour de l'informatique pour décrire l'un des protagonistes sont bien trouvées et exploitées comme il faut, certains dialogues sont originaux, on a droit à quelques situations amusantes et même si l'histoire n'est pas spécialement originale, comme l'ont précisé d'autres commentateurs avant moi il vaut mieux bien traiter un sujet convenu que faire quelque chose de nouveau qui va dans tous les sens. Les acteurs s'en sortent relativement bien et sont à l'aise l'un avec l'autre, et leur romance se construit de manière mignonne et logique, avec quelques moments de doutes qui permettent de consolider la relation. Je suis toujours partante quand il s'agit du thème "ennemies to lovers" mais il arrive souvent que dans les BL, ce sujet soit traité de façon assez toxique. Ici ce n'est pas le cas, au contraire les deux apprennent à s'apprivoiser et le personnage du beau gosse (désolée j'ai toujours beaucoup de mal à retenir les noms coréens) a très bien compris que brusquer l'autre n'était pas la bonne solution. D'ailleurs depuis que la Corée s'est mise à produire des BL, je ne crois pas avoir une seule fois relevé de scènes problématiques ou qui me mettent mal à l'aise, un bon point à apporter à leur crédit. Autres éléments sympathiques, les images sont souvent très belles, les cadrages bien faits, en bref même si certaines des intrigues ne volent pas toujours très hauts ou sont vite oubliables (Tinted with you, par ex.), on constate quand même, à une ou deux exceptions près, qu'ils mettent du cœur à l'ouvrage malgré le court format de ces histoires.En parlant du format, peut-être que je me trompe, mais si le nombre d'épisodes reste conforme aux précédents BL coréens (entre 8 et 10 épisodes), pour une fois ceux-ci durent plus longtemps et on a droit à près de 30 minutes, ce qui laisse le temps à l 'intrigue de se développer, nous offrant ainsi une histoire sans temps morts tout en étant complète et aboutie. Il n'y a plus qu'à espérer que ce soit une évolution positive et que les prochaines productions suivront le mouvement. Quant à la musique, d'habitude je n'y fais pas trop attention (et je suis loin d'être fan des BO asiatiques d'ailleurs) mais je dois avouer que j'ai adoré celle du générique et que je l'ai immédiatement "shazamée" pour pouvoir l'écouter dans ma bagnole.
Un seul point m'a un peu dérangée : sans vouloir spoiler, on a droit dans un des épisodes finaux à une sorte de confrontation entre un des protagonistes et une autre étudiante. Lors de cette discussion, j'ai eu la désagréable impression d'assister à une sorte de démonstration du genre "pousse-toi le mâle est dans la place et toi, ma pauvre fille, tu ne fais pas le poids". A chaque fois que je vois ce genre de scène dans un drama, le mec me paraît tout de suite moins sympathique, et c'est dommage parce que j'étais bien partie pour l'adorer sans réserve. Par chance je n'ai rien à redire sur le reste de la série, on va dire que ce n'est pas très grave, mais l'audience féminine n'a vraiment pas besoin de ce type de situations pour pimenter une romance entre mecs, on peut trouver tout un tas de ressorts scénaristiques qui feraient tout aussi bien l'affaire sans devoir passer par la case où une nana se retrouve perdante et/ou humiliée et/ou jouer le rôle de la chieuse de service.
En tout cas cela reste une jolie découverte et on passe un bon moment. C'est romantique, doux et bien mené, et en prime on a droit à plusieurs scènes de bisous donc on ne va certainement pas cracher dessus. Bref, il y a de bonnes chances pour que je le revisionne un jour.
Was this review helpful to you?
Lakorn romantique cultissime avec MIK.
Lakorn rom. culte avec MIK (acteur qui est beau en toutes circonstances) et Mookda (excellente elle aussi), qui retrace la romance entre 1 aristo militaire de grande famille et sa "cousine adoptive" issue d'une région rurale.Pour une fois, la série est relativement courte (17 ép de 1h30).
