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strong fl & ml
story awalnya bagus ttg duo rival pendekar dunia silat tapi lama kelamaan terlalu fokus di permasalahan internal kerajaan dan perebutan kekuasaan. villains nya juga sebenarnya gak kuat kuat amat. menurut aku lebih bagus kalo ceritanya fokus di kehidupan dunia silat dibandingkan perebutan kerajaan. or at least konflik internal kerajaan masing2 gausah di bahas sih. jadi nya porsi perkembangan romance nya bisa lebih banyak.sayang bgt pdhl chemistry dua leadnya bagus. jadi lebih suka pas mereka masih jadi hei-bai fengxi dibanding pas udah jadi pangeran lanxi sm putri xiyun
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Pas grand chose à dire
Je note tout de même 5/10 car les premiers épisodes me paraissaient prometteur, malheureusement j'ai fini par m'en désintéresser et le finir laborieusement. Certains acteurs ne m'ont pas emballé, leur jeu n'avait rien pour me plaire et le scénario est devenu faiblard . Je ne parlerai pas du dernier épisode qui détruit en quelques minutes le positif que j'avais réussi à garder en tête.Was this review helpful to you?
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Fracasso
Acho que a pessoa que criou uma série de 3 eps, com uma temática sem pé nem cabeça, atores iniciantes e sem orçamento realmente tinha muito tempo livre... Um roteiro que não tem absolutamente nada de interessante, tentaram usar o hype "de animal virando humano" mas não conseguiram fazer adequadamente, introduziram a lenda do fio vermelho, mas também não impactou positivamente, os atores não tinham nenhuma química, e eu passaria horas aqui fazendo críticas a essa série, mas não faz nem sentido. Enfim, não perderia meu tempo de novo vendo isso.Was this review helpful to you?
Todo ciclo se repite, incluso el de las diferencias sociales
Bueno, el momento musical fue extraño. Aún así, me pareció una muy buena película en general. Toca muchos temas, pero lo hace de forma consciente y prolija, sobretodo en lo que tiene que ver con las diferencias de clase, las expectativas familiares y los vínculos entre seres humanos. Siendo los cerdos muertos, además de un evento real, una especie de alegoría sobre las grandes corporaciones y el individuo promedio. Mientras se desperdicia comida, hay gente luchando por sobrevivir. A niveles generales, las actuaciones son muy buenas y hay más de una historia que nos mantiene intrigados por saber qué va a suceder con sus protagonistas. Porque, de nuevo, aunque puede ser muy surreal y cómico, lo más idealista de toda la cinta, es ese final. La música en general tiene algunos puntos buenos, aunque no son la mayoría, pero sin duda la fotografía es un gran plus. Aunque no vi mucho de "Aves de presa", ya en esta cinta se deja ver un estilo visual de la directora, y eso me gustó mucho.Was this review helpful to you?
Hometown Chachachá
Es un drama bastante lindoooo. Me encanta mucho cómo todos los personajes son como familia y se tratan como tal. Eso hace que te encariñes de todos y que disfrutes cada escena del drama.El jefe Hong es lo más bello, hombre con responsabilidad afectiva, amable, inteligente, trabajador, romántico y muuuuy tierno. Me encanta la rivalidad que existe al inicio entre él y Hye Jin, es muy divertido verlos pelear, pero al mismo tiempo no querer separarse el uno del otro.
Lo único que no me gustó es que es muuuy largo para todo lo que pasa. Pero de ahí en más, es perfecto.
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No sé qué esperaba, pero no me terminó de convencer...
Por si no saben de qué va esta película, acá les cuento: Suzume es una chica de campo que se ve obligada a mudarse a Tokio con su tío cuando sus padres se van a trabajar al extranjero. Allí conoce y se enamora de Shishio Satsuki, su nuevo profesor, y se hace amiga de Mamura Daiki, un chico al que le cuesta hablar con mujeres.Ya por la sinopsis habrán notado que esta historia no es lo que se dice "original", pero los tres actores principales me gustan muchísimo, así que por eso la vi, y no sé qué tanto valió la pena si no pensamos en que ver a Alan actuando siempre es una bendición(?
Para empezar, nunca terminé de comprar la reciprocidad entre Suzume y su profesor. Si me dicen que es ella teniendo un amor no correspondido, bueno, pero el vínculo que terminan teniendo no me lo creí (más allá de que la relación alumna/profesor en este caso puntual, al no estar tan bien desarrollada, me generó bastante rechazo. Si hubiera estado bien hecha, como no deja de ser ficción, te la podía llegar a aceptar).
