O elenco era agradável e as atuações foram boas porem alguns personagens secundários eram desnecessário como os dois médicos bobalhões que tinha na equipe da Dor. Um ponto negativo nesse drama é a protagonista feminina, ela chorava a todo momento principalmente quando olhava para o protagonista masculino , o perfume dele deve ser de essência de cebola porque não é possível ela olhava para ele e chorava , foi cansativo de ver, fora a obsessão que ela tinha por ele, para ela ele tinha que amar ela e depender dela era algo realmente desconfortável dever chegava a dar arrepios, O romance nesse drama definitivamente não funcionou , eles não tinham química nenhuma , achei um amor meio unilateral da parte dela. Mas não tirou o brilho do drama foi bom de assistir.
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Le drama qu'il ne faut manquer à aucun prix !
Synopsis (nécessaire pour un peu d'Histoire)Sung Deok Him est destinée depuis sa petite enfance à devenir dame de la cour royale. Elle va apprendre tout ce qui fait une dame du palais : lire, écrire, comment se tenir, comment parler, tous les gestes de l’étiquette. Elle est heureuse de son sort, elle est fière d’être attribuée au service du palais du Prince héritier, qu’elle devra servir jusqu'à ce qu’il soit intronisé, et alors elle sera soit renvoyée, soit attribuée au palais royal… elle n’a pas le droit de se marier, ni d’avoir des enfants, elle appartient au Roi, comme tous les serviteurs, dames de cour ou eunuques, les dames de la cour ont un statut d’esclave.
Il y a le prince héritier Yi San et ce n’est pas n’importe quel prince héritier lambda du sageuk de base. Non, c’est le petit-fils du roi régnant, Yeongjo et le fils du prince Sado, exécuté par son père quand Yi San n’était qu’un enfant de 10 ans. On a déjà croisé ce prince Sado dans Secret door, et son fils, le roi Jeongjo dans Painter of the wind, ou Sunkyungkwan scandal. Il y a deux versions : il aurait été embringué dans un complot qui aurait fait croire à une trahison, ou alors c’était un psychopathe, violant, assassinant à tout va. Le fait est que son père le fait enfermer dans un coffre à riz jusqu’à ce qu’il en meure.
Notre héros porte cette charge mentale ,pour parler comme aujourd’hui, et se trouve constamment soupçonné de devenir comme son père, sans arrêt en but à des complots visant au mieux à le détrôner, au pire à lui ôter la vie. Bref, il navigue à vue sur une mer semée d’embûches et d’écueils.
Quand Deok Kim rencontre Yi San, elle ne sait pas qui il est, et le traite donc comme n’importe quel personnage de la cour et cette erreur va permettre la création d’un lien de confiance entre eux, car le prince qui ne peut respirer sans craindre, trouve là une attention sincère et franche.
Ce que j’en ai pensé :
C’est un magnifique sageuk, un des plus beaux, dans la catégorie « sageuk historique » c’est à dire très enraciné dans l’Histoire réelle. Toute la trame historique est vraiment respectée, les scénaristes se sont donné libre cours dans l’écriture des personnages et de leurs sentiments, tout en les faisant parfaitement coïncider avec le contexte historique. C’est la première fois qu’on se penche sur la condition de ces femmes toujours là mais n’ayant pas d’existence personnelle : les dames de la Cour. Le scénariste s’est attaché à créer un magnifique type de femme en la personne de Deok Him, à la fois complètement investie dans on rôle de servante et en même temps voulant conserver la liberté qu’elle a su trouver dans cet accomplissement. Elle s’est créé un univers de complicité et d’amitié et sait qu’elle sera totalement isolée si elle devient concubine royale, elle le refusera autant qu’elle le pourra, puis finira par accepter mais en refusant d’admettre à haute voix qu’elle aime le Roi, car c’est la seule liberté qui lui reste. Et pourtant c’est bien par amour qu’elle accepte, car la c’est la perspective de ne plus jamais le revoir qui la fait céder à l’ultime demande. Jusqu’à l’ultime adieu, le Roi posera la même question : « m’as-tu jamais aimé ? » et elle répondra » serais-je ici si je ne vous avais pas aimé ? j’aurais trouvé un moyen de m’enfuir à tout prix… » Quelle force que cette femme qui maîtrise ses sentiments d’une volonté de fer !