De la même façon, ce drama évite les pièges classiques des lakorn :
- quelques longueurs mais ça reste acceptable,
- ensemble pas trop mélo,
On reste dans certains clichés :
- il y a bien sûr de multiples Love ▲ et un bon nombre de conflits familiaux (la difficulté de vivre
- quelques evil characteres (l'ex qui refuse d'abandonner, tante jalouse,...)
- et l'opposition de la famille (respect et obéissance absolus aux ainés)
Mais l'ensemble est plutôt bien fait, raconté intelligemment et surtout porté par d'excellents acteurs.
Un chef d’œuvre du genre, à ne pas rater.
Was this review helpful to you?
This review may contain spoilers
"Excelente dorama com grandes lições de autoconhecimento, motivação para amar a si próprio, auto estima. Personagens maravilhosos, o chefe dela Usami interpretado por Iseya foi muito divertido, quase shippei 🤭, quando ele falava das grandes marcas, lembrava do quadro aqui figurino dos artistas 💲, e ele ajudou muito a Sayaka ( Haru) no seu crescimento. Seu par Yuichi ( Ryo) realmente era um príncipe, gostei de como tudo se desenvolveu, gostei do final , era exatamente como eu queria, dorama perfeito, vale a pena conferir ✌🏻🥰"Was this review helpful to you?
storia veloce e molto carina.
un drama cortissimo sono 34 puntate ma cortissime meno di cinque minuti ogniuna però nonostante questo la storia è carina,leggera,abbastanza spensierata e molto dolce.lui un bellissimo uomo disabile e ricchissimo si innamora di una ragazzina buffa ma tosta.Nei pochi minuti che raccontano questa storia ce un po' di tutto da tradimenti,matrimoni per convenienza,bullismo ma sopratutto loro due così dolci,nonostante la storia ci mette un po' a decolare.Per una visione velocissima e senza troppo impegno e un drama perfetto.
Was this review helpful to you?
Adrenalina e un protagonista magnifico
Una produzione adrenalinica, che conosce pochissimi punti morti e una solida trama, per quanto forse leggermente troppo allungata nel finale. A parte la solita logica che vuole sempre permettere ai cattivi di fare il loro discorsetto e ai buoni di spiegare quanto sono stati furbi a incastrarli (spesso permettendo a detti cattivi di scappare), uno dei pochi punti negativi di questo drama risiede negli ultimi 10 secondi, che vorrebbero – forse – gettare una nuova luce su tutta la vicenda. Dicono tutto e niente. Dato che non esiste una seconda serie, propendo per il niente.Altra cosa fastidiosa è il fiorire gratuito di tante coppie negli ultimi 5 minuti, ma accettiamo la cosa in nome del lieto fine. Si tratta comunque di quisquilie.
La solida realtà è che questa produzione è sicuramente una tra le migliori che abbia mai visto. Il Big Boss finale non è che non possa essere mai sospettato, e in effetti l’idea viene, durante la visione, ma così come si sospetta di tantissime altre persone. Semplicemente, la storia è complessa e ben condotta a livello di sceneggiatura. Il commento musicale aggiunge pathos alle scene più pregnanti, è veramente ben fatto.
Ma, soprattutto, è la recitazione a rendere indimenticabile questa serie. Non solo Wallace Huo è molto piacevole da guardare, è un attore coi controfiocchi e i pappafichi. Sandra Ma ha recitato alla grande e Yin Zheng, per essere all’epoca praticamente un novellino, se l’é cavata benissimo. Anche gran parte dei comprimari e secondari ha recitato sopra la media, pur se qualche finto americano lasciava un po’ a desiderare. Alcuni possono aver trovato sconcertanti i dialoghi mezzi in inglese (non ottimo) e mezzi in cinese. Posso capire lo scombussolamento, ma essendo italiana per me sono tutti stranieri e, seguendo comunque i sottotitoli, la cosa non mi ha disturbata più di tanto.
