Famille je vous hais, comme disait Gide !
Alors j'ai adoré ce drama, parce que j'adore les dramas "tranche de vie".Bien sûr, les deux égoïstes antipathiques du début, vont peu à peu se "déboutonner", on saura pourquoi ils ont fait ces choix de vie, et bon gré mal gré ils vont réapprendre à se frotter aux autres.
Le père de Daisuke et son sans-gêne donne lieu à des scènes cocasses, et à travers les accrochages avec son fils, on en apprend toujours plus sur ce dernier.
L'évolution des personnages, les liens qui se créent, les frontières qui s'ouvrent, les barrières qui tombent, petit à petit on est pris dans l'atmosphère chaleureuse et en même temps très réaliste du drama.
Les acteurs sont tout très bons, et particulièrement les quatre principaux protagonistes. Shingo Katori n'est pas du tout la "crevette traditionnelle" et il assume parfaitement l'originalité du personnage, Ueno Juri, eh bien on sait déjà qu'elle réussit tout ce qu'elle entreprend !
Maintenant que j'ai vu la fin, je dirais qu'elle n'est ni mauvaise ni ratée, mais que j'aurais pu m'en dispenser. En quelque sorte elle enfonce le clou, ne nous apprend rien et j'aurais bien préféré rester sur la fin de l'épisode 9, tellement fine et intelligente dans la description délicate du chemin parcouru par Daisuke et Hanako.
Enfin c'est aussi un drama d'adultes, qui travaillent (leurs boulots existent vraiment, ce n'est pas qu'un décor). Par contre, la musique et la chanson : non !! je pensais que les Japonais n'avaient pas de chanson, ben ils en ont, hélas !!
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Unis par un traumatisme terrible, comme d'ailleurs le fir tout le pays.
J’ai été très emballée par 14 épisodes sur 16 ! Certains reprochent au drama d’être lent, je dirais plutôt qu’il prend son temps pour nous faire comprendre et apprécier les divers personnages, leurs problèmes et leur cheminement, donc pas de souci pour ça.Non, le souci, c’est d’abord de grosses invraisemblances (désolée, moi, ça me dérange ! ) en particulier il est impossible de survivre 5 jours enfoui dans les décombres sans une goutte d’eau et une jambe traversée par une énorme tige de fer, c’est la mort assurée par déshydratation et septicémie ! Il n’aurait pas été difficile de le faire rester 3 jours (c’est déjà pas mal !) et ça restait crédible ! De plus l’autre garçon avec une jambe coupée n’aurait pas survécu 1/2 heure !
Alors oui, on peut faire comme si, et ignorer, mais moi ça m’empêche de m’impliquer dans les flash-back de l’effondrement qui du coup ont perdu pas mal d’impact ! je passe sur le chantier de construction où on ne construit rien, et du mémorial qu’on ne verra jamais, ça, à la rigueur…
Mais le souci primordial, ce sont les deux derniers épisodes !! Ils n’ont pas pu s’empêcher de nous rejouer 2 fois le coup « je t’aime mais je te quitte parce que je ne suis pas digne de toi » une fois avec Gang Doo et la suivante avec Moon Soo !!
Alors ça, je ne peux vraiment plus !! (Et vous laisseriez, vous, l’homme que vous aimez vous supplier d’ouvrir la porte en disant qu’il est train de s’évanouir ??? namého ? Qui croira ça ??)
Et alors le comble c’est la façon dont les scénaristes se sont ingéniés à nous persuaderde la mort de Gang Doo (le coup de la tête sur l’épaule et je m’endors dans la mort, ça aussi, quelle originalité ! ) jusqu’aux toutes dernières 5 minutes où : Flash-back !! pour apprendre qu’en fait il est sauvé et bien vivant ! Je ne nierai pas que j’ai beaucoup préféré qu’il soit vivant, bien sûr ! Quand je le croyais mort je me disais : « encore 13 mn c’est pas possible qu’est-ce qu’ils vont nous raconter ? » et on était parti pour le trip « la vie continue avec courage et dans le souvenir » quand pouf !! eh bien non !! il est vivant ! Bon, ça, ça me met en rage, c’est prendre les spectateurs pour des crétins et ça fiche par terre toute l’ambiance du drama !
Alors je veux bien avaler la maladie en plus du reste, mais pas la fin !!
Bon maintenant pourquoi j’ai quand même beaucoup aimé : les interprètes !!!
Ha Moon Soo, débutante, est extraordinaire de naturel et de simplicité, et Junho, eh bien, il entre direct dans mon top 10 acteurs car en plus d’une voix sublime, d’un sourire à damner une sainte (moi en l’occurrence) il a un talent incroyable ! je l’avais aimé dans Memory, adoré dans Chief Kim et maintenant je l’idolâtre !! Les autres sont bien aussi, avec une mention pour le « méchant » qui en fait n’arrive pas à trouver sa place, à assumer son rôle de Président, et parfois m’a un peu fait de la peine.
L’histoire et la façon dont on se sort peu à peu d’un pareil traumatisme est très bien menée et les dialogues du couple principal très justes, simples, touchants et sonnent tout à fait vrai ce qui caractérise toute leur relation d'ailleurs !
La musique, bon, ça va, les chansons sont assez jolies et discrètes.
Mais rappelez-vous de Junho et de Woo Jin Ah !! On les reverra !!
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Jirisan, montagne sacrée de la Corée, pleine de mystère.
Ce que j’en ai pensé :Ce n’est pas innocent que les scénaristes aient choisi la montagne de Jirisan pour y planter leur histoire, car Jirisan est par excellence et par essence le cœur de la Corée, la montagne magique où les esprits se promènent, où on pratique encore le chamanisme, et des rituels réguliers.
Extraits d’un article de Géo magazine :
« C’est par ailleurs l’un des endroits du pays les plus riches en qi [l’énergie positive] et en spiritualité », analyse l’anthropologue "Benjamin Joinau, professeur de civilisation à l’université Hongik de Séoul.
« Nulle part ailleurs dans le pays, la symbiose entre le peuple et la montagne n’est aussi forte, insiste David Mason, professeur à "l’université de Sejong et spécialiste du sujet. C’est un haut lieu de syncrétisme entre bouddhisme, chamanisme et animisme. »
"En Corée, on naît, on vit et on meurt dans la montagne », assure un adage. Une exagération sans doute. Mais le trekking reste "quand même, et de loin, le loisir préféré de la population, malgré un temps disponible restreint – entre cinq et onze jours de "congés annuels. D’après une étude de 2016, 30 % des 51 millions d’habitants seraient d’ailleurs des randonneurs chevronnés. « Nous avons des vies très stressantes, il faut toujours être performant : c’est pour cela que nous aimons tant côtoyer les "sommets ! » rigole Kim Euy Gon, 50 ans, croisé sur l’un des innombrables sentiers du massif sacré.