Le Roi est l’autre personnage fascinant de l’histoire : d’abord Prince héritier, on est loin du prince romanesque habituel, c’est un personnage politique, constamment tenu en haleine par la crainte de perdre la vie, en même temps persuadé d’avoir un rôle à jouer pour son pays, investi de son rôle mais sachant qu’il y aura toujours quelqu’un pour lui refuser sa légitimité du fait de la mort infamante de son père. Il tombe amoureux de Deok Him mais plutôt que tomber, il s’élève par cet amour, qui lui donne un point d’appui et elle va lui devenir complètement essentielle. Tant qu’il est prince héritier elle est à son service et fera tout pour l’aider et le protéger, mais quand il devient Roi, elle prend du recul. Il est le Roi, il pourrait tout à fait la contraindre, personne n’y trouverait rien à redire ! Mais il sent bien qu’il y perdrait l’essentiel de son être, son estime, on le sent plusieurs fois sur le bord d’user de son pouvoir, mais la force de volonté qu’il sent en elle le retiendra jusqu’à ce que ce soit elle qui fasse le tout petit geste qui montre qu’elle va enfin accepter. Car si à nos yeux d’occidentales modernes le Roi est un égoïste profiteur, il est plutôt une exception remarquable à l’autoritarisme patriarcal de règle en Joseon.
Il est à remarquer que jamais Yi San n’oublie qui il est il se comporte toujours en Roi, même dans les moments où parlent les sentiments, il reste le Prince, ou le Roi et on ne peut qu’admirer la façon dont le scénariste a écrit son personnage, capable de décisions terribles mais capable aussi d’en souffrir et d’en être marqué . Les deux héros resteront fidèles à eux-mêmes d’un bout à l’autre du drama.
Sur les 17 épisodes, 15 sont consacrés à cette magnifique relation amoureuse (avec naturellement tout un tas d’autres histoires de complots, de sociétés secrètes, de luttes d’influences et autres intrigues de cour) mais l’épine dorsale du drama, c’est la relation entre Deok Im et Yi San.
Dans les deux derniers épisodes la relation est là aussi, mais plus en souvenir car si on regarde sur Wikipedia la vie du Roi Jeongjo, dans le chapitre épouses et descendances, on sait que ça ne va pas être heureux… mais les scénaristes se sont arrangés pour que nous pauvres téléspectatrices (teurs, s’il y en a) n’aient pas le cœur complètement brisé !
Et c’est là que j’attendais au tournant le scénariste, parce que ça n’avait pas intérêt à tomber dans la guimauve ridicule !
J’ai vu le dernier épisode et il est parfait ! Car, comme il a déjà été dit, l’essentiel est la relation entre le Roi et la Concubine royale, devenue dame Uibin. On a encore sauté quelques années, l’épisode débute par la mort du prince héritier de 3 ans, d’une maladie éruptive, et Uibin ne va pas s’en remettre. Elle va positivement s’éteindre, malgré ses efforts pour l’enfant qu’elle porte, et je dois dire que la scène de sa mort, quand elle dit au Roi qu’elle préfèrerait voir ses amies parce que lui a beaucoup de soutien mais qu’elles n’ont que son amitié, la douleur du Roi m’a littéralement percé le coeur… Et durant la seconde partie de l’épisode, à partir du jour où le Roi choisit « d’oublier » parce qu’il a son devoir de roi à accomplir, on va s’éloigner de la vie de cour des discussions entre nobles de l’opposition à Jeongjo et on va retrouver le Roi à 50 ans (ils auraient quand même pu le vieillir un peu plus qu’une petites barbiche grisonnante, mais je chipote) La scène très touchante où le second conseiller de gauche reconnaît qu’il a été un excellent roi (alors qu’il s’est constamment opposé à toutes ses décisions) m’a émue, ainsi que la même remarque d’un homme du peuple qui ne le reconnaît pas. Le Roi étant malade, je voyais une fin classique arriver, mais là les scénaristes ont eu un coup de génie ! Le Roi se réveille, comme ce jour où il avait dormi tout l’après-midi sur les genoux de sa maîtresse, jeune à nouveau, et elle lui parle comme elle l’avait fait, lui disant qu’il sera en retard… Qu’on l’attend… mais il reste… Alors ce n’est pas une rencontre dans une autre vie, c’est comme s’ils s’étaient retrouvés dans des limbes où, comme elle le dit ils vont vivre leur éternité… C’était parfait, pas de guimauve, pas de retournement ridicule et impossible, pas de happy end, seulement un habile jeu de scénario qui évite qu’on se retrouve ravagés de chagrin pendant des jours…
JunHo est éblouissant, déchirant dans le chagrin, juste dans l’autorité, sensible, il n’y a pas une seconde où il n’est pas le personnage dans son entièreté ! Il est le Roi parfait.