Avendo seguito questa serie a botte di 10 episodi al giorno, mi sento ora in crisi d’astinenza. Le vicende si svolgono in maniera pressante, incalzante, senza lasciare allo spettatore il tempo di tirare il fiato, si arriva alla fine ansimando… L’unica cosa che veramente mi delude è il fatto che ci sia una stagione sola. Ho adorato il complesso di superiorità del bel Bo, che ne ha ben d’onde: un Q.I. di 180 non si trova ovunque. Pazienza. Dovrò cercare qualcosa di simile. Buona fortuna a me.
Was this review helpful to you?
Interessante, ma un po' ripetitivo
Sentimenti contrastanti per questa serie. A differenza di molte altre, le ambientazioni e i costumi sono molto più poveri, perché si svolge fra gente abbastanza comune e non in regge e palazzi. Quindi quella parte di spettacolo che deriva da questi elementi non è molto presente.Gli attori sono bravi, fanno tutti più o meno il loro dovere, ma senza gridare al miracolo. Purtroppo in buona parte, e il protagonista più di tutti, sono pesantemente ritoccati in viso. Questo povero Tim Yu, di nemmeno 30 anni, perfino sotto il cerone sembra una ex diva. Bocca e gote sono così alterati che mezza faccia fatica a muoversi, ed è costretto a recitare con gli occhi. Che tristezza.
Ho gradito molto il commento musicale, con alcuni pezzi molto belli e azzeccati. La storia in sé sarebbe molto più piacevole se non si trascinasse troppo nella parte centrale. Ok, c’è un mistero da scoprire, ci troviamo in un luogo dove avvengono omicidi misteriosi, e il nostro detective indaga. Muore qualche persona, ci si sposta e si ricomincia. E così via. Troppo ripetitivo. Ho seriamente rischiato di abbandonare la visione, ma ho perseverato e ne sono contenta perché si è molto sollevato nel finale. Ci sono stati alcuni colpi di scena che mi hanno sinceramente sorpreso, e non accade spesso.
La serie può ritenersi relativamente abbastanza conclusa, ma diverse situazioni sono passibili di ulteriori sviluppi e il comparire di un nuovo personaggio negli ultimi secondi parrebbe foriero di una seconda serie. Se la faranno la guarderò, sperando che mantengano il cast.
Was this review helpful to you?
Uno dei tanti isekai, ma non uno dei migliori.
Uno dei tanti drama peso piuma, pensato (?) per far ridere con molte situazioni oltre il limite della logicità e dell’assurdo, ma non completamente privo di spunti di riflessione (le ingiustizie sociali). Dev’essere una produzione a basso costo, perché le ambientazioni e i costumi non sono né memorabili né variati, e il commento musicale è scarno e ripetitivo, ma non è questo il problema peggiore.Gli attori, per la maggior parte, fanno un lavoro dignitoso, e naturalmente Zhao Lu Si è sempre una godibilissima garanzia. Il buon Xiao Zhan fa quel che può con la parte che gli è stata affidata e anche Gu Jia Cheng si è ben difeso. Anzi, per quanto non si possa gridare al miracolo, è stato una mezza rivelazione. Adatto alla parte, via.
No, gente, il problema grosso è che dopo quasi 40 episodi di piacevoli risate, a patto di essere un po’ di bocca buona, si precipita a fine serie in una spirale di tragedia che non ha niente a che vedere con tutto il precedente, e a nulla serve la risoluzione del guaio. Il problema ancor più grosso è che l’ultima puntata è completamente assurda e il finale, appiccicato con lo sputo, non spiega nulla, lasciando al povero spettatore uno sgradevolissimo sapore di tradimento. Avrebbero potuto risolvere la faccenda in mille modi diversi. Hanno scelto il più stupido e inutile, dando così il colpo di grazia a una serie già profondamente provata da diverse manchevolezze nella sceneggiatura e dal repentino cambio di registro nel finale.
Aggiungiamoci che le scene di combattimento sono, per la maggior parte, ridicole: i cattivi che abbattono le vittime con le spade sono qualcosa di raccapricciante. Per carità, non mi dispiace di averlo visto, e a tratti mi sono anche divertita parecchio, ma di sicuro non lo riguarderò. In ogni caso, è da vedere col cervello scollegato. Dello stesso filone, The romance of Tiger and Rose ne vale mille, però.
