Reviews

反正就是很好看！！！

爱豆下海就是香~颜值演技在线~主角俩还是同个男团的，更好磕了！(⁠☆⁠▽⁠☆⁠)
关键是1在剧外是弟弟！年下yyds！
一个大哥一个忙内 我真的兴奋！就是冲这个原因追的剧 后面我也去补了一点物料 他们真的好甜呀 怪不得是他们俩来演XDDDD
ps主题曲是主角唱的 真的好听！(⁠ ⁠ꈍ⁠ᴗ⁠ꈍ⁠)
我很喜欢美人攻的破碎感 真的绝绝子 虽然有一点点（比划）病娇 但也是以前的经历导致的 问题也不大 而且这个设定真的很带感
受好萌呀 笑起来还能看到小虎牙
前期的时候真的呆萌呆萌的不太聪明的鸭子哈哈
前期如果不太喜欢也别弃！坚持！会真香的~

-----以下凑字数 好麻烦噢！（生气）
(⁠ノ⁠｀⁠Д⁠´⁠)⁠ノ⁠彡⁠┻⁠━⁠┻

爱箭穿心
소년을 위로해줘
在学校，李多烈（宰汉饰演）大部分的时间都像个局外人一样度过。多烈并不是受欢迎的人，他唯一真正感到快乐的时间就是和箭术社一起度过的时光。多烈是一位天赋出眾的射箭手，因其技术而获得了该校的奖学金。只要能够自由地追求自己最大的热情，他就不在乎自己是个局外人。但是，一次与一个魅力十足的同学的不慎相遇，让他陷入了麻烦，而且他珍贵的奖学金也因此岌岌可危。

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Incroyable

Le scénario change énormément des autres BL classique, surtout quand on connaît les classiques de GMMTV.
Au delà des amourettes le fond du scénario est vraiment intéressant et mériterait d’être encore plus développé dans une saison 2.

L’acting est vraiment de très bonne qualité, surtout du côté de Gun et Off qui ont fait un travail formidable (ils m’ont fait beaucoup pleurer)

La musique dans cette série est incroyable ?? Première fois qu’un BL thaï me touchent avec leurs choix musicaux.

Tous étaient très bien organisés, le scénario intéressant, chaque plan est utile et beau. Je recommande a fond !

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La lutte d'un "monstre" contre les humains

Night Light (White Nights en France) est un K-drama sur le monde impitoyable des affaires et, dans une moindre mesure du monde politique. C’est l’histoire d’une femme d’affaire très ambitieuse et impitoyable (Lee Yo Won) venue en Corée pour atteindre le « sommet ». Sur le chemin de son ascension, elle devra faire face, entre autres, à son amour de jeunesse (Jin Goo) bien décidé à ne pas se et la laisser faire et à une jeune femme (Uee) qu'elle prendra sous sa tutelle et dont l’aspiration sera vite de ressembler à son mentor et, à mon sens, l'intérêt essentiel de ce drama réside dans la relation très particulière des deux femmes.
Il s’agit d’un drama outrancier, où la cohérence est sacrifiée au profit de l’action. Car oui, ce drama multiplie à l’envie les facilités et raccourcis scénaristiques. On peut même dire que la mise en scène est souvent paresseuse. Exemples, parmi beaucoup d’autres, les scènes de filature sont proprement simplistes et ridicules. Mais peu me chaut tout ces défauts.
Le grand mérite de ce drama, à l’instar d’un Penthouse, War In Life, pour peu qu’on y adhère, est qu’il est terriblement efficace. En mettant de côté son esprit cartésien, on peut aisément se laisse transporter par les multiples rebondissements, les alliances et mésalliances qui ne font que changer au fil de la série.
Le trio Lee Yo Won, Uee et Jin Goo fonctionne à merveille avec chacun leurs forces, leurs faiblesses et leurs sentiments ambivalents les uns pour les autres. Si Uee est l’éclat de cette série, la véritable force motrice captivante de ce drama est véritablement Lee Yo Won dans son rôle de femme d’affaire tourmentée, insaisissable et particulièrement retors.
Alors, même s’il est loin d’être parfait, j’ai pris un très grand plaisir au visionnage de ce K-drama que je revisionnerai un jour, peut-être, mais avec plaisir, assurément.

