Reviews

la cuisine est un vecteur universel de réconciliation...

C’est un film a aller absolument voir avec le ventre bien rempli, sous peine de souffrir tout du long de la projection, car la cuisine, la nourriture, le repas sont des éléments essentiels du film. D’ailleurs je me suis mise en quête de la recette de soupe d’os de porc aussitôt finie la séance !
Ce film est délicieux, chaleureux et en même temps très émouvant. Masato va comprendre bien des choses du passé de ses parents, découvrir aussi l’impact que l’occupation japonaise a eu sur les peuples conquis, chose qui n’est pas vraiment enseignée au Japon, et le choc est brutal.
L’élément le plus touchant et le plus convaincant du film est l’utilisation de la cuisine comme d’un langage à part entière permettant de franchir les douleurs du passé, la barrière de la langue, et d’apporter pardon et rédemption d’une façon charnelle, primitive et indiscutable.
C’est un pur moment de bonheur simple qui réchauffe l’âme, et le corps, si on se met ensuite aux fourneaux !

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Redenção (mas não suficiente)

Como eu disse na minha resenha sobre a série, foi uma das maiores decepções que eu já tive e nem vou me alongar nisso.
Quero apenas deixar minha opinião sobre o especial, pelo que pude ver a empresa entendeu a m****que fez, praticamente abandonando uma série pra investir apenas em outra, e fez esse especial pra tentar se redimir dos absurdos que foram mostrados. Primeiro, o fato de juntar de novo Joey e Jimmy foi um alívio depois daquele final onde Jimmy virava padre (até hj não consigo entender pq um final tão imbecil). Alguns personagens esquecidos no churrasco no fim da série, como o núcleo dos amigos de Joey voltaram e justificaram (pelo menos tentaram) o desaparecimento no final. Um dos piores furos desse especial foi o final de Princess, depois de tudo que aconteceu, da morte da criança, foi absurdo! O mínimo seria ela pagar pelo abandono, sofrer pela morte do filho, e não ficar noiva do ex, que por sinal errou bastante e não merecia um final feliz. Nem ao menos foi revelado quem era o pai verdadeiro da criança. Enfim, não recomendo a série, mas se vc tiver a má sorte de iniciar e não quiser dropar, esse especial vai te tirar um pouco da raiva que vc com certeza vai ficar.

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Les gens partent mais la Terre reste et...

(au passage je relève que sur les 3 films de Fukuda que j’ai vus il y a toujours des éléments étrangers, extérieurs au Japon, des métissages de langue, car ici Tanya et Léona parlent alternativement anglais, japonais, ou même allemand et français, et ici l'alernative est femme étrangère / A.I…)

Film fascinant, prenant et hypnotique, ouvrant des abîmes sur plusieurs perspectives : l’apocalypse et sa suite, le rapport humain/AI, …
Les premières images montrent (mais au loin, et rapidement, on n’approche jamais la catastrophe) les centrales brulant et explosant, comme un horizon rougeoyant…
Le film se passe dans la campagne, une campagne de landes vallonnées, où les houppes d’or pâle des miscanthus balancent au souffle de la brise sur un horizon de montagnes forestières… On est souvent dans la pièce où se tient l’héroïne, devant la fenêtre ouverte sur le ciel, vaste et par son talent inouï pour les cadrages Fukada nous place constamment en sensation d’espace, même quand on est à l’intérieur. Le ciel est clair, barré nuages légers, ni pluie, ni vent ni tempête… Plus on avance plus c’est calme… On ne voit pas de destruction, on entend seulement dire que telle ou telle chose s’arrête, que le dernier train est demain, que le dernier journal était hier… Malgré tout, c’est un souvenir de lumière et de clarté que laisse le film et j’ai repensé au « soupir des vagues » et à la beauté froide et indifférente de la nature. Ici, celle qui va rester jusqu’au bout avec Tanya, c’est un robot, un androïde, une A.I.
Le fait que ce soit une vraie machine comme actrice ajoute en soi une force étrange au film.
Au début, Tanya mène une vie normale, elle a des amis, un amoureux, elle fait du vélo…Si ce n’était les phrases rappelant que nous sommes à la fin d’un monde, on ne s’en douterait pas… Leona, l’androïde, est ce qu’elle doit être, une machine, qui parle et converse avec Tanya. Une sorte de fusion se fait peu à peu entre les deux, mais le temps n’a pas la même durée pour chacune… l’idée de génie de Fukuda c’est la fin, ou plutôt les fins car plusieurs fois on attend l’apparition du mot fin mais ça repart encore, et encore, dans une succession de crépuscule et d’aube…Jusqu’à la vraie fin où certains ont voulu voir une note d’espoir, mais pour moi, si espoir il y a, il est pour la Nature et la Terre, mais pour l’Humanité… pas sûr !