Was this review helpful to you?
Da vedere e rivedere molte volte
Un'ottima produzione, con una magnifica coppia di interpreti e dei comprimari eccezionalmente bravi. Ma prima di qualsiasi altra cosa vorrei spendere qualche parola per la magnifica colonna sonora. Se Cocoon di Zhou Shen è alle solite vette dell'interprete che ormai tutti conosciamo e amiamo, e altre canzoni tolgono parimenti il fiato, è nelle musiche strumentali che questo drama eccelle. Una OST indimenticabile, con alcuni brani che si potrebbero solo definire geniali e che contribuiscono non poco alla riuscita del titolo. Sono diventati la colonna sonora che mi accompagna al lavoro.Togliamoci subito il sassolino dalla scarpa: ci sono alcune scene, soprattutto di battaglia, che ci vengono mostrate a disegni (il drama è tratto da un manhua). Che sia stato fatto per risparmiare o per problemi tecnici in tempi di Covid, a me non ha disturbato. Preferisco un bel duello coreografato ad una scena di battaglia d'insieme. Se puoi tirare una tenda su due che vanno a letto, puoi anche disegnare una battaglia. Non disturba la storia, non mi ha dato fastidio, anzi. Si potrebbe dire che la scelta abbia aggiunto carattere e originalità al titolo.
La storia in sé è di ampio respiro, se pure a tratti soffra delle solite esagerazioni e ingenuità che servono a mandare avanti la trama della maggior parte dei drama in costume. E' inutile lamentarsene, quando sappiamo benissimo che fa parte del genere. Prendere o lasciare. Il finale ci lascia fortunatamente un buon sapore in bocca, e anche questo è importante.
Molti si sono lamentati della differenza di età tra Dilraba e Leo. Leo Wu, che avevo conosciuto ragazzino in Nirvana on fire, una manciata di anni dopo si è rivelato un giovanissimo adulto di talento e di bellezza meno convenzionale di tanti altri, ma non per questo meno affascinante. Sinceramente, l'ho trovato il candidato ideale per vestire i panni del principe di una tribù "barbara", che ha interpretato in modo molto convincente. Della bravura di Dilraba non c'è nulla da dire: un nome, una garanzia. Anche la chimica fra i due non era certo così carente come ho visto in molti commenti, probabilmente di persone che non erano in grado di dimenticare la differenza di età fra i due. Differenza che non era affatto visibile. Se non ci sono stati baci fra di loro a causa dei limiti nel contratto di Leo, non posso dire di averne patito una gran mancanza. Tanto, diciamocelo, considerato che i baci che ci fanno vedere di solito (salvo lodevoli eccezioni, per esempio Mark Chao in Eternal love) sembrano quelli delle penitenze fra i bambini dell'asilo, non è che ci abbiamo perso molto.
Quella che invece si è rivelata molto soddisfacente è la crescita dei personaggi, a partire dalla protagonista femminile che passa dall’essere una ragazzina assetata di vendetta ad una adulta consapevole delle proprie responsabilità è di ciò che è importante per il paese che ama. Il protagonista maschile è stato magistralmente reso in tutto il suo carisma, onore, rispetto, intelligenza e nobiltà, a maggior ragione perché spicca in mezzo ad altri personaggi che di queste qualità umane sono carenti. Che un personaggio così complesso sia stato così ben interpretato da un ragazzo di vent'anni non può che fargli onore e far ben sperare per la sua futura carriera.
I personaggi di spalla sono stati ampiamente sviscerati, e magistralmente interpretati. Non sono mancati diversi colpi di scena ben condotti. Là dove ‘cattivi’ si sono rivelati essere ‘buoni’ e viceversa, non si è mancato comunque di offrire, per ognuno, solide motivazioni per il loro modo di essere e diventare. Tutto sommato, non si può fare a meno di commiserare il great boss di turno, specie se si pensa alla sua controparte storica realmente esistita, che deve aver avuto una vita infernale. Le interazioni familiari sono molto ben descritte, sia tra le tribù che nel regno.