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Follow me, mais pas de trop près

Les dramas faisant références aux réseaux sociaux sont légion. Ceux les dénonçant, ne sont pas moins nombreux. Comme si le monde de l'édition cherchait à prendre continuellement une revanche sur ce média échappant à toutes règles et régulation. Un média de jeunes ayant ses propres codes, qui sont expliqués, ici, à la génération des parents d'ados et dénoncé, c'est vrai, sur un petit air moralisateur.

C'est dans une ambiance très anxiogène que ce mystery drama, qui ne paye pas de mine avec ses 3 épisodes de 25 min, fait la liste de tout ce qui ne va pas dans le monde des influenceurs. En plein débat sur la rémunération et l'honnêteté de ceux-ci, ce brulot rajoute de l'huile sur le feu, en normalisant (ou pas) les pratiques qu'il est censé dénoncer. À mon grand âge et mon vécu, je ne peux être que scandalisé par les pratiques de mensonge, de corruption et de pression des influenceurs. Mais je ne suis pas convaincu que ce drama va vraiment ouvrir l'esprit de ceux qui sont tombés dans la spirale des followers et de la rémunération facile. Par contre, j'en doutais encore jusque-là, mais maintenant, j'en suis réellement convaincu : Influenceur est un véritable métier. Et clairement, ce n'est pas le plus simple.

Sekimizu Nagisa, troublante par sa ressemblance physique, mais aussi au niveau du jeu, avec Hirose Suzu, ne me contredira pas. L'histoire commence, sans fioritures, à son réveil à l'hôpital. Entourée de ses amis et sa famille et soufrant d'une amnésie profonde, ne sachant même plus qui elle est. D'un classicisme absolu au niveau du scénario de base, elle cherche à savoir qui sont ces gents qui l'entourent et surtout quel genre de personne, elle était. Dès les premières secondes, elle plonge dans les réseaux sociaux et par le montage et le rythme nous associe à ses recherches. On se prend donc rapidement au jeu. Mais vous vous en doutez, ce n'est pas là, qu'elle va trouver sa véritable personnalité. Au royaume des sourires forcés et des publications rémunérées, tout est fake et exagéré.

La production est dans les standards du moment. Avec des découpages rythmés à l'image et des tentatives d'enlaidir l'héroïne dans la vraie vie, alors qu'elle apparait resplendissante comme tous ses camarades de jeu sur Insta et consort. L'image léchée des premières minutes, dans cette clinique aseptisée, suit la déchéance des protagonistes en devenant de plus en plus réaliste et poisseuse. Le maquillage disparait sur les personnages au fur et à mesure des révélations. La musique fait saigner les oreilles, par ce violon omniprésent, rajoutant encore et encore du malaise.

Étant très court, on ne peut pas en dévoiler beaucoup plus. Ce drama aurait mérité soient une adaptation au long cours, tenant en halène sur plusieurs mois et permettant ainsi, de parler de tous les problèmes liés aux influenceurs ailleurs que dans les faits divers. Mais je pense surtout qu'il aurait mérité un film cinéma, bien ficelé, avec des acteurs renommés. Mais le bling bling et le marketing auraient encore pris le pas sur le fond. Car finalement, avec des stars encore en devenir, un format coup de poing, une ambiance malsaine à souhait, ce drama est à l'image de ce que consomment nos ados toute la journée. Il peut donc atteindre sa cible, à condition qu'on les y emmène et j'espère leur avoir tenu la main avec cette critique digne de TikTok.

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Un agréable retour à l'adolescence.

En visionnant cette série, ça m’a rappelé le temps où je regardais des films et des séries de Disney Channel. Le style est le même, mais en version BL. Est-ce que ce retour à l’adolescence est pour me déplaire? Pas le moins du monde. L’amour mignon et innocent, l’humour bien dosé, l’ambiance musicale… Tout est présent pour faire passer un agréable moment à celui qui sait l’apprécier.