Ahora bien, pasando al personaje de Alan, aka Mamura, me gustó porque era él. No es un mal personaje en cuando a que no es una mala persona, pero algunas de sus actitudes se me hicieron sumamente irreales. A ver, sé que esto está basando en un manga, pero en casos así prefiero que adapten un poquito algunos detalles para que la historia se sienta más realista.
La forma en la que se van dando las cosas tampoco es que me haya encantado, de hecho muchas de las decisiones de la protagonista me irritaron bastante (y algunas ni siquiera las entendí). Bah, ella no es un personaje que me haya gustado y punto, es muy normie. Lo que tiene a favor es que hasta el final uno no sabe con cuál de los dos se va a quedar(? Ah, y también me gustó la relación que construye Suzume con una chica de su escuela.
En definitiva, Daytime Shooting Star es una película entretenida, visualmente linda y con un buen elenco, pero no aporta nada nuevo, tiene muchos detalles molestos y no es algo que les recomiende particularmente.
•IG DE RESEÑAS CORTAS: @altoplottwist
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Une série ou un film, j'hésite ...
En nous nous laissant le choix entre 4 h, deux fois deux heures ou 10 fois 24 min, le réalisateur qui monte, Fukada Koji, nous met face à un sacré dilemme en s'attaquant en 2019 à l'adaptation de ce Manga confidentiel, sortie en 2000. Les Français n'ont, évidement, eu droit officiellement qu'à la version compilée pour le cinéma de Honki no shirushi et qui n'a pas été si mal renommé en Suis-moi, je te fuis / Fuis-moi, je te suis, pour une fois. Ce diptyque, en deux fois 2 h, n'est pas moins intéressant que le format original. Souvenez-vous des compilations de saison d'animé pour faire un film de cinéma. Même Goldorak, dans les années 80, avait déjà eu droit à ses séances mercantiles qui n'ont toujours pas disparu. Mais ici, le but du distributeur français, est évidemment tout autre et pas de gros élagage, par rapport à la version de la NTV, n'a eu lieu. Seules quelques scènes ont été coupées, mais rien de vraiment fondamentale. Dès le départ, Fukuda Koji a pensé son scénario et sa réalisation pour un film. Et, clairement, avec un Manga qui ne fait que 6 volumes et écrit il y a 20 ans, on peut dire qu'il a dû mouiller sa chemise pour donner de la profondeur. J'ai regardé un peu en série et les découpages sont plutôt bien faits. Les cliffhangers donnent envie de voir la suite, mais clairement l'histoire doit se consommer au pire en deux parties, mais au mieux en une traite. De ce fait, les critiques vont souvent dans le sens d'un film qui amène l'ennuie. Mais encore faut-il savoir déguster les mets de choix pour les apprécier. 'Ce dilemme du choix du format n'en est donc pas réellement un. Pas comme celui de notre héros, incarné par Morisaki Win, qui se retrouve à la croisière de sa vie (comprendre, 30 ans pour un Japonais). La stabilité et l'engagement avec sa petite amie qu'il côtoie secrètement depuis des lustres, ou le monde foutraque, mais tellement attirant que lui propose sa mystérieuse nouvelle protégée ? L'hésitation, et la culture de l'excuse transparait dans chaque ligne de dialogue de cette œuvre magistrale et pourtant destinée au départ qu'à être un drama popcorn de plus pour la TV japoniaise. Alors 3 ans après sa première diffusion dans un océan de séries à la TV et sur les plateformes, une pandémie qui ne cesse de s'arrêter et une distribution française chaotique, à l'image de notre héroine, ce "film" vaut-il vraiement le temps que l'on y passera ?
La réponse est pour ma part, oui, puisque Fukada Koji oblige, le sujet est entièrement maitrisé tant au niveau de la réalisation, que du scénario. Comme toujours, le réalisateur d'Harmonium et du futur récompensé Love Life (prédictions ?) joue avec nous, nos doutes et nos certitudes. Il a compris parfaitement les codes qui régissent les triangles amoureux et souffle à chaque instant le chaud, puis le froid. Le plaisir de se faire balader par le scénario et ses révélations de chaque minute n'a pas de limite. On adore être surpris à chaque ligne de dialogue, s'attendant à chaque fois à un mot ou un geste et c'est le contraire qui se produit. La culture de l'hésitation, véritable religion au Japon, est en filigrane, quand elle n'est pas jetée simplement à la face du spectateur, le persuadant que lui, prendrait la bonne décision. Mais l'événement suivant lui montre que les personnages principaux ont souvent bien fait de ne pas trancher, ébranlant nos certitudes. Chacun se voit à la place des personnages. Vous serez toutes amoureuses de ce célibataire trop gentil et trop beau qu'est Morisaki Win, comme nous serons tous attirés par la fragilité et le grain de folie de Tsuchimura Kaho. Les défauts reprochés à l'un par l'autre sont mis en perspective quelques scènes plus loin en les retrouvant chez l'autre. On ne fait que s'interroger durant ses 4 h, se questionner et chercher les meilleurs choix et c'est peut-être cela qui fatigue les détracteurs de ce film.
