Toto Bank President Ichihara is in a hotel suite romancing his secretary Nana when he suddenly loses consciousness. Four women arrive to perform CPR, but their efforts to save him are in vain. They calmly rid the room of evidence, then ensure the deletion of all records pertaining to the president’s stay. Previously, the president had stipulated that should he die suddenly, his death must be made to appear as if he had died at home. Keitaro is a former litigation clerk who worked as a political secretary and is now running a ramen restaurant. He ordered the four women to deal with the situation happening in the hotel room. Together restauranteur Keitaro, housekeeper Satsuki and secretaries Chiyo, Nana, Fujiko, Saran and Miwa form a shadow corps whose mission it is to help the weak and punish evil-doers. With their combined skills and experience, they are a force to be reckoned with. (Source: AsianWiki) Edit Translation
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- Native Title: 七人の秘書
- Also Known As: Seven Secretaries , 7-nin no Hisho , 7 Secretaries
- Screenwriter: Nakazono Miho, Hayashi Makoto
- Director: Tamura Naomi, Tamura Naoki
- Genres: Mystery, Business, Law
Cast & Credits
- Kimura FuminoMochizuki ChiyoMain Role
- Hirose AliceTerui NanaMain Role
- NanaoHase FujikoMain Role
- Shim Eun KyungPark Sa RanMain Role
- Oshima YukoKazama MiwaMain Role
- Muroi ShigeruWanibuchi SatsukiMain Role
Reviews
Never Underestimate the Fly on the Wall!
I have never been so terrified of a secretary in all my life. First of all, these women are the epitome of "strength" and I can see why they are all so popular, yet go unnoticed. It's not like they do so purposefully, but that people usually take them for granted so they just don't seem to give them any attention, let alone respect, nor the time of day... Like they don't even exist! Which is just perfect for the seven (or is it 8?..... maybe 9?) "someone who isn't great enough to be identified" persons.First of all, I was unsure of a couple of casted individuals, but that was dispelled right away! The more you watch, the more you realize that their "invisibility" is actually perfect. Through their hard work, they are all recognized at work but they are also taken for granted and treated as nothing more than servants or a pawn. As each story builds the pressure, I found myself waiting with extreme anticipation on the edge of my seat! The cases were different, extremely different, than anything I've seen before; granted there are a few moments of "ah this is typical for a Japanese police/detective/crime drama", but they go by in a flash! This story really does pride itself on its remarkable originality!
The climax was spread between multiple episodes, which sort of felt dragged out on purpose but really the more I watched the more the building blocks of a fantastic story were being created. I never imagined the outcome, though it was sort of expected in some places; even so, I could never predict what actually happened! The twists and turns within this case seriously threw me for a loop more than once. The music really helped to encourage the cliffhangers and empower the epic scenes. A few times, I cried way too much; a couple of episodes, too, I felt like all the air was sucked out of me.
This show is full of life. Hard fought, grateful, appreciative, raw, genuine, honest, respected, happy, sad, mad, unexpected life!
Apportez-nous un café, ma petite !
Encore un drama corporatiste dont seuls les Japonais ont le secret. En France, il n'y a que la grande littérature, avec la série des "Martine..." qui s'attaque vraiment à nous faire découvrir tant de métiers. Si, si, réfléchissez bien. À la TV on ne peut compter que des flics, voir des docteurs, ou encore des docteurs-flics. Mais à ma connaissance il n'y a pas de héros secrétaire. Un métier pourtant maintes fois abordé dans les dramas. Du coup, pour les habitués, on se demande si à nouveau les clichés de la jolie secrétaire exploitée vont être au centre de la série. Mais loin d'être un énième plaidoyer contre le harcèlement et l'abus de pouvoir des chefs de service ( malheureusement encore la réalité au Japon plus qu'ailleurs), nous sortons assez vite des bureaux pour vivre une histoire remplie de trahisons, de revanches et de mystères, dans les lieux de pouvoir du pays.Si le rôle de la secrétaire candide et disons-le un peu nunuche est une fois de plus tenue par Hirose Alice (rôle qu"elle semble maitriser à la longue), la personnalité des 6 autres secrétaires est bien marquée et distincte. Kimura Fumino joue avec justesse la secrétaire de direction d'une banque de haut rang et arrive à nous montrer à quel point on doit effacer sa personnalité rendant lisse, voir froid le personnage alors qu'elle est si naturelle quand elle sert les ramen. Oui, elle travaille aussi dans un izakaya, tenu autrefois par son grand frère, mais dirigé maintenant par Eguchi Yosuke toujours à l'aise dans les rôles de cuisinier, comme de flic ou de repenti. Ici, il fait penser à un Bosselet dirigeant 7 drôles de dames, dans un contexte à la limite du Harem Manga.
C'est là que le bât blesse, si le concept de 7 secrétaires travaillant dans l'ombre pour résoudre des problèmes de corruption, ou de harcèlement est intéressant, pourquoi avoir toujours un chef d'équipe male. Évidemment, les femmes sont indépendantes et fortes. Mais vers qui on revient toujours chercher du réconfort ? Je vous le donne en mille, ... Comme on a droit à la secrétaire sexy, la sportive ou la geek difficile de ne pas avoir cet arrière-gout fan service, voir sexiste.
Mais ne boudons pas notre plaisir. L'histoire principale a son lot de mystères et de révélations, l'humour est présent et les hommes, surtout, en prennent pour leur grade. Les acteurs sont bons. Je découvre avec plaisir Shim Eun Kyung actrice coréenne certainement très connu des amateurs de K-drama (désolé pour mon ignorance) et qui me semble très talentueuse. Son histoire personnelle, dans la série m'a d'ailleurs extrêmement touché. Chaque personnage a droit a son propre arc plus ou moins réussi et c'est peut-être ce qui fait la force de cette série bien trop courte. Si on rajoute 2 titres de la chanteuse Milet accompagnant magistralement les 8 épisodes, que demander de plus. Une deuxième saison peut-être, les politiques sont tellement pourris.