Le couple de Tinn (Gemini Norawit) et Gun (Fourth Nattawat) est adorable. Ce cher président a un faible pour le musicien depuis le début du lycée, mais toutes ses précédentes tentatives d’approches se sont soldées par des échecs. C’est seulement le jour où il prend les rênes du conseil étudiant qu’il se fait enfin remarquer, même si pour cela, il doit devenir le «méchant ». J’ai toujours eu un faible pour les béguins de longues durées, donc ça m’a fortement plu. J’ai aimé la façon dont les garçons deviennent de bons amis avant de tomber amoureux. Ils sont collants, drôles et ils ont une magnifique complicité. Ces deux-là n’ont pas besoin de s’embrasser pour laisser paraitre toutes leur amour (OK, je ne vais pas mentir, j’ai attendu le baiser impatiemment, mais il faut comprendre que les acteurs sont très jeunes.).

Gemini et Fourth ont su comment gagner le cœur du public dans ce premier rôle. À peine âgés de 18 ans aujourd’hui, ces deux jeunes acteurs sont bourrés de talent et déjà promis à un avenir radieux dans le milieu du divertissement. Je comprends l’engouement qui les entoure actuellement. Ils étaient parfois maladroits dans leur interprétation, mais c’est pardonnable.
J’ai eu un gros faible pour le couple secondaire composé de Win (Winny Thanawin) et de Sound (Satang Kittiphop). Ayant tout deux un caractère de cochon, j’ai aimé la façon dont leur relation passe de la haine à l’amour. J’aurais aimé les voir davantage à l’écran. Sound est un personnage arrogant, mais très intéressant. Avec Win, il devient doux. J’espère revoir ces acteurs travailler ensemble en duo dans une prochaine série. (Je sais qu’ils étaient aussi dans Fish Upon The Sky et Star And Sky, mais pas en tant que couple).

Une mention spéciale pour Thiu (Mark Pakin) qui mérite le titre du meilleur ami de l’année. Il a toujours été là pour Tinn et l’a aidé à mettre au point ses plans de drague. J’espère que dans Our Skyy 2, on va découvrir qu’il est enfin en couple avec le mignon Por (Ford Arun). Ce personnage est la définition même du mot mignon.

Toutes les chansons sont bonnes. Les acteurs ont de magnifiques voix, aucun ne fait exception. Je ne me lasse pas de les écouter dans ma voiture.

Bref, si vous voulez passer un agréable moment, foncez et regardez cette série.

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То что может стать любимым

"Джек О-Фрост" Интересная история любви. Тема амнезии сама по себе уже несет необычный сюжет и не привычный. Так как его обыграть можно по разному и постоянно ново. Как например, на данный момент мы имеем два сериала с темой амнезии. Этот и тайский "Синдром любви" .Про тайский кратко - не заходит от слова совсем. Плохая игра (сериал спасает только Лонг и все) , сценарий блуждающий и слезам героев нет переживаний смотрящему. А что же здесь. Здесь, мы уже знаем из описания и тизера причины амнезии. После расставания, скорее от усталости это произошло, так как герои противоположных интересов. Постепенно начинают снова влюбляться в друг друга. Точнее один и не переставал, он просто устал, а второй забыл. потрясающий сценарий. Актерская ига была просто восхитительна, а естественная красота актеров притягивала еще больше. И даже женский персонаж был другом,а не врагом. А все ли заметили имена актеров? Хонда и Судзуки. Забавно, не правда ли? А знаете что означает название дорамы? Это прекрасный выбор в пользу мифологии, дух олицетворяющий холодную погоду и его негатив исчезает весной. что мы и увидим в финале: конец зимы - холода, начало новой любви -весны. Потрясающей красоты Японская дорама, как всегда с своей тонкостью и умением дать материал подумать и задуматься. С новой японской сдержанность. Однозначно рекомендую к просмотру.