Une fois qu’on a bien tout ça en tête, le drama prend un tout autre sens, car Jirisan est partie prenante autant que les gardes forestiers de l’histoire. Le réalisateur s’en est donné à cœur joie en vues époustouflantes des sommets, des forêts, des incendies, ou des inondations, nous faisant bien sentir que l’homme n’est que toléré parmi cette nature sauvage et grandiose. D’ailleurs on peut lui reprocher d’en avoir fait parfois un peu trop en cadrage bizarre et en allongement un peu excessifs de certaines prises de vues… Mais j’étais si heureuse de retrouver un lieu qui m’avait enchantée que je ne m’en suis pas plainte !
Le garde forestier Kang Hyun Jo a vécu un drame personnel dans la montagne, et depuis il ressent une communication particulière avec Jirisan…
Le réalisateur a privilégié les changements de temps , on passe très souvent du présent à un passé récent, ou plus ancien, ou encore plus ancien, et cela demande un peu d’entraînement au début. Je pense que le récit aurait gagné en clarté à être un peu moins haché et un peu plus linéaire, sans cependant abandonner complètement les changements d’époques qui sont indispensables vus les changements d’état des héros principaux.
L’histoire est très prenante, les soupçons se portent sur divers suspects, qui, peu à peu éliminés, nous mènent au final à la découverte du coupable. C’est une part du scénario que j’ai beaucoup aimée, car tout au long de l’histoire le fantastique et la réalité triviale ont été mêlés avec habileté, et la résolution de l’énigme nous ramène à ce qui a toujours justifié le crime : l’argent, la vengeance, terriblement humaine, jusqu’au moment où c’est la montagne elle-même qui va conclure le destin du coupable !
Donc en conclusion, je devrais dire que j’ai beaucoup aimé ce drama… sauf que les 10 dernières minutes ont tout fichu par terre ! ça ne m’étonne pas du réalisateur de Descendants of the sun » ou « Mr Sunshine », mais la (le ?) scénariste de Kingdom et de Signal aurait pu nous épargner cette fin ridicule !
Attention SPOILER :
Que Hyun Jeo se mette à respirer seul au moment où on le débranche, on peut passer, mais qu’on nous laisse croire tout un épisode qu’il est mort alors que … Oh ! mais qui est là ? Contemplant le lever de soleil ? mais c’est lui ! Bien vivant (hop un petit flash-back de 10 s montrant l’infirmière expliquant le retour à la vie ), cette vieille ficelle de faire croire à la mort de quelqu’un pour le montrer bien vivant ça a été usé et archi usé ! Mais le pire c’est Yi Kang, paraplégique depuis des mois, sans jamais parler de la moindre rééducation, ni d’un quelconque espoir de remarcher, hop !! la voilà debout, bien costaud ! Comment ??? Pourquoi ??? Ben on n’en saura jamais rien !
Et à côté de ça on accumule des flashbacks inutiles au lieu de donner un minimum d’explication à ces « miracles » !
En plus du ridicule achevé de ce happy end forcé, toute l’atmosphère du drama, de la puissance de la montagne qui peut faire du mal, du lien très spécial que s’est créé entre les personnages et cette entité magnifique qu’ils servent jusqu’au péril de leur vie, tout disparaît dans cette fin de romance à l’eau de rose !
Donc si vous regardez « Jirisan » arrêtez-vous 1/4 d’heure avant la fin !
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Il n'en voulait pas, elle regarde ailleurs, alors il la veut !
Mes impressions au fil de la découverte, il y a déjà quelques temps :Là j'ai commencé "jealousy incarnate" (JI à partir de maintenant, pardon pour la paresse !! ) et ça me plaît énormément à 2 épisodes vus !! C'est un changement total d'univers et de ton et ça démarre très très bien au niveau construction, réalisation et interprètes ! Donc, allons-y !!
Je continue JI avec intérêt, car la problématique du cancer du sein chez l'homme est très originale à traiter dans un drama et là c'est remarquablement fait, tant au niveau médical (la mammographie !!! j'ai souffert pour lui) qu'au point de vue psychologique, c'est criant de vérité !! J'étais partagée entre la peine pour lui et l'envie de rire de le voir si embarrassé d'avoir "un truc de femme" !! Mais dans la vraie vie, c'est exactement comme ça ! (je suis secrétaire médicale !)
J'aime beaucoup la façon dont c'est traité !
En tous cas je peux dire que le protocole d'hospitalisation coréen est le même que chez nous !! La salle de réveil toussa toussa, pareil sauf le petit appareil à boule pour évacuer l'anesthésie des poumons !! La prochaine fois je réclame !!
Je n'en suis qu'au 9 mais en ce qui concerne "le triangle" pour le moment je ne dirais pas que c'en soit un ! Il n'y a rien de caché, les relations de chaque garçon avec la fille sont très différentes, et chacune sur un plan très différent. Le problème spécifique de l'un des deux hommes crée un ton très spécial entre la fille et lui et par la même un lien très particulier qui n'a absolument rien d'amoureux, pour le moment en tous cas ! Par là dessus il existe toute une série de relations et d'inter action entre divers personnages, depuis 3 lycéens jusqu'aux parents et même amis qui font que le fameux "triangle" n'est qu'une partie de l'histoire ! Et surtout les acteurs sont plus qu'excellents ! Les deux garçons (Cho Jung Seok et Ko Gyung Pyo)sont d'un naturel, d'une vérité de ton incroyables ! Bien sûr on connaît le grand talent de Gong Yoo Jin !
Je verrai bien si ça continue autant à me plaire, mais je l'espère ! Un drama bien construit et bien écrit, ça fait du bien !
J'ai du mal avec Jealousy incarnate parce que je NE SUPPORTE PAS LA BANDE SON !!! Ce n'est pas que les chansons soient mauvaises mais il y en a TOUT LE TEMPS, ça n'arrête pas ! Pas une minute sans une voix qui s'ajoute aux dialogues en en plus les couvre car la BO est trop forte ! C'est dommage, je ne peux pas en voir plus de deux épisodes à la suite tant ça me fatigue ! Donc je vais y aller tranquillement, et j'en ai encore pour un bon moment, puisque je n'en suis qu'à 13 vus !