Le Si Young est aussi à la hauteur de ce roi étincelant, elle porte très bien ce caractère original de femme qui ne veut absolument pas ce que toutes les autres rêvent d’obtenir.
Il y a d’autres personnages passionnants, entre autre le grand-père, le vieux roi Yeongjo, emporté, torturé par le fait d’avoir dû exécuter son fils, par la peur permanente de voir chez le petit-fils des signes de la folie du père, petit-fils qu’il aime plus que tout mais qu’il surveille et soupçonne tout le temps, et là aussi, la relation des deux hommes est remarquable, entre l’amour, la peur, la violence, la mort n’est jamais très loin…
Un autre personnage intéressant et lui aussi plein d’ambiguïté, déplaisant, irritant et pitoyable pour finir, c’est le conseiller Hong, placé depuis l’enfance auprès du prince, son ami d’enfance, mais dont le prince ne saura jamais quel est son degré d’intéressement ou d’amitié réelle …Il s’est dévoué au Prince ou plutôt à la fonction, et n’a jamais vraiment compris l’homme…
Quelques autres portraits de femme aussi, la reine douairière, « grand-mère » du Prince, ou sa mère biologique, la Dame de La cour en chef, les amies de Deok Im…
Que dire de plus ? pas de longueurs, pas de flashback inutile… La musique est belle, discrète, peu de chansons très bien placées et jolies, images très belles mais on nous épargne tous les fastes habituels : mariage, couronnement, etc…
D’ailleurs, tiens ! La Reine ! On n’en parle strictement jamais !!! Au point que je me suis longtemps demandé comment ça se faisait que personne ne parlait de le marier, plutôt que lui trouver une concubine ! On apprend incidemment son existence au milieu de l’épisode 16, je crois… quand le Roi estime nécessaire d’aller la voir…Alors, là, quand même, je sais que c’est Deok Im l’héroïne, mais il semble qu’on aurait pu au moins mentionner le mariage du Roi, ne serait-ce que par une phrase !
Au niveau invraisemblance à part le sauvetage bizarre de la vieille dame de la cour sortie de son cachot on ne sait comment je n’en ai pas vu d’autres…
Je remarque aussi l’effacement total de ce qui a fait surnommer Jeongjo le champion de l’amour filial, la construction de la ville de Suwon, sa forteresse surnommée « forteresse de l’amour filial », le tombeau son père, et son souci constant de le réhabiliter en tant que roi.
ça n’a pas d’importance, on a sauté de nombreuses années après la mort de Uibin, donc tout ce qui concernait la vie royale ne nous concernait plus…
En conclusion, c’est vraiment un drama superbe par la magnifique écriture des personnages et des dialogues, par le souci constant de respecter l’Histoire (en sachant très bien ne pas s’encombrer de détails) Encore une fois il faut voir JunHo incarner ce Roi, il est positivement habité par le personnage… Il est magnifiquement dirigé, entouré, soutenu et l’ensemble est inoubliable !
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une déception de plus...
Le premier épisode lancé et j'étais sous le charme. Des protagonistes aux antipodes évidentes faisant fi de leur différence est un thème aguicheur.Jin Moo Hak est le personnage qui m'aura permis de tenir le coup jusqu'au bout : nouveau riche et grippe-sou sans aucune honte, ce personnage est pourtant adorable de part sa franchise assumée, ses raisonnements très terre à terre mais ô combien réaliste et surtout sa maladresse et sensibilité qui détonnent pour un personnage plaçant l'argent au-dessus de presque tout. A la limite de l'inculte, ses propos parfois "grossiers" sont pourtant remplis de sincérité et tout comme Dali, nous sourions souvent à ses erreurs d'expressions ou son manque de subtilité. J'ai particulièrement aimé ce personnage, un battant qui ne renie ni ses origines, ni ce qu'il aime.