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Emocionante

Primeiro quero dizer que esse drama é uma obra prima, e dizendo que esse não é meu gênero favorito. Melodramas são sempre parados demais e nada acontece, e sim, geralmente acho cansativo.
Agora esse?
Maratonei os 10 primeiros episódios em 24 h, foi muitíssimo intenso a minha imersão na história deles.

Já conhecia os atores principais em dramas de comédia, e a princípio foi estranho ver como eles conseguem passar tanto, no silêncio, no olhar, ... amo isso.
Mas o principal aqui que me fez viver nessa história é o quanto ela é imersiva. Talvez eu esteja em uma fase que me identifico um pouco com os 5 personagens principais. Então sou um pouco influenciada.
Mas tendo consciência que sou apreciadora de cinema, gostar de plano sequência, bela fotografia e um som bem trabalhado.
É tudo tão lindo.

A música de fundo preenche um vazio que cada um deles passam, e tem um ruído que lembra muito uma notificação. Como se uma má notícia tivesse chegado. No entanto, tudo continua igual.
Acho isso maravilhoso!

Já citei o quanto os atores se entregam aqui. É tão bonito de ver. E não tem choro (pelo menos comigo), é melancólico, sim, mas não de chorar e se compadecer por cada um.

Agora a fotografia é uma das mais bem trabalhadas de tudo que vi.
Cada frame bem escolhido.
Como o posicionamento dos personagem onde estão mais próximo do outro e eles são enquadrados a direita e esquerda da tela. Como uma foto dividida, onde as pessoas estão bem pertinho. Ou quando no início são indiferente e um está no centro e o outro mais a borda da tela.
Ou quando eles estão a frente da porta e a luminaria parace um infinito corredor, em alusão ao caminho que ainda tem que percorrer.
E ainda tem toda uma paleta de cores mudando as estações, nos fazendo perceber que o tempo mudou não só pelas peças de roupa, mas também pelas cores.

Posso ter viajado um pouquinho, mas essa é uma obra prima. Ainda não sei como vai terminar.
Bem ou mal, tudo está sendo nem construído. Cada um com seu momento de tela.
Só estão vivendo como nós com todas as dificuldades.

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Kedokteran?!

Menceritakan seorang mahasiswa kedokteran gigi bernama Pi yang culun, anti sosial, dan benar-benar tidak menarik. Dia ingin mendapatkan kisah cinta yang epic seperti di dunia dongeng, dia mempunyai ekspektasi yang tinggi tentang itu ; namun terkadang dia menyadari bahwa dirinya bukan laki-laki idaman, sampai dia bertemu dengan seseorang bernama Meuang Nan dan tertarik padanya ; ia berusaha mendekatinya - namun di saat yang sama ada mahasiswa lain bernama Mork (mahasiswa kedokteran umum) yang jatuh cinta pada Pi. Apakah Pi dapat memilih apakah dia akan mengejar Meuang Nan atau menerima cinta Mork ?. Saksikan seriesnya !. Dari segi cerita, cukup menarik ya karena menampilkan relasi cinta yang unik, yang satu mengejar dan yang satu dikejar. Orientasi series ini cukup punya kekuatan sendiri karena menampilkan main-role yang benar-benar culun dan jauh dari kata impian sampai akhirnya seiring berjalannya series dia benar-benar berubah ; selain itu, ada main couple kedua yang cukup menarik yaitu Deuan dan Meen ' keduanya punya chemistry yang bagus dan benar-benar sebuah main-couple tambahan yang mewarnai series ini. Kompisisi warna scene pada setiap episode series cenderung datar dan tidak terlalu terlihat berkarakter, namun tidak apa karena pengemasan detailnya yang menarik sudah cukup menutupi semua kekurangannya. Sangat rekomendasi untuk fans bL veteran maupun pemula.

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Je vais peut-être me faire juger en disant ça, mais je suis fan des œuvres de Mame. Du moins, celles que j’ai réussi à trouver traduites en français ou en anglais. Love By Chance ne fait pas exception.

La première saison est meilleure que la suite, et ce, pour une raison évidente : l’absence de Saint Suppapong dans le rôle du mignon Pete.