La scène dans la boue à marée basse m'a irrésistiblement rappelé Thank You, surtout que c'était déjà Gong Yoo Jin qui s'y collait !! Mais j'ai trouvé cette scène très forte, tout à fait atypique avec une dimension burlesque et tragique à la fois ! Les OST des dramas sont mon point de faiblesse !! Mais pas de souci, je vais le finir parce que les personnages sont vraiment tout à fait intéressants ! Par contre je n'ai pas encore bien éclairci la situation familiale du patron du restaurant de nouilles !
Au sujet du patron du Rak Pasta, c' est le frère de la mère de Jung-Won, le second lead donc son oncle
Pour le cuisinier il m'avait bien semblé comprendre ça mais c'est le lien avec la gamine que je ne vois pas... à quel titre il s'occupe d'elle et se considère comme son tuteur au point de décider quelle mère est la meilleure pour elle ? En passant son "problème" de clin d'œil est tout à fait marrant et là aussi c'est une première : un personnage de drama reconnaissant ouvertement qu'il est impuissant sans en faire un drame, ça c'est original !
Aprés que le père de la gamine a perdu son entreprise, le cuisinier( enfin c' est quand même le patron du Rak Pasta et le propriétaire de cette grande maison^^) lui a loué un appart dans sa maison puis l' a pratiquement hébergé gratos quand il n' a plus eu un sou et ils sont devenus très amis au point que quand le père de la gamine lui a donné ses dernières volontés sur le papier qu' il lui a donné avant de mourir... il l' a lu et voyant ce qu' il y avait écrit...donc il se sent responsable vis à vis d' elle car maintenant c' est lui qui s' en occupe
Je viens de regarder l'épisode 15 de JI, et je n'ai pas rêvé ? C'est bien The Voice qui fait un cameo à la fin (on ne le voit que de dos) avec de fines allusions au drama "pasta" ??? je suis sûre d'avoir reconnu sa voix...
Je continue paisiblement Jealousy Incarnate, (17) et pour le moment j'ai une nette préférence pour Wha Shin (l'autre fait un peu trop fifils à maman et enfant gâté, quoique très mignon ! )Pour le moment je ne trouve pas de longueur, l'histoire évolue bien et ils arrivent à nous faire avaler une situation hautement improbable ce qui prouve que c'est quand même très bien fait ! Par contre j'ai de plus en plus de mal dans les dramas coréens avec la façon de se taper dessus pour un oui pour un non et de se piquer la ruche aussi pour un oui pour un non... !
Le fait qu'ils décident (enfin qu'elle décide) de vivre ensemble un mois pour aboutir à une sortie de crise, je ne crois pas que ce soit une situation bien habituelle !
J'aime vraiment beaucoup ce drama, même de plus en plus je dirai, et je ne trouve pas du tout de longueur, en fait c'est le rythme général qui est régulier, jour après jour et presque quotidien.
Pourquoi j’ai aimé ce drama :
J’apprécie particulièrement la vie du studio, et son réalisme, le travail des présentateurs, leurs contraintes, les rivalités, c'est extrêmement bien fait ! J'adore les scènes à l'hôpital, elle donnent à chaque fois un souffle différent à l'histoire, soit dans la comédie hyper drôle
(quand Hwa Shin fait danser l'infirmière ou qu'ils se retrouvent tous les trois dans la chambre ou (et là c'est hilarant) quand la doctoresse lui parle en l'appelant « grand-mère) soit dans le registre dramatique quand Wha Shin découvre qu’il a un autre problème de santé !
Ce drama est remarquable par l'excellent dosage de la progression des situations : juste quand le triangle amoureux allait devenir too much, Na Ri comprend qui elle aime réellement, et le choix se fait, la situation avance normalement, juste quand on allait s'installer dans ces fins interminables dont les Coréens ont le secret (la situation amoureuse est réglée, mais on rajoute bonheur sur bonheur, mariage et tutti quanti, voir la fin de Fated to love you)il y a la découverte du nouveau problème de Hwah Shin !
Et c'est comme les deux mères que je ne supportais pas au début, elle sont devenues très intéressantes, car pleines de nuances et de facettes multiples ! Et en passant la nuit dans placard avec le chef, trop drôle, surtout le baiser final !!
Non, plus ça avance plus je l'aime, et surtout j'apprécie cette impression de courant tranquille de la vie qui les emmène, et nous avec, ça avance, ça avance, sans cliffhanger ou coups de théâtre mélodramatique mais sans jamais de baisse de l'intérêt !
La musique je m'y suis habituée, et elle ne me gênait presque plus mais quand même il y a une chanson dont je me passerais bien volontiers, d'une voix de femme pleurnicharde et nasale assez désagréable à mon oreille !
J'aime vraiment beaucoup ce drama qui ne nous demande que de nous laisser emporter pour suivre tranquillement cette très jolie histoire remarquablement bien écrite et bien interprétée !
Une très jolie découverte, qui sera sans doute dans mon catalogue de "drama méritant d'être revus" !!
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Le drama le plus réel que j'ai pu voir..
J'ai vu beaucoup de drama de différents genre mais celui ci est sans artifice. Il vous montrera une vie simple et banale que presque tout le monde vie. Ce drama me réconforte car contrairement aux autre show, qui eux montre certains «faux aspect de la vie», (ce qui nous met plutôt mal pensant que notre vie est sans valeur) celui ci permet de vous reconnaître dans les personnages et de vous sentir compris.N'oubliez pas que la vraie vie n'est pas les drama et que tout le monde ne vit pas des histoires folles d'amour épanouissante, qu'il y a des gens comme vous est moi qui sommes confrontés aux difficultés de la vie.
Votre santé mentale est tout aussi importante que n'importe quel objectif que vous essayez d'atteindre.
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Lutter pour arriver, et puis se venger,... classique !
J’ai beaucoup aimé la première moitié, moins la seconde.En fait, on a là le schéma classique du jeune homme pauvre mais avec un cœur de bronze et une volonté de fer (pardon pour ces comparaisons métalliques, mais elles s’imposent !) dont le désir de vengeance va être l’épine dorsale de sa vie. Il veut détruire JangDa.