Face à lui, Dali était au premier abord, une jeune femme issue d'une certaine classe sociale, cultivée et raffinée. Leur premier rencontre est un délice et voir Dali aussi enjouée face à la maladresse un peu brute de Moo Hak présageait une romance légère et sucrée. Ce qui fut le cas au tout tout tout début. Car très vite, avec tous les malheurs du monde qui s'abattent sur Dali, l'ambiance bon enfant disparait pour nous montrer (encore) le pire chez l'homme. Cela ne serait pas un défaut, si Dali n'avait pas passé les 3/4 de son temps à se dénigrer, à courber l'échine et à pleurnicher....je suis sûrement un peu extrême, mais je regarde en parallèle "Jun Jiu Ling" et le contraste avec la force de caractère et l'intelligence incroyable de Jiu Ling dessert grandement celui de Dali. Elle reste tout de même un personnage sympathique, qui illumine l'écran lorsqu'elle sourit.
La romance entre les protagonistes est assez mignonne et on suit facilement la progression de leur lien. Il faut tout même remarquer que Moo Hak est le moteur dynamique de ce couple. Bien que Dali soit assez mature et peu prude, ce qui apporte une petite touche de sensualité dans leur couple, j'avoue avoir trouver un peu leur couple ennuyant. Un peu.
L'autre reproche? les personnages secondaires. Caricaturés à l'extrême, ils sont mal écrits. Montrer des nouveaux riches mal dégrossis, pourquoi pas. Mais il eût mieux valu peut-être leur donner une certaine profondeur, les rendre attachants ou du moins nous les rendre accessibles...Tout comme le monde mondain dans lequel évolue Da Li est tout aussi cliché avec des personnes très maniérés et prenant un peu de haut ceux qui ne s'y connaissant pas en art. J'ai trouvé cela très frustrant lorsque Moo Hak est pointé avec un certain mépris sur son manque de culture ou de goût dans les arts.
La famille de Moo Hak? Criard et pathétique. Aucune émotion ou lien entre père et fil ou mère et fils valant la peine de s'y attarder.
L'ex-fiancé de Dali? Fade et inintéressant. J'aime les antagonistes qui sont classes et donne du fil à retordre grâce à leur intelligence...ce qui n'est pas le cas ici.
L'équipe de Dali au musée? De la décoration. Ils ne servent à rien et aucun lien d'amitié ou de loyauté qui nous donnerait envie d'applaudir leur combat commun.
Ahn Chak Hee? Je trouve dommage qu'elle n'ait pas une évolution aussi intéressante que Li Tian dans "My Fated Boy"....
Seul, l'ami d'enfance de Dali et la secrétaire de Moo Hak sont plutôt intéressant.
C'est dommage car la réalisation est bonne et l'OST très sympathique.
Au final, une déception de plus....
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Une incroyable fresque poétique
Je vais prendre à contre-courant la rivière des pensées, des ressentis et des conclusions de bien d’autres. J’ai perçu ce drama, cette merveille, de manière très différente et c’est l’une des raisons pour laquelle j’écris cette critique aujourd’hui. Pour offrir un autre point de vue et peut-être, une autre explication.Nos émotions et nos vécus conditionnent la manière dont nous percevons les choses. C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles le public est si déchiré vis-à-vis de cette histoire qui, à mes yeux, est avant tout une histoire d’amour.
Car oui, Bulgasal est avant tout une histoire d’amour. Celle d’un couple dont les blessures ont influé 1000 ans de chagrins et de malédictions.
Je vais commencer par parler du personnage principal, Dan Hwal, dont la personnalité, les blessures et l’interprétation m’ont bouleversée. Pour moi, il est – et de loin – le personnage le plus difficile à interpréter de par sa complexité émotionnelle. De polarité Yin, Hwal est un être qui intériorise toutes ses émotions, tant pour les dissimuler au monde qu’à lui-même. Pour survivre, il n’a d’autre choix que de renier tout ce qu’il peut ressentir et ce jusqu’à présenter le visage de la mort elle-même. Car, et pendant six cents ans, Hwal est mort de l’intérieur. Cela se traduit par son regard éteint et cette maison décrite comme celle d’un fantôme. Hwal n’existe pas. Dans ses émotions, dans ses pensées, dans son habitation. Il est là sans l’être. Seule la vengeance l’anime car il n’a que ça. Jusqu’à sa rencontre avec Min-Sung, qui lui insuffle tout doucement la vie, ce qu’illustre parfaitement non seulement le regard de Lee Jin-Wook mais également la maison qui s’illumine petit à petit. La vie y revient car lui-même reprend vie. D’abord par la colère, puis par l’affection et enfin par l’amour. Le drama s’articule entièrement autour de ses émotions et de ses pensées. Et l’acteur … que je ne connaissais pas avant, le montre si bien par sa gestuelle et ce regard qui dit tant de choses ! On le voit tout doucement s’épanouir, par petites touches. Alors oui, le processus est lent mais après six cents ans, n’est-ce pas normal ? Et n’est-ce pas là toute la beauté de la chose ? De voir cet être, qui a tant souffert, revivre ? Ou devrais-je même dire ressusciter ?