Les regrets, les mauvais choix et surtout les mystères révélés à grand fracas semblent être des fils conducteurs dans la filmographie de Fukada Koji, Magnifiant encore une fois le concept dans cette œuvre. Mais le casting n'est clairement pas en reste. Le choix de Morisaki Win est évidement un choix judicieux en termes de gendre idéal. Mais c'est de loin Tsuchimura Kaho qui crèvele plus l'écran, et cela, dès les premières minutes. Elle incarne à elle seule les sentiments qui touchent tout adulte lors de ses choix de vie. Engagement, hésitation et rajoutons cette culture de l'excuse toute japonaise, qui transparait à chaque ligne de dialogue. Si vous l'appréciez, je vous conseille grandement Raion no o Yatsu, ou sa performance m'a fait verser un torrent de larmes, et pour cause.
Je tiens quand même à rassurer ceux qui ne verraient dans ce film qu'une comédie romantique. On y croise yakuza, corruption, monde de la nuit et coup bas dans les entreprises. La société japonaise, comme à son habitude avec Fukuda Koji en prend pour son grade. Aucune exagération de ce côté-ci. Il faut, comme il se doit, ne pas faire de vague et on peut vivre au Japon comme si on était dans le monde de "tout est super génial". Mais dès qu'on fait un pas de côté…
La musique est malheureusement le parent pauvre de ce film, même si un effort particulier est fait sur l'ambiance sonore. Bruit d'eau ou de vrombissement accompagnent les dialogues, accentuant souvent cette ambiance lourde, due à la mise en scène parfaite du réalisateur, avec un cadrage des scènes d'intérieurs aux petits oignons. Il faut dire que l'on passe beaucoup de temps dans la pièce/cuisine…, à cuisiner justement. Vous l'avez compris, The Real Thing (le nom anglais du film) est mon film de Fukuda Koji préféré…, jusqu'à Love Life certainement, que j'attends avec impatience. Je ne remercierai jamais assez Art House et la communauté Hanabi pour promouvoir ce genre de film en France. Même si celui-ci n'a pas eu le même destin qu'un Aristochrate ou d'un Tempuras, films romantico-sociétal bien moins captivants, pour pas dire envoutant. Mais je suis persuadé, une fois tout le talant du réalisateur reconnu à l'international, que "Suis-moi, je te fuis / Fuis-moi, je te suis" va devenir un film culte, à étudier en école de cinéma.
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La historia se centra en Ha Eun, quien descarga un aplicación de citas para mujeres por insistencia de su mejor amiga después de una ruptura dolorosa. Lo que considero genial sobre el guión es que sólo con conversaciones entre dos personajes muestra muchas cosas.
En principio, da espacio a señalar que se debe estar alerta incluso en las apps supuestamente exclusivas para mujeres porque hay hombres que entran ahí con cualquier tipo de intención. También brinda indicios de un amor correspondido sólo con miradas o un comentario mínimo.
Habla de las consecuencias de buscar la aprobación social, escondiendo tu orientación sexual y obligándote a ser algo que no eres. Y reafirma que está bien desear una pareja a la cual sostenerle la mano al caminar por la calle y hacer con ella todas las actividades que te gusten, sin estar pendiente de las miradas de otros.
Un detalle extra es la paleta de colores. Hay un contraste entre los personajes principales, por un lado colores fríos, por el otro cálidos, y cuando se juntan es como si la calidez abrazara a ambas. Muy lindo.
Sin duda, está entre los mejores GLs que he visto.
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Signal: Conectando con el pasado
He disfrutado mucho con esta serie. Este tipo de trama de investigaciones de crímenes que llevan años sin resolverse, y el toque fantástico de la investigación a través del tiempo, me encanta. Los casos que investigan por separado son muy interesantes y tienen mucha tensión, y la trama central está llena de intriga y suspense. Y sin olvidar que sus personajes me han encantado y con unas actuaciones a la altura. Lo único negativo, es su final. Pero es algo a nivel personal.Si os ha gustado películas como ‘Frequency’, la coreana ‘The Call‘, o ‘Memories of Murder’, y Kdramas como ‘Tunnel’ o ‘Voice’, con ‘Signal’ vais a disfrutar.