En face de lui le non moins classique schaebol dur, cruel (faut voir ce qu’il fait de son fils aîné !) au fils incapable parfait gosse de riche mais avec aussi un fils illégitime qui sans arrêt mettra des bâtons dans les roues de Sae Royi. Ce qui apporte une air frais de nouveauté, ce sont les amis que Sae Royi s’est fait au cours de ses années de prison (Choi Seung Kwon) ou sur les chantiers où il était ouvrier(Ma Hyu Ni, transgenre en cours de féminisation) et ceux qui viennent s’ajouter à son groupe : le fils illégitime de Sang, Geun Won, un métis africano-coréen Toni Kim à la recherche de son père, et Jo Yi Ses, une jeune fille de 20 ans, brillante, dure et cynique, qui, pour le suivre renonce à l’université.
Toutes ces figures nouvelles et originales donnent un ton d’ouverture au début du drama, mais au fil de l’histoire, il devient évident que leur personnage ne sera que très peu exploité, leur rôle étant surtout de mettre en valeur le grand cœur et l’esprit d’égalité de Sae Royi.
la seconde partie entièrement consacrée à l’ascension sociale et financière de Sae Royi repousse un peu tout ce petit monde dans l’ombre.
Au total, c’est un drama très agréable à suivre, mais parfaitement convenu au niveau du scénario et de la psychologie des personnages, sauf l’héroïne, qui tranche par un côté cynique et froidement pragmatique, qu’elle va beaucoup adoucir au contact de l’archange Park Sae Royi !! Il est tellement bien que j’ai même cru une seconde qu’il allait pardonner au vieux saligot qui lui a gâché la vie ! Heureusement il se rappelle qu’il est humain et le laisse à son marasme !
On ne s’ennuie pas, mais la fin est un peu longue, mais on ne s’ennuie pas, mais je n’ai jamais été vraiment enthousiaste, sauf… sauf que je me suis régalée de voir pendant16 épisodes Park Ses Joon, avec une coupe de cheveux déroutante, mais qui, au fil de l’histoire lui va de mieux en mieux, à mi chemin du crâne rasé du bagnard et du bol médiéval, et j’imagine que le coiffeur de plateau devait repasser tous les matins pour retailler le millimètre qui avait poussé la nuit, pour que ce casque luisant et parfait ne change pas d’un plan sur l’autre !
Bref, drama très regardable, mais sans plus !
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Un conte de fée moderne et transcendant, une OST magnifique, une perle à voir !
Il était une fois, une petite fille, future Sikawasay, se voyant attribuer un ange gardien, Orad, le dieu de la pluie....Dès les premières images, j'ai été aspiré dans un monde méconnu, un conte baignant dans l'univers d'une tribu à Taiwan, les Amis (阿美). Un monde magique où Kawas (dieux) et être humain se côtoient, aromatisé d'une romance adorable, d'un scénario complexe et riche en folklore. Une perle. N'attendez plus, endormez-vous au plus vite, et venez rejoindre ce magnifique rêve.
Pour commencer, un petit de culture, cela ne fait jamais de mal, sur cette tribu. Il y a 16 tribus indigènes à Taiwan, reconnus officiellement. Les Amis (阿美族), prononcé Āměizú, en font partie. Ce nom a été popularisé sous l'occupation japonaise entre 1895 et 1945. Leur véritable nom est Pangcah (邦查) signifiant "les nôtres". Les Amis forment la tribu d'aborigène la plus nombreuse reconnu par Taiwan. Ils parlent un langage spécifique, Caciyaw no Pangcah.
Le drama tourne donc autour de leur folklore, leur Dieu suprême Kakarayan, les dieux Kawas, les êtres humains et la nature.
Le scénario parait simple de prime abord : les kawas doivent quitter la Terre et abandonner les êtres humains, responsable de catastrophique écologique. Le résultat de ce départ est la disparition de la pluie, l'essence même de la vie. Au fur et à mesure de l'avancé des épisodes, le spectateur découvre que le départ des Kawas cachent une vérité dérangeante, une vérité différente. Chaque épisode apporte son lot de questionnement, d'étonnement. La réponse finale est surprenante et, je ne vous le cache pas, m'a bien surprise. Je m'attendais à tout, sauf à cela. C'est donc de surprise en surprise que nous découvrons le secret des Kawas. On en devient certes confus, se demandant qui est qui, qui fait quoi. Pourtant c'est avec plaisir que l'on suit les indices, les doutes des protagonistes, les retournements de situation. Le final apportera des réponses claires prenant tout leur sens. C'est avec satisfaction que l'on finit le dernier épisode. Avec un sourire émerveillé. Un conte de fée, vous dis-je.
Qui n'a jamais souhaité avoir un ange gardien? Un puissant protecteur, qui plus est possédant un physique d'Apollon?
Orad, dieu de la pluie se voit confier sous ses augustes ailes une petite fille, Xi TianTi. Leur lien entre Orad et TianTi nous sera conté à travers des flashback et des petites scènes à la fin des épisodes.
Un lien qui se nouera très intimement et c'est avec bonheur que l'on suit leur adorable romance à travers leur interaction. Chaque petite attention d'Orad, chaque geste de sa part, chaque regard était une merveille, un ode à l'amour. Il est à noter que la romance occupe une place importante dans la première partie, et qu'elle cède sa place à l'intrigue dans la seconde partie, mais tout en continuant à en être le moteur de l'histoire. Je regrette un peu que la romance n'ait pas plus de place et que l'intensité des émotions ne soit réellement présente qu'à travers le passé de nos protagonistes. Un parti pris mais qui ne permet pas l'exploitation à son maximum de la romance selon moi.
Le casting a été parfait, réunissant encore une équipe gagnante comme le scénariste et acteurs d'"Attention Love".
Le scénariste Chi Feng Chien de "Someday or One Day" et "Attention Love" signe un drama intriguant mêlant habilement la complexité d'une histoire unique agrémentée de révélation inhabituelle et d'une romance soignée.
Fu Meng Bo a été superbe dans ce rôle. Ce n'est pas un acteur qui m'avait marqué dans ses précédents rôle, ici, il m'a bluffé. Le rôle d'Orad lui va à la perfection et ses rares sourires ont illuminé le petit écran ^^
J'étais pourtant loin de trouver Fu Meng Bo séduisant. Il me prouvera par la suite que le rôle d'Orad lui colle à la peau, sexy et juste whaou.