Tous les fans savent que ce départ est dû à un problème hors écran, ce qui crée un vide auprès de Ae (Perth Tanapon). Ae et Pete étaient le couple vedette de la première saison et je mourrais d’envie de voir l’avancée de leur relation, qui, malheureusement, ne vient pas. Tant qu’à devoir les séparer temporairement à cause d’un problème d’acteur, pourquoi ne pas avoir fait partir Ae avec son prince pour les laisser être heureux? Voir ce personnage sombrer dans un gouffre sans fin de chagrin m’a fendu le cœur. Perth est tellement doué pour faire ressentir aux spectateurs des émotions. Il a fait une performance sublime, mais je comprends tout de même les amateurs de ce couple d’avoir vécu une profonde déception.

Le choix de reprendre de zéro l’histoire de Can (Plan Rathavit) et de Tin (Mean Phiravich) est une décision qui laisse à désirer. Je peux comprendre le but de cette pratique, mais leur couple a un début bien plus mignon dans la première saison. J’ai tout de même adoré. Je suis loin de dire le contraire. Néanmoins, tout cela manque un peu de « Cantaloupe ». Can a beaucoup pris en maturité dans cette saison, ce que j’ai beaucoup apprécié. En plus de garder son côté enfantin trop bruyant, il devient un petit ami très compréhensif et capable d’être sérieux lorsque la situation le requiert.

Ne me jugez pas, mais j’ai ADORÉ le roman « How To Secretly Lure My Boy’s Heart » qui raconte l’histoire de Kengkla et Techno. Kengkla est un psychopathe qui est obsédé depuis trois ans par le grand frère- pourtant pas très beau- de son meilleur ami. Afin de faire de lui son petit ami, il devient un stalker de la pire espèce et il met au point un horrible plan pour le manipuler et le faire tomber amoureux. Il s’invente une vie, il lui ment, il le suit à l’aide d’un traceur… bref. Est-ce que c’est mignon et à l’eau de rose? ABSOLUMENT PAS. C’est une histoire de stalker psychopathe! C’est donc ce que je m’attendais à voir dans cette adaptation.

Malheureusement, à cause de la polémique qui a entouré le début de leur histoire (Oui, c’est un viol. Oui, Kengkla est fou. Oui, tout le monde, surtout Type, trouve que Techno est con de lui avoir tout pardonné.), le roman a cessé d’être suivi à la lettre et leur histoire a été mise de côté. Tous les plans machiavéliques de Kengkla ont été supprimés. Leur relation forcée par la pitié, Techno qui découvre la vérité, TOUT A ÉTÉ ENLEVÉ. J’ai ressenti le goût amer de la déception.

Malgré tout, personne ne pourrait mieux jouer Kengkla que Mark Siwat. Il a la tête de l’emploi. Il est parfait.

Le dernier couple, celui de Tul (Meen Nichakoon) et Gonhin (Est Supha) est inattendu, mais charmant. Les deux acteurs ont fait un superbe travail et ils collent très bien aux personnages. J’ai vite accroché à leur romance, tout comme à leur chimie. Cependant, un problème m’a perturbé… L’acteur qui joue Tul est plus jeune que celui qui interprète Tine alors qu’il est censé être son ainé de plusieurs années et avoir un enfant! C’est un choix étrange, mais je ne vais pas m’en plaindre.

Un truc qui m’a déplu dans cette saison est l’abus de placement de produit. Habituellement, ça ne me gêne pas. (Until We Meet Again est le BL avec les meilleurs placements de produits selon moi. J’ai encore envie de manger les Lays de Team). Cette fois, ils ont abusé. Tous les personnages voulaient absolument ces récompenses bonus pour un jeu vidéo. C’était lourd.

Bref, pour ceux qui hésitent à continuer Love By Chance à cause de toutes les critiques négatives, foncez. Vous ne le regretterez pas si vous êtes fans de cet univers. Je serais bien partante pour une saison trois qui mettrait cette fois en vedette « How To Change ».