Aggiungiamo a tutto questo un’ottima cinematografia, splendidi costumi e scenari e ambientazioni, e abbiamo un titolo a mio parere imperdibile, che non raggiunge la perfezione solo per alcune ingenuità e forzature, come detto sopra. Ma sono peccati veniali. Vorrei dimenticare di averlo visto per poterlo riguardare con gli stessi occhi.
Was this review helpful to you?
Storia, attori, costumi: una delizia.
Ottimo drama, supportato da una storia accattivante, una coppia di attori principali veramente validi, ambientazioni e costumi da urlo. Tan Son Yung è una garanzia: la sua bravura è incontestabile sia nelle parti umoristiche che in quelle tragiche. Allen Ren ha dato ottima prova di sé, e non posso farci niente se fra i due è il mio preferito: sono donna, e questo bel pezzo di figliolo, così ben vestito e che recita così bene, non poteva che riscuotere la mia approvazione. Ma anche tutto il resto del cast ha fatto un lavoro egregio: se il cattivo di turno è stato così spregevole è perché è stato così ben interpretato in tutte le sue ignobili sfumature. Anche diversi personaggi secondari sono stati ben sviluppati: nulla da dire.Finiti gli entusiasmi, giustizia vuole che si rilevi come gli ultimi due episodi siano stati un po' affrettati, la sconfitta del cattivo poco catartica, e gli ultimi 5 minuti un po' meh. Ma sono inezie. Tutti i santi finiscono comunque in gloria. Aspettatevi tuttavia la solita dose di fraintendimenti e malintesi, croce e delizia di questo genere. E poi, beh, come sempre in queste opere la CGI lascia parecchio a desiderare, ma è un difetto che si perdona quasi di default. Le scene subacquee diventano quasi umoristiche... diciamo che aggiunge carattere, e poi sono davvero poche. Il difetto è compensato dalle ottime scene di combattimento.
Was this review helpful to you?
Commediola molto gradevole
Commedia frizzante, molto ben recitata dagli attori principali, compresi i gatti. Gli amanti dei felini non potranno che adorare quest'opera. E' un drama peso piuma, fatto apposta per ridere, e si ride parecchio, di gusto. Intendiamoci, niente di nuovo sotto il sole, ma niente fatto con garbo, e splendidamente interpretato dalla coppia principale.Specialmente Xiao Kai Zhong è riuscito a calarsi nella parte del "principe gatto" altezzoso pigro e scostante ma, sotto sotto, affezionato alla sua padrona, in maniera eccelsa, complici anche i tratti del suo viso particolarmente adatti al ruolo. Tian Xi Wei ha anch'essa contribuito molto alla buona riuscita, interpretando splendidamente il suo ruolo di ragazza spumeggiante, un po' egoista, insicura, ma alla fine molto innamorata. Ottima interpretazione di entrambi, con una menzione per Zhang Guan Sen, convincente spalla del generale Miao, mentre Sun Xi Zhi, fratello minore del protagonista e rivale in amore, purtroppo poco pervenuto.
Abbiamo detto che è un peso piuma, quindi non possiamo aspettarci il meglio dalla trama. Né ci sono risparmiati diversi momenti "cringe", dove l'umorismo, ahimè, appare involontario. L'apparenza dei cattivissimi della serie lascia un po' a desiderare, in effetti, ma è superabile, così come gli effetti non troppo speciali. Sappiamo già che fa parte del pacchetto della maggior parte delle opere. Meno superabile è l'uso disinvolto che viene spesso fatto delle abilità e limitazioni del generale Miao. Le sue peculiarità, specie nella seconda parte del drama, sono spesso poco coerenti con le premesse. Il set di regole che governa le sfere e le loro proprietà sembra a volte piegarsi alle necessità della trama. Peccato. E' l'unico motivo, assieme al cast secondario piuttosto dimenticabile, per cui ho tenuto il punteggio sul molto buono anziché sull'ottimo.