Johanne Tseng est par contre une actrice que j'aime beaucoup. Je l'avais découverte dans "Attention Love!" avec Prince Chiu (Argh, un de mes chouchous taïwanais), Prince Jiu qui fait une petite apparition d'ailleurs ici. Elle campe ici un personnage sympathique dont la sensibilité exacerbée la prédestine à devenir une Sikawasay, un médium servant d'intermédiaire entre les Kawas et les humains.
Les personnages secondaires ont été pour certain comme le dieu de la sagesse un coup de coeur.
Li Pu Hui, ami de toujours d'Orad, apporte dans son sillage la petite (grande) touche d'humour qui pour tout dire s'éloigne joyeusement de la sagesse ?
Malusakadat, l'épouse de Li Pu Hui, n'a pas un grand rôle à jouer, mais j'ai adoré leur couple, malgré le peu de présence à l'écran qui leur a été donné. Et puis Guo Shu Yao a été inoubliable dans "Attention Love", j'ai été plus que ravie de la retrouver ici.
Toem aura été celle qui m'a le plus intrigué. Ce personnage interroge dès le départ. Les raisons de ses actions m'ont profondément touché, l'ambiguïté de ses gestes et paroles, tout comme Fali, ont contribué à mystifier ce drama, apportant cette dimension du "ni tout noir, ni tout blanc".
La réalisation de ce drama est l'exemple même du "avec 3 fois rien, créons du grandiose". Ici, point de CGI époustouflant. Point d'action défrisante. Que nenni, quelques petites lumières par-ci, de petits effets par-là apportant son lot de surnaturel et le tour est joué ! Cela fonctionne et deux fois plus qu'une ! La réalisation est soignée et les images parlantes. Le spectateur est émotionnellement impliqué dès les premières images. C'est du grand art.
La qualité de la réalisation se ressent aussi à travers le respect et la dévotion de la culture des Amis! Jusque dans leur quotidien, leur costume, leur langage, leur façon de penser... Le réalisme de tout cela m'a réellement donné envie d'en apprendre un peu plus sur ces indigènes.
J'ai aussi adoré la simplicité de la représentation des Kawas. On s'éloigne des costumes que l'on a coutume de voir dans un drama chinois, blanc ou noir ici, et c'est tout. Simple et tellement redoutable.
Le folklore des Amis est un des points d'intérêt du drama. J'ai adoré découvrir leur légende, telle une petite fille à qui on lirait une histoire chaque soir. En effet, chaque début d'épisode nous est conté la légende des kawas et de Kakarayan sous forme de petit dessin animé, dans la langue des Amis. C'est non seulement passionnant mais ludique et instructif. Nous apprenons ainsi l'histoire de leur tradition, de leur dieux et de leur peuple. Cela permettra aussi de bien comprendre l'épisode qui suit. Et entendre les kawas parler la langue des Amis, une immersion totale ! Sincèrement, on apprécie cet effort que font les acteur à parler cette langue avec un tel naturel.
L'OST! La bande son est un petit bijoux musical ! Un des rares CD que je m'empresserai d'acheter, sans une once d'hésitation. Les paroles autant que les notes de musiques collent parfaitement à l'ambiance surnaturelle du drama. La chanson des Amis, "讓我聽見你" (Be yours) est sublime ! Que cela soit la version de Astro Bunny ou la version de Men Envy Children, elles sont toutes deux magnifiques, transcendant le chant en langage Amis, apportant une émotion intense. La version A cappella, introuvable malheureusement, lorsque TienTi fait son rituel de prière, est d'une beauté à couper le souffle, d'une douceur et d'une pureté incroyable. C'est d'ailleurs la chanson qui m'a dès le départ arrimé au drama, la dernière fois qu'une chanson m'avait fait un tel effet, doit remonter à "Beauty and The Beast" de Disney...
L'opening "最後一秒鐘" (The last second) interprété par 九澤CP est tout aussi superbe, m'obligeant à ne pas "skipper" l'opening à chaque épisode, ce qui arrive rarement, voire jamais. Je n'ai pas beaucoup d'information sur 九澤CP, ce qui est dommage, car j'ai tout particulièrement apprécié leur chanson (je me fait fort d'écouter et d'enquêter, foi de Sammy). Ce qui n'est pas le cas de Mayday, groupe taïwanais ultra-connu et adoré en Asie. Avec ce drama, j'ai pu découvrir avec bonheur "知足" (contentment), une chanson qui étrangement rend heureux. Ne me demandez pas pourquoi....Il est vrai, que toute la bande-son rend heureux.
Il y a aussi la chanson "煙雨" (Misty Rain) de Nine Chen, magnifique (me donnant presque envie de pleurer) ou "想對你說" (Too Much to Say) d'Astro Bunny ou encore "抱著你" de A-Yue. Si vous n'avez pas encore compris, oui, l'OST restera en tête longtemps après la fin d'une série, continuant à me rendre heureuse à l'écoute.
La fin. Peu de dama m'aura donné autant de satisfaction avec une fin aussi simple et heureux. La toute dernière image m'aura fait sourire pour une bonne semaine entière.
Un drama mêlant habilement le folklore d'une tribu avec des dieux des demi-dieux, des démons et des esprits perdus, un conte de fée, un ange gardien diablement sexy, un dieu de la sagesse drôlement immoral, une romance adorable...Ne passez pas à côté ce ce merveilleux drama taïwanais ! Si, bien sûr, lire les sous-titres en anglais ne vous fait pas fuir...
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O drama em si foi muito bom, atuações muitos boas, trilhas sonoras boas. O dorama me fez dar muitas e muitas risadas. Foram momentos inesquecíveis. Gostei da força que eles retrataram atravéz da Jo yi, o fato de que as mulheres daquela época não era muito valorizadas. Jo yi quis mostrar diferente, que ela não era só uma mulher que era esposa de alguém, ela era a Kim Jo Yi. Ra yi eong também nos ensinou muitas lições, com seu foco e inteligência. Gostei muito dos personagens me apeguei a muitos, principalmente ao Tae seo, quero ressaltar ele, porque eu realmente me apaixonei por ele. Achei ele alguém tão injustiçado pela vida. Ele tinha um coração tão bom! A história dele em si é tão interessante. Posso dizer que Tae seo no final era apenas um filho que queria o amor de seu pai. Eu posso ver e dizer que ele amadureceu durante o drama! Ele mesmo percebeu no final que ele errou e recorreu a caminhos ruins, ele queria pagar por isso. Ele viu que tudo que ele fez para aquele pai ingrato foi atoa. Eu sinceramente vou dizer que eu chorei muito na morte dele ao ponto que minha cabeça doeu. Eu amo Park tae seo!