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Questo è quello che mi aspetto di vedere quando decido di guardare una romcom! Per la sceneggiatura di Choi Soo Young e la regia di Kim Jung Kwon, si tratta di una serie coreana di 10 episodi da poco meno di un’ora ciascuno. La relativa brevità dell’opera fa sì che non ci si perda in inutili sotto trame che non interessano a nessuno: c’è la coppia principale coi suoi elementi di disturbo, chiamiamoli così, e c’è una coppia secondaria. I personaggi di contorno arricchiscono la storia senza soffocarla. Il ritmo è veloce, senza accelerazioni o troppi rallentamenti, le situazioni sono spesso paradossali, ma simpatiche. Si ride molto e a tratti ci si commuove.

Yeo Mi Ran (Kim Ok Bin ) è un’avvocata alla disperata ricerca di un lavoro, che trova in uno studio legale tutto al maschile, dove, a sua insaputa, viene assunta solo perché una loro cliente VIP ha preteso una donna. Mi Ran è una donna forte, con un profondo senso di giustizia, e conduce una personalissima guerra contro gli uomini, che ritiene tutti fedifraghi e indegni di fiducia. Perciò li seduce e abbandona e, se incontra dei prepotenti, li prende anche a botte. Già, perché la nostra avvocata è un’atleta e lottatrice fenomenale.

Nam Kang Ho (Yoo Teo) è un famosissimo e amatissimo attore, noto per la sua bellezza e gentilezza, che recita in parti romantiche e si serve dello studio legale dove lavora Mi Ran. Ma Kang Ho, dopo una brutta esperienza seguita da altre non migliori, non ha alcuna fiducia nelle donne e anzi, si potrebbe dire che gli diano l’allergia.

L’incontro di questi opposti non può che fare scintille e, inizialmente, i due si scornano a più non posso, anche a causa di reciproci fraintendimenti. Ovviamente, la progressiva vicendevole frequentazione farà sì che questi mondi così diversi si conoscano, piacciano, e amino, superando anche sospetti e timori da parte del di lui amico e manager Do Won Joon (Kim Ji Hoon) e dell’amica di lei Shin Na Eun (Go Won Hee). Ma, soprattutto, le barriere più difficili da superare saranno proprio quelle dei loro traumi e preconcetti.

Che cosa rende questa commedia così speciale? Il fatto che affronti, sia pur esagerando e generalizzando, il tema dolorosamente attuale della società patriarcale e del doppio standard applicato a uomini e donne. Là dove un uomo che “esplora” viene esaltato e onorato, una donna sessualmente libera si attira pesante riprovazione, che rischia di contaminare anche il partner. Se un uomo vuole rimanere celibe, o non avere figli, o averne in età più avanzata è nel suo pieno diritto, ma se questo diritto vuole reclamarlo una donna, apriti cielo! E una donna che lavora si presume non lo faccia con lo stesso impegno e/o con lo stesso risultato di un uomo, solo perché è donna. Naturalmente, un marito vecchio stampo (o non così vecchio, siamo comunque in Corea) può permettersi di insultare, minacciare e sminuire la propria moglie a ogni piè sospinto. Una donna dovrebbe guardarsi bene dal chiedere il divorzio, specialmente se spera di non essere spennata di tutti i suoi averi. E così via.

Certo, come si diceva, il pericolo è di esagerare e generalizzare. E’ ovvio che non “tutti” gli uomini sono dei figli di buona gatta traditori e incapaci. E’ ovvio che non tutti i mariti sono irrispettosi o violenti. E’ ovvio che in uno studio legale di una dozzina di avvocati l’unica con un po’ di furbizia e professionalità non può essere la sola donna del mazzo. E anche le motivazioni che spingono la protagonista ad avere “100 ragazzi” o a partire in quarta per raddrizzare i torti a suon di pugni anziché a parole, come la sua professione suggerirebbe, sono un po’ speciose e a tratti traballanti. Se non fosse così, non sarebbe una commedia, ma un documentario o un biopic.