Questa breve serie è una sciocchezza, fatta probabilmente con pochi mezzi, e senza tante pretese, ma svolge ottimamente il suo compito che è di farci ridere e, nel finale, anche commuovere. Non è fatta per offrirci un world building convincente o la totale coerenza. Il lieto fine, in un lavoro del genere, è d'obbligo.
Was this review helpful to you?
Comincia bene ma si perde presto
In principio non era male: simpatico, spumeggiante, allegro. Mi è piaciuta molto l'attrice protagonista, splendidamente diretta nell'interpretare sopra le righe due personalità completamente opposte. Anche la cameriera ha fatto un bel lavoro. Un po' meno gli attori, e per una donna che aspira a vedere qualche bell'uomo che reciti bene è una pecca fondamentale.Il protagonista maschile è granitico, e purtroppo non può addurre a suo difesa nemmeno un aspetto da sogno. L'antagonista nonno/nipote è un ottimo biglietto da visita per il chirurgo che l'ha plastificato: bellissimo da guardare ma, come tutte le cose di plastica, molto rigido quando cerca di muoversi. Però veramente bellissimo.
La storia non è certo originale. Durante la visione ho avuto diversi momenti di deja vu: le due anime che comunicano via lettera sicuramente le ho già viste altrove qualche decina d'anni fa, ma questo sarebbe il meno. Il problema grave sta nella assoluta mancanza di pathos durante quasi tutta la visione e nella completa illogicità di molte cose che capitano. Diversi personaggi, ad esempio lo stregone pazzoide o il cattivissimo, per non parlare di quello che da alcuni è stato battezzato come duo Rocket, sono così sopra le righe che escono dal pentagramma e rifanno il giro. Sgradevoli senza motivo.
Non si capisce bene quale sia il registro di questo show. Se è una commedia, c'è troppa tragedia, se è una farsa non fa ridere. In ogni caso, è costellata di innumerevoli momenti "cringe" in cui ti senti veramente in imbarazzo per quello che stai guardando. Sto cercando di rimuovere il ricordo. So che c'è un sequel, ma ritengo di aver già fatto abbastanza finendo di vedere la prima serie. Non sono curiosa di sapere cosa succeda dopo, e nemmeno posso dire mi interessi per amor degli attori. Zero totale. Assegno una sufficienza piena solo perché sono riuscita a finirlo, l'attrice protagonista mi è piaciuta e la prima parte è stata abbastanza divertente.
Was this review helpful to you?
Asilo Mariuccia
Premetto che sono riuscita a guardarlo solo fino a metà dell'episodio 15. Raramente ho assistito a un simile cumulo di idiozie. I personaggi, tranne rare eccezioni, sembrano bambini litigiosi e permalosi che si tirano i capelli e calci negli stinchi nel giardino dell'asilo Mariuccia. L'arte del malinteso viene portata a così alte vette che l'Everest si vergogna. Il ML almeno mostra un briciolo di maturazione nei 15 episodi che ho visto. Ma la FL continua ad essere malfidata, insopportabile, bugiarda. Il colpo di grazia me l'ha dato proprio lei, quando, appunto a metà dell'episodio 15, si offre di fare da esca per catturare dei banditi. Ma non è solo la cosa in sé, è tutto il contorno.Insomma, tempo perso. Se anche questi due alla fine riconosceranno con se stessi di essere innamorati, 32 episodi di queste corbellerie ripetitive sono decisamente troppi. Bastava la metà. Oltretutto, vedere attori sui 25 (e alcuni neanche troppo ben conservati) recitare questi ruoli da 15enni istupiditi disturba pure l'occhio. Per carità, alcuni sono anche bravini, ma cosa possono fare con questa assurda sceneggiatura? Non ci si salva neppure con le ambientazioni e i costumi, che sono decisamente semplici e poco appariscenti. Non ho nulla contro il low budget, se dietro c'è qualcosa, ma qui non c'è proprio niente, tranne noia ed esasperazione. Ho perseverato per un po' sperando che migliorasse, ma mi arrendo e vado a cercare qualcosa di meglio. Sono sicura che non sarà difficile trovarlo.