Só algumas coisas que eu queria que tivessem desenvolvido melhor.
Durante o drama mostraram muito a relação de Ra yi eong e o príncipe herdeiro. Mas, acho que faltou um pouco mais de emoção para o Ra yi eong quando ele descobriu que o príncipe herdeiro foi na vdd assassinado, e depois que o mandante era o rei. Não estou dizendo que é por causa da atuação, mas, sim pq ele tinha sua reação no momento, mais na próxima cena tudo estava normal. Outro fato era que eu queria mais justiça pela morte do Tae seo, queria que o doo soo tivesse descoberto que ele na verdade era o filho ilegítimo, seria um gostinho bom.
E por último durante o drama não podemos ver em nenhum momento um certo remorso do rei pela morte do Príncipe herdeiro, apenas no último episódio.
Mas no geral gostei muito do dorama, não sei se eu veria denovo, por causa da morte do park tae seo, não quero sofrer desse jeito denovo kkkkk.
Mais esse drama estará sempre em meu coração.
Principalmente park tae seo cof cof.
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Meine Meinung zu den Couples
Am Anfang hatte ich so null bock auf die Serie weil es "My Engineer" hieß und ich dachte es wäre mal wieder eine langweilige Main Stream.Natürlich ging es wieder mals um Engineer Studens usw. aber ich liebe die Charaktere und würde sterben mehr zu sehen.
Ich fand das Bohn und Duen irgendwie zu schnell war und deren Beziehung relativ aus dem nichts kam, aber dafür sind die Side Couples echt gut. Ich war zwar wenig genervt von Boss und Mek tat mir echt leid aber ich bin schlussendlich froh für sie und würde mich mehr über sie freuen (Auch schade fand ich das sie Mek gedubbed haben und nicht ihn reden lassen haben, hätte echt gerne von ihm gehört)
Weiter mit meinem Fav Side Couple RamKing.
Ich liebe es das King erst Ram wenig näher kommen musste um überhaupt erst mit ihm reden zu können. Sie beide haben interessante Charaktere die man durch die Serie mehr kennenlernt. Oft ist es in Serien die "Bed Scene" welche eine Serie immer wenig hoch pusht aber bei dieser Serie bräuchte man einfach keine, sie ist so schon echt gut.
Abgesehen davon das mir das Main Couple nicht so gefallen hat, bin ich mit den restlichen Charakteren zufrieden.
Die anderen zwei XD dieser Doktor und der dude wessen beide Namen ich vergessen habe. Der Docktor war ja mal übelst cute mit seinem Pet und der andere Dude sieht nicht schlecht aus, habe nicht viel zu den zu sagen außer das ich mich auf mehr freue.
Diese Serie kann ich auf jeden fall empfehlen wenn wer Highschool Universe mag und auch gerne mehrere Side Couples sehen will.
Ich bin schon so gespannt auf mehr und warte mit großer Ungeduld auf mehr.
LG
Yuma
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Kono Otoko wa Jinsei Saidai no Ayamachidesu
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L'histoire est bateau et le ML est bizarre et creepy comme pas possible mais j'ai fini par l'apprécier parce que tu peux pas prendre une histoire comme celle-là au sérieux de toute façon, donc autant se laisser emporter. J'ai uniquement commencé à regarder pour Airi que j'apprécie énormément. Ce que je ne m'attendais pas c'était d'adorer la musique de l'introduction et du générique de fin ! Ça a direct rejoint mon spotify. La bande-son était très cool, et ça très bien rythmé la série je ne me suis pas ennuyé une minute.
Par contre j'avoue que la fin n'est pas géniale, elle n'a pas vraiment de conclusion et on voit qu'au final les personnages n'ont pas évolué, j'aurais aimé voir les deux persos principaux se mettre ensemble et que le ML se calme un peu sur sa folie. En bref j'ai passé un bon moment et je recommande si vous voulez juste mettre votre tête en off sinon passer votre chemin en courant !
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Amor, amizade e muita fofura
Kieta Hatsukoi tem uma história simples, porém que conquista. Tudo começou por causa de uma borracha e mal entendidos, e a história até que me surpreendeu em alguns pontos.Um grande forte desse drama são os personagens. Eles são simplesmente adoráveis e muito fofos. O enredo tem algumas situações bem aleatórias, mas que não me incomodaram porque me faziam rir demais. As atuações são boas, um pouco exageradas em vários momentos, mas isso combina com a proposta do drama e o contexto escolar. A trilha sonora também é agradável, as musiquinhas são divertidas.
Falando um pouco mais especificamente dos personagens, nossa como eu amei todos. Aoki é uma graça, ele é tão fofo, companheiro e empático. Em muitas de suas ações prioriza o sentimento de outras pessoas, e acaba por deixar os seus de lado. Durante todo o drama mostra também como ele é inseguro e paranóico, o que vai repercutindo na sua vida e no seu relacionamento com o Ida.
Hashimoto é outra que também é muito fofa. Assim como Aoki, ela é insegura em mostrar seus sentimentos. Mas também é muito companheira e compreensiva. Ela foi a primeira pessoa a saber dos sentimentos de Aoki por Ida e a conversa que tiveram foi tão bonita e saudável. Em nenhum momento ela o julgou, foi uma cena que me deixou muito feliz. A amizade dela com Aoki é linda, os dois são parecidos e me fizeram rir bastante.
Ida foi um personagem que me surpreendeu. Eu não estava esperando que ele fosse tão compreensivo e gentil. Ele é um personagem que tem muitos conflitos internos durante a trama, pois não sabe exatamente o que sente por Aoki e o que significa gostar de alguém. Acompanhar o desenvolvimento dele foi bem interessante. Enfim, ele é um amorzinho também.
Aida é um personagem que no começo nem reparei que seria importante pra história, mas eu gostei dele também. Ele é divertido e companheiro, e tenta muitas vezes ajudar Aoki (mesmo que seus planos deem errado por não ter interpretado as coisas direito).