J’ai pu lire que beaucoup regrettaient les scènes familiales, pour eux peu utiles et préjudiciables au rythme. Une nouvelle fois, je me permets de signaler mon désaccord. Elles sont pour moi essentielles car elles illustrent le chemin de Hwal qui, d’un être animée par la haine et la vengeance, s’est mué en un être prêt à aimer. Car Bulgasal n’est pas une histoire de vengeance, elle est l’histoire d’un être différent, d’un « monstre » méfiant envers les humains, qui apprend à pardonner, à aimer et à être lui-même humain. Sans ces scènes, la fin et l’histoire elle-même perd de son sens car elles sont essentielles au choix et au cheminement. Elles sont au cœur de l’histoire.
Ce cheminement, cet éveil à l’amour est symbolisé par son histoire avec l’héroïne, sa moitié d’âme et de cœur. Ces deux êtres sont nés ensemble. Ils sont les deux moitiés d’une même âme, raison pour laquelle on ne peut les tuer. Car, et oui, Eul-Tae le dit lui-même à Hwal, les Bulgasals ne sont pas immortels parce qu’ils n’ont pas d’âmes mais parce qu’ils sont jumeaux. Et c’est l’une des deux raisons pour lesquelles Min-Sung se réincarne dans deux jumelles au début de l’histoire. Pour illustrer la réalité derrière les Bulgasals. Ils partagent leurs âmes. Ils sont donc tout l’un pour l’autre. Néanmoins, Min-Sung a compris avant Hwal, qu’elle avait assez de place dans son cœur pour les humains et l’homme de sa vie, là où Hwal a fait d’elle son univers tout entier au point de renier jusqu’à l’existence, non seulement d’autrui, mais de lui-même. Min-Sung avait un cœur humain là où lui en refusait même la possibilité. De polarité Yang, elle était déjà tournée vers les autres il y a 1000 ans. Néanmoins, elle a fait ses propres erreurs et le drama retrace également son apprentissage vers l’équilibre. Elle n’avait pas à choisir. Aussi, et alors qu’elle l’a « abandonnée » 1000 ans plus tôt, elle n’a pas refait la même erreur dans le présent. On la voit en effet, et à nouveau, partir avec Si-Ho et Do-Yoon dans le présent – et donc délaisser Hwal – avant de faire demi-tour pour aller le retrouver. Cette scène, où elle l’empêche de se poignarder, où elle est là pour partager sa douleur, symbolise l’équilibre retrouvée. D’un impact ahurissant, elle illustre le chemin de l’héroïne vers son propre retour vers elle-même et vers lui. Car Hwal et Min-Sung ne font qu’un. Ils avaient donc tous deux à apprendre pour pouvoir se retrouver.
Il y aurait énormément de choses à dire et à analyser sur ce drama, mais je vais arrêter ma propre passion ici pour parler du troisième élément essentiel de l’histoire, Ok Eul-Tae.