Was this review helpful to you?
This review may contain spoilers
Inizialmente si ride ma poi la sceneggiatura si perde
Un titolo che si è rivelato un po' una delusione. Insufficiente no, perché per la prima metà mi ha divertito abbastanza, ma di sicuro non mi sento di assegnare un punteggio altissimo. Parte inizialmente scoppiettando, una commedia degli equivoci in cui c’è la solita donna che si traveste da uomo per studiare medicina e potersi infiltrare nella casa della famiglia dove le hanno ucciso i genitori, per vendicare il torto subito. Ricordiamo che travestirsi da uomo, in queste circostanze, è passibile della pena di morte. Invariabilmente, i due personaggi principali si innamoreranno, con l’aggravante che il povero comandante darà di matto al pensiero di provare strani sentimenti per quello che crede essere un uomo.La storia si svolge nella casa di famiglia di un rinomato comandante dell’esercito che, ovviamente, è assurto ad alti gradi da giovanissimo ed è, altrettanto naturalmente, severo e soprattutto bellissimo. Nella prima parte del drama si ride abbastanza, sia pur senza vedere nulla di strepitoso, ma già a metà si comincia a scalpitare perché la farsa dell’identità nascosta della protagonista viene protratta troppo, e stufa. Quando finalmente la verità viene parzialmente rivelata, a due terzi del cammino, il giocattolo purtroppo si rompe del tutto: partono diverse puntate di noia, per arrivare poi ad un finale affrettato e talmente telefonato da gridare vendetta.
Nel contempo gli attori principali sembrano aver dimenticato, se pure mai l’han saputo, come si faccia a recitare. Le espressioni in qualche modo esagerate della commedia o della farsa dovrebbero lasciare il posto ad altre più misurate per gli episodi più drammatici ma, a maggior ragione, più espressive. Ciò purtroppo non accade. Il protagonista maschile pare reggere da solo, con la sua sola bellezza, non certo con la sua bravura, l’ultimo terzo della serie. Sun Qian si barcamena senza infamia e senza lode. Gli altri? In un modo o nell’altro, poco o del tutto non pervenuti. Fanno eccezione l’attendente del comandante e il dottore/mentore della protagonista. Soprattutto quest’ultimo è un eccellente caratterista, visto con la stessa bravura in Joy of life. Sinceramente qui pare quasi sprecato.
La sceneggiatura fa acqua da tutte le parti. Per tutta la serie qualcuno viene mandato a “indagare” da qualcun altro. Come, dove e con chi non è dato sapere. Diverse cose vengono lasciate in sospeso o si glissa con l’equivalente di “con l’imperatore me la vedo io”, specie per quanto riguarda il grave crimine del travestimento della dottoressa. Si sta sull’orlo della sedia per tutto il tempo aspettando l’irruzione delle guardie dell’imperatore, invano. Sarebbe stato forse più interessante vedere qualche minaccia esterna che non fosse strettamente legata agli avvenimenti del passato: il cattivo di turno, che era al corrente della mascherata, non sfrutta la cosa per nuocere alla famiglia del comandante, che odia, preferendo scegliere altre strade più “coreografiche”, ma meno sicure. La sua eliminazione, e la sua identità si era indovinata già da almeno una dozzina di episodi, non ha un briciolo di pathos, è troppo affrettata. Ci si aspetta già cosa accadrà e, in ogni caso, non viene spiegato come si sia arrivati a quel punto: come è stato scoperto costui?
Aggiungiamoci poi che non tutti i cattivi vengono adeguatamente puniti: un messaggio non proprio edificante. La crescita caratteriale dei personaggi a tratti non è molto credibile, i loro conflitti interiori generano spesso più moti di fastidio che di comprensione. Il fratello del comandante, cui è assegnato il canonico ruolo di disturbo della coppia principale, è tutto fuorché verosimile. I due cugini servono solo a farci provare dei moti di stizza per il tempo che ci fanno perdere quando sono sullo schermo. Buono il commento musicale, con alcune canzoni godibili e dei buoni pezzi strumentali, ma è un po’ poco per risollevare le sorti di questo titolo. A tratti, pare davvero che si regga sul bel faccino di Huang Jun Jie. Intendiamoci, un bel faccino che, quando sormonta i bei costumi della serie (belli ma pochi), magari con armatura e spada, smuoverebbe le montagne. E in regia lo sanno bene, visto che spesso possiamo godere di primissimi piani. Ma le sue doti di attore purtroppo non paiono, almeno in questo titolo, all’altezza del suo magnifico aspetto esteriore.