Sobre Ida e Aoki como casal, eles me fizeram surtar muito de tanta fofura. Gostei da construção do relacionamento deles, pois pensei que iriam enrolar muito. Porém, foi bem rápido e eles eram bem diretos até. Ainda sim, durante a trama tiveram problemas de falta de comunicação, por conta da combinação da personalidade não muito expressiva de Ida e da paranóica de Aoki. Esses problemas costumam me incomodar muito nas histórias. Aqui também me incomodou um pouco, mas em se tratando de uma comédia escolar e adolescente, não foi algo que me irritou tanto. Em principal porque desde o início foi mostrado como Aoki era inseguro, então não achei incoerente.
Essa história também mostrou como é importante termos boas pessoas ao nosso lado. Com todos os conflitos que Aoki enfrenta, seus amigos estão sempre lá para ajudá-lo. Achei tão bonito como Aoki, Hashimoto, Ida e Aida sempre se ajudavam. Tanto para tentar conquistar a/o crush, como em situações mais sérias e tristes.
Por meio dos conflitos dos personagens, na minha opinião esse drama conseguiu expressar bem sobre o que é ser inseguro, sobre ter mais autoconfiança e sobre aceitação. Essas características são muito comuns na adolescência (e não só nela) de forma que mesmo quem não é mais adolescente pode facilmente se identificar com os personagens (eu mesma).
Em resumo, essa história me deixou feliz e aqueceu meu coração. Mas não só isso, pra ser sincera em alguns momentos eu me emocionei. É uma história muito bonita, sobre aceitar quem você é e buscar o que você deseja. Junto a isso, mostra a importância de ter boas pessoas ao seu lado, que te apoiem independentemente das suas peculiaridades, defeitos, gostos ou orientação sexual.
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La revanche des adaptations en live
Voilà un film coup de poing pour rendre hommage à un manga, on ne peut plus populaire, mais pour ma part, surévalué. J'avoue avoir regardé l'annonce de l'adaptation en live action un peu de haut, vu le peu d'intérêt que le premier épisode en anime a suscité chez moi. Cette énième histoire de voyage dans le temps, et en particulier ses retours incessants à l'adolescence commence à me laisser froid. Si on rajoute à cela des graphismes ou une animation sans éclats, (GTO où es-tu ? J'y reviendrai) et un scénario sans subtilité, avec des retours dans le temps, comme ça, juste avec des poignées de mains, j'accroche vraiment peu. Même pas un petit convecteur temporel ou des lettres qui font le voyage plutôt que les humains. Et surtout une banale histoire pour sauver sa bien aimée. Ok, ce n'est pas sa mère morte ou son père emprisonné, mais justement, on n'est pas loin du preux chevalier qui va sauver sa princesse. Un loser sans charisme, qui comme dans tout (bon/mauvais) shōnen, gagnera en skill le long des chapitres. Non, seul l'Opening Cry Baby, des Official Hige Dandism avait attiré mon attention sur cet œuvre et était là raison de visionner le 1er épisode de l'animé et pas les autres donc... et pourtant.Alors pourquoi m'infliger le live action alors qu'il est de coutume pour un occidental de considérer celui-ci raté et ridicule, avant même de l'avoir vu ? Parce que c'est une "Putain de réussite de bon film d'action", tout simplement. Un popcorn movie qui remplie à 100% son rôle d'exutoire de votre violence trop contenu depuis deux ans. Il faut dire que la production a mis le paquet : le budget maquillage a explosé tant l'hémoglobine dégouline de ses combats entre Bosozoku qu'on croyait disparu depuis GTO. Les boites de sparadrap sont ouvertes par caisse et les coupes de cheveux nécessitent un ratio laque/coloration égale par fûts entiers. Honnêtement, c'est vraiment les costumes et le maquillage qui est la grande réussite de ce revival des mangas/animes/dramas/movies de Bosozoku des années 80/90. Mais alors pourquoi avoir placé l'histoire principale en 2010 ? Ok, nos adolescents héros sont has been à mort. Mais finalement pas tant que ça, au vu des clans encore actifs qui finiront par nourrir la pègre japonaise, 10 ans plus tard. C'est bien cet anachronisme qui choque le plus. Plus que l'improbabilité scientifique et scénaristique qui en découle. Les scènes de cascades à part quelques exagérations de défenestration sont plutôt réalistes et les acteurs crédibles, malgré évidement des doublures. Mais ça passe et si vous cherchez réellement un film ou ça tape, vous serez agréablement surpris. Les côtes brisées durant un combat ne les arrêteront pas, ce qui laisse présagez des fight scènes longues et intenses, de la chorégraphie avec des longs manteaux qui volent au ralenti et des cheveux longs et blonds qui flottent dans le vent.
Et de la blondeur, vous en aurez. C'est aussi un des points qui m'a gêné dans le manga. Les ados ayant tous des gueules d'anges alors qu'ils se destinent à être des Yakuzas. Dessins trop enfantins pour l'œuvre originale, à l'annonce des acteurs principaux pour le film, je n'étais pas plus rassuré. Mais clairement curieux de voir le chanteur (et acteur de drama) romantique Kitamura Takumi en chef de gang. C'est vrai que Dish est plutôt connu pour ses musiques pop sucrées, Kitamura pour sa voix androgyne et ses seconds rôles de loser romantique plutôt que de loser des free fight. Je ne doutais pas que Yamada Yuki ferait un excellent Draken tant par le physique, le charisme, le jeu, le regard que par l'accent des bas-fonds et bien sûr, il ne m'a pas déçu, mais Takumi Chan, quand même. Mais finalement, le choix se révèle judicieux et Kitamura m'impressionne une fois de plus par son talent. Bien qu'il traine blessures, pansements et taches de sang durant 90% du film, il est juste à chaque scène. Jamais grotesque dans ses cris, son impuissance ou même ses prises de coup de sang nécessaires à tout shōnen. Un réalisme bien venu que l'on retrouve chez Yamada Yuki et qui tranche avec le personnage de Mikey bien trop bipolaire pour le rendre crédible. Non pas que Yoshizawa Ryo joue mal, mais cette gentillesse, combinée à cette violence, n'est pas crédible du tout. Encore moins face à la gent féminine. Si le retour dans le passé est de 10 ans sur le papier, certaines attitudes face au sexe "faible" (et là, je le fais exprès) sont à chercher du côté de l'age de pierre. Les limites de l'adaptation de personnage de manga en vrai. Comme cet étrange binoclard de service qui remonte ses lunettes au ralenti pour montrer à quel point il est manipulateur. À peine croisé dans le film, j'imagine qu'il prend une autre importance dans l'histoire originale, comme le frère de l'héroïne qui transpire le mec louche ou la sous-exploitation à l'écran des personnages féminins, relégué en faire valoir des mecs. Imada Mio hérite encore d'un second rôle de support du héros et je rêverai qu'elle prenne de l'épaisseur dans une suite pour donner tout son talent et quelques nions à ses machos. Résumé en deux heures, tout n'est surement pas dit dans le film et je me doute bien vu le succès de celui-ci que suite il y aura, car on est vraiment sur notre fin au générique. Ce qui évidement nous obligera à nous plonger dans l'anime/manga, pour en savoir plus. La revanche de mes premiers amours d'il y a 10 ans (ok plutôt 30), sur une trop grande passion actuelle des live action, en quelque sorte.