Lee Joon est la raison première pour laquelle j’ai regardé Bulgasal car il est un acteur que je suis depuis longtemps. Son jeu est, une nouvelle fois, impeccable pour un personnage qui représente à la fois le côté monstrueux et coloré de la série. Je pense d’ailleurs, que ses côtés comiques et attendrissants ont été les raisons pour lesquelles il a tant plu au public. Pour ma part, j’ai trouvé le personnage un peu superficiel et classique. En effet, il est l’enfant malheureux et fragile, en manque d’amour, qui souhaite exister en devenant puissant et immortel. Son côté le plus intéressant était son admiration, son amour même, pour Hwal, qui représentait à la fois le père, le frère, et le mentor. Au final, on peut dire qu’Ok Eul-Tae a fait le chemin en sens inverse du héros car il a fait de Hwal – et du Bulgasal – son univers tout entier jusqu’à s’oublier lui-même, c’est-à-dire jusqu’à oublier son humanité. C’est cette facette que j’aurais aimé voir un peu plus développer car elle donnait un peu plus d’essence au personnage de Ok Eul-Tae qui, et autrement, voulait seulement se débarrasser, non pas de l’héroïne, mais de lui-même en détruisant son âme. Quoique, on pourrait dire qu’il voulait également la faire disparaître, car elle représentait l’obstacle entre lui et Hwal, et surtout, l’obstacle entre Hwal et sa déshumanité puisqu’elle est son Amour, et donc sa lumière.
J’ai adoré les personnages secondaires, adoré leurs rôles et leurs implications dans l’histoire. Coup de cœur pour le personnage du père, dont la force m’a impressionnée. Je l’ai trouvé très touchant, voir même bouleversant, dans sa relation avec Hwal et les autres. J’ai d’ailleurs été particulièrement touchée qu’il soit celui qui demande à Hwal de rester humain à tout prix avant d’être celui qui, en premier, lui donne son sang pour l’aider à survivre. J’espère, et je veux croire, que Hwal se soit d’ailleurs réincarné en son fis dans sa nouvelle vie.
Hye-Sok était très attachante et mystérieuse, Shi-Ho était adorable et Do Yoon …. Ah Do-Yoon … que j’ai aimé sa relation maladroite avec Hwal.
Les acteurs étaient tous incroyables. J’aurais tant à dire, tant à féliciter, tant à remercier. Je réitère mon incroyable coup de cœur pour Lee Jin Wook, à l’interprétation fabuleuse.
Je voudrais revenir sur la fin du drama, que beaucoup n’ont pas compris. Une nouvelle fois, les Bulgasals n’étaient pas immortels car ils n’avaient pas d’âme mais parce qu’ils la partageaient. Lorsque Hwal s’est sacrifié en se tuant avec Ok Eul-Tae, il a mis fin à un cercle vicieux auquel il a donné naissance 1000 ans plus tôt, lorsqu’il a donné une moitié de lui-même, son immortalité, à Eul-Tae. C’est d’ailleurs la raison, je pense, pour laquelle Hwal et Min-Sung étaient différents, même humains. Ils possédaient une force différente, comme si l’un et l’autre étaient toujours Bulgasal malgré leurs mortalités. C’est aussi la raison pour laquelle Eul-Tae tenait absolument à détruire son âme – et Min-Sung – pour devenir un vrai Bulgasal et ainsi être réellement puissant, car sa fragilité et son humanité passée étaient illustrés par son trou noir. Lorsque Hwal et Eul-Tae sont morts, les « Bulgasals » ont disparus. Si Hwal avait survécu, je pense que Min-Sung serait également restée en vie. Mais son côté Bulgasal étant également mort en même temps que celui des deux autres, elle est morte complètement humaine et ce pour la première fois. Hwal s’est réincarnée car il a récupéré son âme, celle donnée à Eul-Tae en échange de la sienne, et Min-Sung s’est réincarnée avec l’âme de Eul-Tae, celle que lui-même n’a pas réussi à détruire une huitième fois (raison pour laquelle il avait tant besoin de Hwal. Il avait d’ailleurs précisé que s’il refusait de la détruire, il la tuerait encore et encore indéfiniment jusqu’à ce qu’il se décide, preuve qu’elle pouvait se réincarner comme elle le désirait).
Autre théorie, Min-Sung s’est réincarnée avec la même âme que Hwal, celle des jumeaux Bulgasals de départ, tandis qu’Eul-Tae a récupéré la sienne et a recommencé quelque part sa propre vie d’humain.
J’aurais des dizaines de milliers de choses à dire mais je vais m’arrêter là pour ne pas en faire un pavé de dizaines de milliers de lignes. Merci, simplement, pour m’avoir fait rêver, pleurer et rêver – et un grand merci à Jin-Wook et Nara, pour avoir magnifiquement illustré cette histoire d’amour qui, au-delà d’une histoire de cœur, est une histoire d’âme.