Ce film est magnifique par l’art sublime du cadre et de la lumière de Fukada, par la profondeur du thème et il nous laisse sur une longue impression de beauté évanescente et mélancolique, et en même temps comme l’écho de la dernière note d’un glas… Mais il n’y a pas de tristesse, pas de larmes, pas de douleur, seul un sentiment d’avoir senti vraiment la puissance du Temps

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Vint à passer un bel et sombre inconnu...

J’ai aimé ce film, son incertitude, sa beauté plastique, la jonction délicate entre le fantastique (léger, à peine perceptible) et la réalité (le souvenir indélébile du tsunami et la façon éternelle dont l’adolescence découvre l’amour…) Le film se passe en Indonésie, on y parle donc la langue locale, l’anglais ou le japonais et déjà la fluidité de ce mélange de langue est un premier aspect de la fluidité du récit. Un homme est découvert inanimé sur une plage… on le pense japonais… Il ne parle pas… il a des pouvoirs étranges… Sont-ils bons , on peut le croire, sont-ils mauvais? Sans doute, mais c’est surtout que le Bon et le Méchant de nos habitudes ne lui vont pas du tout, il agit d’après sa propre règle que personne ne connaît. Il pourrait ranimer une fleur ou tuer quelqu'un… Certains critiques y ont vu la figuration d’une entité de la Nature qui agit sur l’Humain sans aucune empathie ou sentiment (on revient aux tsunami indonésien ou japonais…) je trouve cette définition forcée, c'est seulement quelque chose d'étrange qui arrive ...
Ce film laisse dans l’interrogation, et cependant sans la frustration de l’incompréhension.

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Au revoir l'été, au revoir l'enfance...

J’ai vraiment aimé ce film, son atmosphère, la beauté de ses images, la finesse et l’intelligence du scénario.
Je lis partout que c’est « Pauline à la plage «  de Rohmer au Japon, et d’ailleurs il paraît que FUKUDA est un grand admirateur du cinéaste mais je n’ai rien vu de lui, sauf Lucchini en armure de fer-blanc, donc je ne pourrais pas continuer la comparaison !
Mais j’aime le film en lui-même, l’intelligence avec laquelle FUKUDA laisse transparaître derrière la joliesse des amours adolescentes la cruauté et la bassesse des adultes. Il n’y a rien de tragique, aucun pathos, la caméra est d’une discrétion parfaite : par exemple elle filme seulement deux livres à l’arrière d’une voiture pendant la fin du dialogue du conducteur et de sa passagère, dialogue choquant par sa froideur cynique…
Takashi vient de Fukushima, mais il ne faut pas attendre le moindre larmoiement là dessus, au contraire, l’interview à contre-courant du jeune homme est même assez comique !
Au long du film, au fur et à mesure que le cinéaste nous fait comprendre et aimer les adolescents, il nous montre les adultes comme endurcis, froids et cyniques, et pourtant d’une grande banalité, ce qui est le pire, je crois.
Donc, en bref, je recommande vraiment ce film qui m’a donné maintenant l’envie de voir « Pauline à la plage » d’Eric Rohmer !

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Sensible, drôle, romantique. .. mais aborde pb sociétaux aussi

J'ai adoré ce drama ("the rational life" vu sur Netflix).

Il raconte essentiellement le parcours d'1 trentenaire dans 1 grosse entreprise.
La série traite (de façon intelligente) de nombreux sujets sociétaux : différence d'âge, sexisme, place de la femme, solitude des séniors, etc.

Les acteurs sont exceptionnels et incarnent les personnages avec talent.

La romance est complexe en raison du statut (manager /assistant) et du "age gap". Mais quelque soient les obstacles, qui ne craquerait pas pour Dylan Wang ?? Il est vraiment adorable, dévoué, ... Un boyfriend comme on en rêve toutes :)

Excellent !!