Podéis leer la crítica completa en el siguiente enlace
https://lascronicasdedeckard.com/k-drama-signal-conectando-con-el-pasado/
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Argomento controverso, ottimo drama ma a volte poco rispettoso dei problemi altrui
Suicidio è una parola terribile. Per alcuni un peccato inescusabile, sempre, per altri quella che sembra l’unica via di uscita da una situazione insostenibile, qualsiasi sia la motivazione.Chi si avvicini a questo drama con problemi personali inerenti l’argomento, farebbe bene a procedere con estrema cautela, perché il togliersi la vita è l’argomento pivotale di tutta la serie, e per come la vedo io, non è sempre trattato nel modo migliore.
Tutto verte infatti intorno alla lotta quotidiana di una piccola squadra speciale di Grim Reapers, tristi mietitori, angeli della morte, shinigami o come vogliamo chiamarli, il cui compito è di impedire il successo agli aspiranti suicidi. Questo perché, nelle premesse di questo drama, l’anima che rinuncia volontariamente al dono della vita finirà all’inferno e vedrà recidere tutti i legami che la collegano alla sua esistenza, senza possibilità di incontrare nuovamente quelle persone nelle reincarnazioni successive. A questa squadra formata dalla energica Goo Ryun e dal suo sottoposto Im Ryung Goo, si unisce per sei mesi un giovane apprendista, Choi Joon Woong, una ragazzo alla perenne ricerca di un lavoro, finito in coma per aver cercato di salvare un aspirante suicida.
Nel corso delle 16 puntate di questa serie ci sarà presentata un’ampia casistica di motivazioni per le quali gli esseri umani (e in un caso addirittura un cane) possono decidere di togliersi la vita. La squadra di prevenzione suicidi riuscirà a prevenirli, ma il focus del drama verte spesso sull’esposizione a chiare lettere di come un comportamento apparentemente non decisivo possa causare conseguenze devastanti in chi ne viene colpito. Bullismo scolastico, cyberbullismo, cattivi rapporti al lavoro, pettegolezzo… tutte cause apparentemente “leggere”, forse, in confronto ad altre più pesanti, come possono essere la rovina finanziaria della famiglia o la perdita di un bambino o una persona cara. Ma per chi le vive da dentro non esiste gradazione di dolore, solo il proprio personale inferno e gli aguzzini vanno messi di fronte alla proprie responsabilità.
Purtroppo, a prescindere dale cosiddette soluzioni che vengono trovate per dissuadere gli aspiranti suicidi, ho trovato a volte un approccio troppo semplicistico al problema. Sostanzialmente è come se ti venisse detto: è tutto nella tua testa, datti una mossa che tutto passa. Ma chi si dibatte in certe reti, fino ad arrivare a pensare di togliersi la vita, difficilmente riuscirà a liberarsi da solo: ha bisogno di aiuto esterno, così come ne hanno i protagonisti di queste vicende. Molto probabilmente, avrà bisogno anche di uno psicologo e, salvo difetti nella mia memoria, di aiuti psicologici in questo drama non se ne vede l'ombra. Eppure, in un paese che ha uno dei più alti tassi di suicidi al mondo, la salute mentale dovrebbe essere una priorità. Il fatto che il problema venga glissato completamente mi fa sospettare che esista un forte stigma contro la malattia mentale, la vergogna sociale di non essere all'altezza. E, in questo, il drama ha peccato di mancanza di coraggio, per cui per me rimane semplicemente un prodotto di intrattenimento che però, in taluni casi, potrebbe addirittura fare più male che bene.
Gli attori sono stati tutti molto bravi. Kim Hee Sun è stata un’ottima protagonista, sia in abiti moderni che in costume, un’eroina dolente dagli occhi espressivi. Rowoon e Yun Ji On sono stati due ottime spalle (perché sinceramente il giovane apprendista non mi è sembrato avere questo ruolo così preponderante, tale da poter dire che è il protagonista maschile). Discorso a parte per Lee Soo Hyuk che, pur non essendo prevalente, possiede comunque un carisma tale da spiccare anche in parti non principali. Anche gli altri attori di contorno, le figure dolenti cui sono stati dedicati via via gli episodi, hanno fatto un ottimo lavoro.