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Perda de tempo
Tirando a cena +18 dos dois principais, que é hiper sexy, todo o resto do filme é chato, sem muito apelo ao emocional, um pouco mal construido e com um plot twist no final PESSIMO, de um jeito que a cena +18 ganha totalmente outro significado. Nota 6 p/ mim e olha, já quero esquecer o q eu eu assistir.A história é sobre uma menina virgem que casou mas não conseguia fazer sexo com o marido, ele a largou e ela fica no complexo com seu corpo/sexo/intimidade. Mas isso também não é bem desenvolvido pq já pula pra cena dela tendo que assumir o restaurante do pai. Lá ela conhece o menino principal, que é um chefe que trabalhava na europa e agora está trabalhando lá.
Sério, não vale a pena. Não tem romance o suficiente, não tem fanfic suficiente, não tem nada o suficiente além de 50 minutos de pura depressão da principal, depois algumas fofinhas dela com o chef, depois vai pro final pra completar a bomba.
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Adorei a viagem
Esse drama de ação é de tirar o folego , o enredo é bem interessante e trabalhado, com um ótimo roteiro e com cenas de ação eletrizantes que te fazem saltar do sofá. A direção foi formidável gostei muito também da fotografia e também das musicas no momento certo.Adorei o fato de ter pequenas histórias e em cada uma aprendíamos uma lição ainda mais sabendo que eram histórias reais na realidade gostaria que tivessem mais. As cenas de lutam eram muito boas apesar de ser um pouco forçadas e fora da realidade algumas vezes, pois parecia que o protagonista masculino era uma máquina , mais deixando isso de lado gostei muito de ver , as cenas eram bem feitas e dirigidas.
Outro fator que eu gostei foi que neste show não tem perdão para os pecadores todos serão punidos ao contrario de muitos dramas que vemos por aí. Vou falar agora pontos negativos ao meu ver: Achei a promotora na maioria das vezes irritante , ela foi ficar mais interessante quase no final, poderia ter menos foco nela, foi meio que perda de tempo ou podiam ter feito a personagem dela de forma diferente, outro fator negativo foi que o drama ficou arrastado do meio para o final, mesmo tendo as cenas de ação que achei que foi o ponto alto deste show porém não deu para segurar muito a empolgação que eu estava no inicio, para mim acho que 12 episódios já seriam suficiente.,
Em fim apesar das falhas é um bom show eu recomendo gostei do que assisti, conseguiram passar a mensagem que queriam e o final foi bem satisfatório para mim.
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Un monde où l'espoir n'est pas permis....
Étant dans une période de drama « Survival » (voir « Death Game » lorsqu’il y en a de disponible x’D), je me suis lancée dans cette nouvelle histoire. Cependant, j’ai assez vite déchanté lors de mon visionnage ^^’ ! Bien qu’ayant lu pas mal de critiques positives, je ne l’ai pas trouvé si bon que ça…Pourquoi me direz-vous ? Voici quelques points qui répondront à votre question :
► Le casting principal est ciblé sur des adolescents : Ce qui peut être intéressant dû au fait que l’on change de public (Souvent dans les derniers dramas traitant du sujet, il s’agit d’adultes ^^) Cependant, on nous montre sans doute le reflet de notre perception de l’adolescence… Ce qui les rend irréfléchis, violents, naïfs, égoïstes… (Vous me direz, il y en a & cela peut faire avancer l’histoire mais à mon sens, ils étaient TROP caricaturaux…)
► La gestion de crise : On nous montre une gestion assez inhumaine mais si on y réfléchit… On se dit que beaucoup feraient ce choix afin de sauver le plus grand nombre. (Au final, c’est tout de même la peur qui dirige la plupart des décisions…)
► Beaucoup de scènes sanglantes qui se suivent & se ressemblent… : J’ai lu un avis sur ce drama qui disait que les Coréens ne faisaient pas de gore pour du gore… Je dois dire que je suis assez peu d’accord avec cette affirmation pour ce drama (Après, il est produit par les américains, cela explique donc pas mal de choses ^^’).