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Era para ser mais não foi

Comecei bem interessada nesse drama, achei que iria assistir varias lutas boas e bons efeitos especiais , mais conforme foi passando os episódios fui percebendo que nada que eu esperei iria acontecer.
Os episódios foram muitos arrastados sem ritmo, as cenas de ação eram bem fracas, fotografia ruim, roteiro fraco também, sem contar nas pontas soltas.
Os personagens secundários eram irrelevantes para historia , na realidade achei todos os personagens cansativos e sem carisma.

O romance entre os protagonistas foi bem fraco, não tinha base, surgiu do nada e eu fiquei perdida tentando entender quando eles começaram se amar loucamente, eu devo ter dormido em algum episódio só pode. Gostei do personagem do lee hyun woo , na realidade foi o que me segurou até o fim nesse drama.

Em fim achei um drama bem fraco, assista apenas se não tiver nada melhor para assistir

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Resenhas sinceras

Eu tinha escrito uma resenha enorme sobre essa série, mas o meu celular perdeu tudo :(

Então vou resumir: a série é perfeita, maravilhosa, foge do convencional, é cheia de plost twists, todos os atores dão um show de atuação, a ost só melhora tudo isso e o final é satisfatório.

SPOILER

A única coisa que me impede de dar 10/10 para esse dorama é o final, pois mesmo sendo satisfatório é meio broxante.

A série foge completamente do óbvio e do padrão, logo o fato do Prota perder a memória no último episódio é MUITO CLICHÊ. Basicamente todo dorama tem isso e é um saco, porque é muito batido já. E o fato dele perder a memória torna o final muito corrido, coisas que deveriam ser explicadas com mais calma não são. Outra coisa que me incomodou é a Ji Woo ficar com ele mesmo ele não lembrando de nada, pareceu que foi outra mentira dele, até porque ele tava relutante em ficar com ela e do nada resolveu que queria.

No geral é isso, série muito boa que vale a pena ser assistida. Só o final que não é muito bom, mesmo sendo feliz, contudo ainda sim vale a pena.

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heartwarming movie

kalau kalian mau nonton sesuatu yang ceritanya gak terlalu berat tapi menyentuh dengan akting yang keren, cocok banget nonton film ini!

film ini nyeritain tentang seorang anak bernama lee seungyi yang dijadiin jaminan hutang oleh ibunya, karena satu dan lain hal, akhirnya seungyi berakhir tinggal dan diurus oleh rentenir yang ngasih pinjaman ke ibunya. aku seneng banget gimana kita diperlihatkan interaksi yang wholesome antara seungyi sama seungbo dan jongbae, mulai dari yang awalnya mereka beneran gak ngerti cara ngasuh anak kecil, seungyi yang sempet diculik, sampe akhirnya hubungan mereka udah kaya keluarga.

endingnya juga super bikin banjir air mata! buat penonton (khususnya yang cengeng kaya aku) boleh banget siapin tissue dulu sebelum nonton ini. terakhir, aku suka banget sama aktingnya park soyi disini, masih kecil tapi bisa bikin penonton ikut sedih dan gemes sama kelucuannya!

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Resenhas sinceras para ninguém criar expectativas

Acho que todo mundo que começou agora no mundo dos Doramas, ou já tá até mais um tempinho nesse universo, ouviu falar de Mulher Forte, Do Bong Soon.

Comigo não foi diferente, sempre vi muitos edits e várias pessoas dizendo que era um dos melhores e que eu deveria ver. Pois bem, foi o que fiz, talvez eu tenha criado expectativas demais e por isso não gostei tanto do dorama ou realmente o dorama é algo mediano mesmo e as pessoas amem pelos atores sla.

(Parte sem spoilers) É um dorama legal para passar o tempo, é engraçadinho, tem um triângulo amoroso, um mistério. O problema é que nada foi realmente desenvolvido e o roteiro tem algumas falhas, então não vá ver achando que é um dorama incrível cheio de história e ensinamentos, pois não é.

(Parte COM spoilers)

Sinceramente pessoas, é muito CHATO esse triângulo amoroso que o dorama nos apresenta e o fato deles enrolarem tanto nisso, fez com que cenas do casal principal fossem perdidas. Isso me deu a impressão que o romance deles surgiu do nada, da parte da Bong Soon pelo menos foi o que pareceu. Eles só vão ficar juntas lá pelo ep 12 e isso tira muito a graça da coisa toda.