Ho apprezzato molto che una puntata sia stata dedicata alla tragedia delle comfort women, un crimine contro l’umanità per cui i giapponesi ancora oggi rifiutano di scusarsi e che, come il negazionismo della shoah, da alcuni è ancora non creduta.
I costumi sono stati molto soddisfacenti, sia nelle parti moderne che in quelle ambientate secoli fa. Le musiche hanno ben sottolineato l’azione e il comparto tecnico ha fatto, a mio parere, un ottimo lavoro.
Ho purtroppo percepito un poco di stanchezza a causa della ripetitività dell’azione: un susseguirsi di casi umani da salvare, mentre i rapporti tra la protagonista e il Grim Reaper interpretato da Lee Soo Hyuk fungevano da collante, invero non troppo efficace. Anche il coma del ragazzo è stato sfruttato abbastanza poco… insomma per la mia percezione la maionese è rimasta un pochino slegata, ma senza togliere molto al gusto della preparazione. Il finale potrebbe lasciare la possibilità della realizzazione di una seconda serie e, pur essendo soddisfacente, non posso dire abbia terminato la serie col botto.
In sunto, un drama piuttosto cupo, anche se condito con abbondanti dosi di speranza e qualche sorriso per le interazioni degli abitanti dell’altro mondo, coi suoi parallelismi con quello dei viventi. Ottimo lavoro, che avrebbe potuto essere anche migliore. Ma, ehi, ce ne fossero!
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O roteiro, apesar de ser uma temática bastante conhecida e com elementos, muitas vezes, previsíveis, o roteirista não poupou emoção, mas, felizmente, não exagerou nas mortes dos personagens. O drama teve um andamento agradável, não houve capítulos cansativos e nem correria na finalização, apesar da finalização não estar à altura do drama.
Os personagens são apaixonantes, exceto a mãe da protagonista, mas o roteirista amenizou e ofereceu uma redenção no último capítulo.
As atuações do elenco são primorosas. Os atores Yang Yang e Zhang Bin Bin, logo do início do drama, protagonizam cenas emocionantes e há uma cumplicidade em cena muito bonita. A morte do personagem Zhan Da Peng, após a cena do encontro com a médica Li Nan, era previsível, mas, mesmo assim, foi muito emocionante.
O romance não era ruim, mas demais cenas eram tão interessantes, que o romance se tornou um complemento do enredo.
A trilha sonora é agradável e bem utilizada para amplificar a emoção das cenas.
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novela mexicana
Kiva tem um foco maior no drama e romance do que a maioria dos riders, e isso serve tanto para seu bem tanto quanto seu detrimento. A ação, a estética e a OST são todos fenomenais, a historia é contada de um jeito unico que funciona muito bem e os personagens são carismaticos e memoraveis.Dito isso, ainda creio que Kiva possui partes onde se prende muito em seu drama, além de uma deuteragonista que não faz nada, um antagonista final muito esquecivel e um final meh.
No geral, recomendo bastante pra quem procura um rider mais focado em drama e tragédia.
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No me convenció el romance
HistoriaLa mire porque quería ver una historia en que una chica se viste de chico (ocultación de identidades) siempre me parecieron interesantes. Pero esto, se me hizo un poco cansino. Lo sentí muy irreal que el prota se enamorara muy rápido de la prota, digo me gusto que se enamore aún si fuera un chico, pero no me gustó como lo manejaron, se me hizo agotador el romance, y que el chico la persiguiera como un cachorrito.
Actuación/elenco
Es el segundo drama que Rowoon no me gusta, quizás algún día lo encuentre en otro k-drama y ame su papel. La prota neutral. En resumen, No me gustaron mucho los protas. Ame a los niños, más que los principales. Hasta llegue a punto que quería que la historia sea desde el punto de los niños. Eso es terriblemente malo para mí disfrute.
Musica
La canción de Lyn, hace que no diga que no valió la pena mirarla.
Valor de repetición
Con una vez me basto.
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It has everything except..
This really has everything only thing bit does goes wrong sloppy placement of scene or direction other than that everything good little logical mistake happens but fun to watch mystery really maintained but as I said many logical questions arises due to the reasons they gave and many characters are there just to hate them.It has intresting take on other aspects of friends relationship and other factors which fits well to the story.
I watched it weekly and it was great to be watched weekly beach watching will make many questions ? it has so many logical mistake as I said.
But fun to watch mystery is good and acting done good so go for it nothing nonsense unless you don't have taste for it so watch see if you like it you will or will not.
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