Le ultime puntate sono di una pesantezza estrema, la corsa al finale viene gestita in modo proprio pedestre, ho continuato a guardare solo perché erano proprio le ultime quattro e volevo vedere come andasse a finire. Quando un titolo ti diverte e appassiona, vorresti che non finisse mai. Se non vedi l’ora che finisca per passare ad altro vuol dire che c’è qualcosa che non va.
Was this review helpful to you?
Magnifico. Non ha, letteralmente, difetti.
Sto ancora asciugandomi le lacrime, quindi non so se potrò essere molto coerente. Credo di non aver mai pianto tanto guardando un drama, ma per fortuna le lacrime sono concentrate perlopiù nelle ultime puntate. Eppure, tutta la serie è sotto il presagio di un disastro annunciato. E’ storia, non è che potesse essere diversa da come è stata, anche se in mezzo è stata sicuramente romanzata molto.Una ragazza moderna, investita da un’auto, si risveglia nel 18esimo secolo nel corpo della figlia di un generale, Rouxi. Ben presto viene costretta ad andare a corte, dove andrà a servire l’imperatore e incontrerà un po’ tutti i principi, di lui figli. E’ abbastanza ferrata in storia, quindi conosce più o meno il destino di tutti, compreso chi sarà imperatore alla morte dell’attuale. La storia come la conosce non la soddisfa, quindi cerca ingenuamente di fare in modo di salvare più gente possibile, ovviamente invano. La storia proseguirà per la sua strada, incurante di amori, lotte e desideri. Con l’identità di Rouxi passerà l’intera sua vita lottando contro la storia, contro l’ingiustizia, anche contro l’amore. Spesso confusa dal peso delle sue informazioni e dall’amore o affetto che prova per molti dei principi, avrà una vita difficile, con poche gioie e molti dolori.
Detta così non dice molto, ma non ho provato un solo attimo di noia in tutta la visione. C’è poca azione in questa serie, ma molto intrigo intelligente. Sono poco presenti, anche se comunque ci sono, le meschinerie da harem. E’ tutto molto più focalizzato sulle lotte fra i fratelli per ottenere il trono, sulle loro alleanze, astuzie, tradimenti. La sceneggiatura è veramente fantastica, al pari con gli splendidi costumi e le ambientazioni. Magnifiche. Anche il commento musicale è molto bello e sicuramente aggiunge al pathos di molte scene.
La protagonista è veramente molto brava, così come praticamente tutti gli attori che interpretano i vari comprimari e secondari. Una menzione particolare, però, devo farla per Nicky Wu, che interpreta il 4° fratello, colui che poi diverrà imperatore (lo sappiamo praticamente da subito, non è spoiler). Nicky Wu non è giovane e bello come gli altri, ma è veramente bravissimo e davvero azzeccato per la parte. Ha saputo dare vita non a un personaggio, ma a una persona. E’ stato praticamente l’unico a farmi piangere a calde lacrime e a riscaldarmi il cuore coi rari sorrisi concessi alla sua parte, e per questo ancora più preziosi. Un grande. Una grande interpretazione per un grande drama.
Non saprei veramente dire cosa cambiare per migliorarlo, per cui posso assegnare solo il massimo dei voti.
Was this review helpful to you?
Recent Discussions
-
BL Drama Lovers Club3 hours ago
-
Novel spoilers4 hours ago
-
teacher x student BL searched4 hours ago
-
What's the Last Anime Episode You Watched? #24 hours ago
-
Last Asian Song You Listened To?4 hours ago