Outra coisa que me incomodou foi os poderes da Prota, o dorama diz que se ela usasse os poderes dela pro mal eles iam ser retirados dela. Porém, em dois momentos ela machuca alguém inocente, sendo que não era a intenção dela, e apenas em uma vez os poderes dela somem. Além disso, os flashbacks que mostram como a mãe dela perdeu os poderes dão a entender que perde-los não ocorre de uma vez e sim é um processo. Por isso, o fato da Bong ter perdido os dela atoa e de uma vez não me desceu.

Mais um fator que não gostei no drama foi o final extremamente corrido. Eles podiam ter resolvido o mistério/problema muito antes e deixado o final só pro casamento dela com o prota (que também foi mt corrido) e outros acertos de conta. Tipo a família do Prota que queria q ele assumisse a empresa e no meio do drama eles tiverem um desentendimento e sumiram, fingiram que nem existia mais.

No geral essas foram as coisas que mais me incomodaram. É um drama legal, mas nada surpreendente e maravilhoso como a Dramalend pinta.

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one of the best film-turn-to-series

jujur awalnya skeptis banget pas tau bad genius bakal dijadiin series karena filmnya sebagus itu, meskipun masih ada pertanyaan yang belum terjawab aku pikir gak perlu lah sampe dibikin series. tapi begitu selesai nonton episode 1… langsung yakin kalau aku bakal namatin seriesnya. secara garis besar ceritanya masih sama, tentang lin dan ‘bisnis’nya.

ketegangan di series ini juga gak kalah dari filmnya, cara mencontek yang lebih variatif dan gimana caranya supaya gak ketahuan berhasil bikin penonton geregetan saking tegangnya. selain itu, salah satu hal yang aku suka dari versi series ini adalah character development dari lin, pat, bank, dan grace. semua tokoh bisa belajar dari kesalahan mereka dan berusaha untuk jadi pribadi yang lebih baik.

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Um prato no ponto certo!

A melhor sensação que você tem enquanto assiste esse jdrama é notar que não é um BL, mas uma verdadeira obra LGBTQIA+. Não se enganem, não é uma série no patamar de obras ocidentais que tratam esse assunto de maneira mais aberta e crua.

A sociedade japonesa é conservadora. Esse tipo de assunto é tratado em nichos. Então apresentar um relacionamento homossexual ao público exige sensibilidade, ensino e paciência. Kinou Nani Tabeta integrou esses elementos ao humor e à gastronomia e trouxe um verdadeiro comfort series sobre o dia a dia de um casa gay que tem a culinária como hobby.

A série aborda diversas situações comumente vividas por grupos LGBT+ de modo sensível e bem-humorado, trazendo o antiquado senso comum para ser derrubado. Shiro esconde sua orientação sexual no trabalho, sua vizinha só aceita ficar no apartamento sozinha com ele quando descobre que ele é gay, seus pais o aceitam, mas tem dúvidas absurdas sobre seu estilo de vida. Há diversas reflexões realistas sobre ser gay na sociedade japonesa e vemos isso refletido no ambiente familiar, no trabalho e entre amigos. Sem contar que não é apenas sobre o fato de ser gay, mas gay na casa dos 40 anos. Então a questão da idade também vem à tona. Através desses tipos de situações, tabus são quebrados (conseguiu ouvir?) sempre de modo leve, acompanhado de um trilha que remete aos anos 1940/50.

Parece uma produção com estética caseira. Não há muito movimentos de câmera, nem trabalho de iluminação e, às vezes, as atuações são um pouco teatrais, com pouca naturalidade e muitos monólogos. A linguagem do amor nesse jdrama são os atos de serviço, principalmente através dos pratos cozinhados por Shiro. Senti falta do toque físico (que é quase inexistente) e a sensação que tive é que estava vendo um casal de amigos e não namorados. Outro incômodo foram as extensas cenas deles cozinhando que, por muitas vezes, ocupavam metade do episódio de meia hora.

É um série engraçada, leve e reflexiva que vale a pena conhecer!

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A história e a atuação são os pontos altos!