Invece, mostrandoci le aberrazioni di una certa mentalità in un contesto umoristico, si riesce a far passare il messaggio insinuando il seme del dubbio, facendo riflettere con un sorriso. Come ebbi a dire nella recensione di “The Romance of Tiger and Rose”, se è così fuori dalle righe applicato a un uomo, perché dovrebbe essere giusto se a subirlo è una donna? Rovesciando la situazione, la domanda non cambia.

Non manca la rappresentazione/denuncia di un certo tipo di organizzazioni di fan, terribilmente aggressive e tossiche. Ragazzine o giovani donne seguono ovunque il loro idolo, minacciando e aggredendo quelle che ritengono essere persone deleterie per lui e per la sua carriera, morbosamente aggrappate all’illusione di non si sa cosa, di fatto, stalkerando proprio il personaggio di cui si professano innamorate. E tizi senza scrupoli ne approfittano per acquisire notorietà e facili guadagni dando in pasto al largo pubblico ogni più piccola briciola di scandalo.

E di motivi di scandalo non ne mancano. Il povero protagonista Kang Ho viene prima sospettato da Mi Ran di farsela con una minorenne, poi viene pubblicamente accusato di essere gay (come se fosse una colpa…) rischiando la carriera e quando finalmente riesce ad avere una storia con Mi Ran rischia di nuovo tutto al riaffiorare del passato promiscuo di lei. Insomma, la società pruriginosa e maschilista va in scena in gran spolvero. In un certo senso viene preso in giro anche lo spettatore, con l’inserimento di alcune scene volutamente ambigue tra Kang Ho e Won Joon, il suo manager, ma la bromance non ha alcuna connotazione romantica.

Dicevamo che è una commedia, per cui già sappiamo che tutti i santi finiscono in gloria. Forse la risoluzione dei conflitti appare per certi versi un po’ utopistica e per altri un po’ insoddisfacente, ma si tratta pur sempre di un prodotto dichiaratamente di intrattenimento, che non deve aspirare più di tanto a verosimiglianza e logicità.

Una storia scoppiettante, interessante e per certi versi profonda non produrrebbe il risultato sperato se non fosse recitata dagli attori giusti. Fortunatamente per noi, Kim Ok Bin è un’ottima attrice, e non solo. Ha tre dan in Hapkido e due in Taekwondo, pratica boxe e altri sport, corre in moto e auto e ha un QI che molti di noi invidierebbero. Insomma, la parte era perfetta per lei, che ha saputo interpretare la disincantata Mi Ran con energia e giusta espressività.

Yoo Teo è un attore maturo, molto avvenente e molto competente. Nato in Germania da genitori coreani, ha studiato recitazione negli USA e in Gran Bretagna, e recitato in mezzo sud est asiatico, e non solo. La sua interpretazione della superstar allegra e galante all’apparenza, ma dolente e complessata nel privato, è efficace e coinvolgente. I vari stadi del progredire del suo interesse per Mi Ran sono visibili sul suo viso come se scritti a titoli di scatola. Perfetto. E non guasta che faccia una gran figura sia in abiti eleganti che in giubbotto da teppista.

Questi due, insieme, hanno fatto scintille. Dimenticatevi i bacetti a stampo stile asilo visti in fin troppe produzioni, e procuratevi un ventaglio: ne avrete bisogno.

Giustizia vuole che spenda due parole anche per Kim Ji Hoon, che ha interpretato l’amico di Kang Ho. Questo bravissimo attore, già splendido nella parte del cattivo in Flower of evil, ha già alle spalle una cospicua carriera. Magnifico e carismatico, la sua presenza è tale da rubare spesso la scena anche al pur altrettanto bello e bravo Yoo Teo.

Un commento musicale spesso allegro e scanzonato, inframezzato da suoni e versi di animali divertenti inseriti al momento giusto, unito all’ottimo comparto costumi, trucco e parrucco, completa le note positive di questa serie.

Può darsi che la cosiddetta crescita dei personaggi non sia stata molto curata, non lo nego. Abbiamo visto che certe situazioni sono state esagerate, direi volutamente. Qualcuno potrebbe anche trovarlo fastidioso, non lo metto in dubbio. Io però mi sono divertita molto e ho apprezzato il messaggio, per cui consiglio la visione.

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