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Estudantes de audiovisual do primeiro semestre fizeram esse drama
Não, não foram estudantes recém ingressos na faculdade que fizeram esse kdrama, mas parece.Não vou nem entrar no mérito do evidente baixo orçamento de produção e das prováveis consequências das restrições do COVID19. Mentira, vou sim.
Esse drama foi feito com orçamento de um pastel na feira e um caldo de cana. A história se concentra em basicamente duas locações, quase não há figurantes e o problema no áudio ambiente é gritante. Tem momentos que quase não se escuta o diálogo dos atores. As tentativas de efeitos especiais são risíveis.
Há aquele problema básico dos formatos curtinhos: desenvolvimento ruim. A história é interessante, mas o roteiro é mal aproveitado e sentimos falta de uma maior profundidade. Não sabemos a origem da mágica que leva o menino pro passado, nem quem era a mulher que fez isso. Não sabemos direito os conflitos que desencadearam o deserdação do príncipe. Não sabemos nada sobre o soldado que o protege, apenas sua inabalável fidelidade. E o pior, como ele conseguiu ir pro futuro também? A mulher ajudou? Algumas coisas são simplesmente incoerentes.
As atuações são de centavos. O único que merece algum destaque é o fofíssimo Jun que trouxe todo seu carisma pro personagem. A direção é simplória, não tira o melhor da história e dos personagens. Câmera parada o tempo todo.
A questão orçamentária é irrelevante quando se tem um bom roteiro e direção, mas não temos nem um nem outro. Bons filmes podem ser feitos apenas no celular. Ótimos roteiros podem vir em apenas 15 páginas.
Mas a questão final que fica é: o trisal vem aí?
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A hipotensão mata uma dorameira
Sal? Não existe nesse kdrama.Não vamos mentir, começamos a assistir por causa de uma cena mais sensual presente no primeiro episódio. Mal sabíamos que seria a única cena de tal tipo no drama inteiro e que seríamos presenteados com apenas 300 abraços até o final. Pensávamos que iríamos encontrar um romance maduro e realista, mas fomos tombados. Mas não tem problema! Com uma narrativa bem conduzida, cenas românticas e/ou fanservices são apenas toques para deixar tudo mais interessante.
O problema é: tivemos uma narrativa interessante? Não. Aí que as coisas complicam.
Ela já começa ruim por enfatizar de maneira avassaladora um problema comum de kdramas: as três ruas da Coreia. Todo mundo conhece todo mundo, todo mundo está conectado um ao outro de alguma forma. Aqui eles conseguiram levar isso até Paris. Conseguiram fazer Paris ter só três ruas também.
Veja bem: a protagonista se apaixona pelo irmão do ex. Esse irmão é o mesmo cara o qual ela teve um affair, que é o mesmo cara do blind date que ela vai no lugar da amiga, que é o melhor amigo do CEO da empresa que faz negócios com ela. A noiva do ex é dona do shopping onde ela também conduz negócios. A mãe do irmão e do ex faz aulas junto com a mãe dela.
Eu entendo na necessidade de criar uma "bolha" para conduzir a história, mas pera lá né!?
Tudo bem, superado isso encontramos outro problema: ritmo. Lento. Demais.
A história não é interessante o suficiente para nos arrastar por 16 episódios. Os conflitos não fazem sentido. Tudo gira em torno do fato do cara que ela gosta ser irmão do ex. A trama só se tornava interessante quando saía do núcleo amoroso e abordava a questão empregatícia da protagonista. Os detalhes mais importantes, como a noiva do ex estar envolvida (indiretamente) no acidente dele é tratado com o maior descaso. Ela só apareceu para espumar e depois teve seu desenvolvimento anulado no drama.
Aliás, essa é outra questão: falta de desenvolvimento de personagens coadjuvantes. Os jovens da Sono (aquela moça e o cara do EXO) foram esquecidos no churrasco e brotaram como casal no último episódio. O ex da diretora apareceu do nada nos últimos episódios só para inserir um conflito entre ela e o namorado CEO. Perderam a oportunidade de dar mais força para essa personagem se ela descobrisse a interação do namorado com o pai sozinha, mas insistiram em deixa-la com essa imagem infantilizada e irresponsável. Muitos personagens também sofrem de mudança de personalidade sem processo de desenvolvimento, principalmente os homens do drama. O fotógrafo confiante e egocêntrico se torna gado. O CEO tímido e inseguro se torna confiante com a mudança de um penteado. O plot da mulher com câncer e o marido traidor arrependido foi ok. Só tinha choro.
Outro problema: Atuação. Da. Protagonista. Escrevo desse jeito, porque é assim que ela fala o tempo inteiro. Pausadamente. Um diálogo normal de 30 segundos dura 3 minutos. E isso afeta o male lead também, pobre Jang Ki Yong. Isso me faz pensar que até seja um problema de direção, mas a realidade é que a atuação é rasa e robótica, sem emoção nenhuma.
Pontos positivos (porque eles existem):
- Jang Ki Yong falando francês;
- a redescoberta da mãe da protagonista. Depois de anos casada servindo apenas ao marido, ela percebe que nunca foi apreciada e que não fez pra si mesma a vida inteira. Resolve se separar;
- Jang Ki Yong falando francês;
- a amizade da protagonista com a diretora e com a mulher com câncer;
- já disse Jang Ki Yong falando francês?
Enfim... quando terminei de assistir só consegui pensar: SOBREVIVI.
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Muito ruim
Realmente esse título é muito ruim. Eu assisti 10 episódios, tentando dar uma chance a história mas não deu. Não havia romance em nada, a história não prendia, nada chamava a atenção.Só perdi meu tempo assistindo a uma coisa tão chata.
NNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOO
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAASSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM.
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