Esss dorama é incrível em todos os sentidos! Eu caí de paraquedas nele e se tornou um dos meus favorito. A trama do principal ir relembrando os personagens da sua vida passada, e mostrando que eles são consequências ou pessoas tentando mudar (ser perdoadas) pelo que fizeram na voda passada é muito intrigante e emocionante. Além disso a sereia vivenciou todas as épocas dele e ficou esperando por ele até que ele lembrasse dela, isso foi muito lindo mesmo soando triste. E era muito poético quando ela chorava e as lágrimas dela se transformavam em pérolas. O casal principal tinha muita química e era muito fofoo. A sereia conversando com ele por olhar até que ele entende e responde aí MARAVILHOSO ;( quero rever

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Histoire sombre, mais belle, tragique et belle... Belle !

Alors, c’est OCN, alors c’est noir, très noir ! et glauque, très glauque ! Il y est question d’enfants qui n’ont même pas de nom, mais des numéros, dont personne ne sait trop ce qu’ils sont devenus. Ce mystère s’éclaircira au fur et à mesure et c’est encore pire que ce qu’on aurait pu supposer…
Donc, âmes sensibles, attention !!
Il faut bien admettre que dès le début la fin s’impose à l’esprit, et on sait qu’elle sera forcément tragique !! Tout maintenant va dépendre de la façon de raconter l’histoire et de nous conduire vers ce dénouement prévisible et redouté…
Eh bien le pari est réussi on se laisse embarquer dans cette histoire très sombre, retenus par des personnages attachants que leur part obscure rend plus fascinants, surtout, naturellement Kim So Hyun, parfaitement interprété par Jang Ki Yong.
Une parenthèse : j’aimerais que cet acteur montre d’autres facettes de son talent, on le consacre un peu trop aux personnages au passé douloureux (come and hug me) ou à la vie marginale et même criminelle (My Mister, ou Kill it !) C’est vrai qu’il a une voix particulière, grave et un peu sourde qui convient très bien à ces rôles, mais dans My Mister il a montré qu’il pouvait vraiment nuancer le personnage ! Cette parenthèse refermée, revenons au drama !
C’est OCN, on reconnaît le style bien particulier des éclairages verdâtres tachés de rouge dans les scènes dramatiques, avec une musique entêtante créant une ambiance bien glauque, mais c’est la patte de cette production. Ici, ça marche plutôt bien ! L’originalité, c’est que le héros, tueur à gage, n’est pas le vrai méchant de l’histoire, mais que par contre il y en a bien un, parfaitement répugnent et haïssable à souhait !
Donc, si tout ça ne vous effraie pas, et si, comme moi, vous aimez la « sombritude »…et Jang Ki Yong allez-y, c’est un très bon drama, mais il faut affronter la fin ! Mais elle ne peut pas être différente !

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Famille je vous hais, comme disait Gide !

Alors j'ai adoré ce drama, parce que j'adore les dramas "tranche de vie".
Bien sûr, les deux égoïstes antipathiques du début, vont peu à peu se "déboutonner", on saura pourquoi ils ont fait ces choix de vie, et bon gré mal gré ils vont réapprendre à se frotter aux autres.
Le père de Daisuke et son sans-gêne donne lieu à des scènes cocasses, et à travers les accrochages avec son fils, on en apprend toujours plus sur ce dernier.
L'évolution des personnages, les liens qui se créent, les frontières qui s'ouvrent, les barrières qui tombent, petit à petit on est pris dans l'atmosphère chaleureuse et en même temps très réaliste du drama.
Les acteurs sont tout très bons, et particulièrement les quatre principaux protagonistes. Shingo Katori n'est pas du tout la "crevette traditionnelle" et il assume parfaitement l'originalité du personnage, Ueno Juri, eh bien on sait déjà qu'elle réussit tout ce qu'elle entreprend !
Maintenant que j'ai vu la fin, je dirais qu'elle n'est ni mauvaise ni ratée, mais que j'aurais pu m'en dispenser. En quelque sorte elle enfonce le clou, ne nous apprend rien et j'aurais bien préféré rester sur la fin de l'épisode 9, tellement fine et intelligente dans la description délicate du chemin parcouru par Daisuke et Hanako.
Enfin c'est aussi un drama d'adultes, qui travaillent (leurs boulots existent vraiment, ce n'est pas qu'un décor). Par contre, la musique et la chanson : non !! je pensais que les Japonais n'avaient pas de chanson, ben ils en ont, hélas !!

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