► Un monde sans espoir : Dans les histoires du genre, on nous laisse souvent une porte de sortie… Une façon de pouvoir respirer dans notre visionnage en sachant que finalement malgré les morts, une solution sera trouvée & les habitants sauvés… Cependant, ce drama a plutôt misé sur l’autre versant… Celui où rien n’est possible à part l’extermination… C’est un point de vue différent mais à mon sens, il est défendable. Je reprocherai tout de même le fait qu’après autant de décisions difficiles & de morts, je ne comprends pas pourquoi on ne voit pas plus l’après… On ne nous permet pas de nous faire une idée de la « psychologie » des survivants… (Je suis d’ailleurs étonnée qu’il n’y ait pas eu plus de suicides après les évènements…)
Vous l’aurez compris, ce drama ne m’a pas réellement convaincu… Les réactions sont trop « naïves » & dirigées par des sautes « d’humeurs ». J’entend par là, qu’il n’y a pas de vrai réflexion derrière les différentes actions… Au final, les héros finissent toujours coincés… Et des gens doivent se sacrifier pour continuer à avancer…
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jisoo atriz do ano!
foi realmente muito bom ter começado esse drama desde a estreia, uma coisa que eu fico chocado desde o inicio é ter que acreditar que esse é o PRIMEIRO drama da jisoo e a atuação dela já está num nível tão alto, eu imagino quem assistir snowdrop daqui há um tempo vai ficar "tem certeza que esse foi o primeiro drama dela?" porque olha, a atuação dela é incrível, a cena dela chorando e discutindo om o soo ho por causa do seu irmão que tinha morrido me fez eeu me emocionar junto com ela, aquela cena é INSANA!!uma coisa que me entristeceu um pouco foi que o drama ficou praticamente desde o final só no dormitório, e eu achei que ia haver um final talvez um pouco diferente, e não triste... mas o final triste tudo bem só que ter ficado apenas no dormitório... :')
mas ainda assim não é motivo pra eu falar mal, pois é um drama INCRÍVEL, com atores e atrizes INCRÍVEIS e que eu não esquecerei NUNCA!! fico muito feliz pela jisoo estar sendo valorizada em sua atuação maravilhosa, mesmo eu não sendo stan dela deu pra sentir isso, espero também que no futuro ela faça muitos dramas!! nem falarei do hae in pois todos aqui sabemos que ele é maravilhoso como ator haha, enfim, vale muito a pena assistir, com certeza um dia irei assistir novamente inclusive!
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um kdrama que promete muito no começo, mas ao longo da história cumpre pouco do que prometeu...
como disse no título, esse é um kdrama que no começo promete muito, mas cumpre pouco do que prometeu no início...a história em si é ÓTIMA mas o que eu odiei foi por ela ser literalmente zumbi, zumbi e zumbi, e isso me decepcionou muito, ainda mais no final, que eu esperava que girariam esse disco, mas continuaram... assim, eu sei que a história É sobre zumbis, mas terem focado apenas nisso foi muito frustrante.
eu esperava poder conhecer mais sobre os sobreviventes no final da história, talvez mais sobre o cheongsan... mas até ai, ok, o que te choca é que desde o começo até o final você já está cheio de ouvir a palavra zumbi, apenas isso me decepcionou mesmo, eu acho, porque o drama é INCRIVEL!!!!! a história é perfeita, os atores são perfeitos... eu até gostei, mas acho que pelo motivo de só ter escutado a palavra zumbi DESDE o começo, eu não dou mais do que 8 como avaliação.
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Frustrante, esperava mais, pela repercussão.
Para um dos mais famosos entre as dorameiras, achei bem meia boca! Pqp...mais uma vez eu vou na contra mão da maioria. Só porque tem os clichês que não gosto, tem até o pior de todos, perda de memória, que odeioooo...afffffff ?Não tem uma separação...tem 3.+ Mãe chaaaata
+ Casamento forçado que não rola no último minuto
+ Separações tolas
+ Passagem de tempo com separado sem sentido
+ A mocinha gritando o tempo todo, estridente.
Fora o buling gratuito, e uma piriguete "nos últimos minutos do segundo tempo" pra quê? Pra nada. Só pra atazanar a dorameira, pq até parece que não aguentei ver um monte de ?, até neste ponto, tinha de ter mais isso... Muita coisa desnecessária. Mas teve umas cenas no início que eu gostei e ri muito. Mas ele NÃO chega no meu top 3, muito menos no meu top 10...
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O cara apanhava do pai, viu sua mãe fugir junto da irmã mais nova por causa de seu pai, seu pai era uma p!@# de um serialkiller seu pai matou os pais da namorado dele(nem vou falar do irmão dele). Apesar de todas as dificuldades ele ainda queria ser DIFERENTE do seu pai, foi ser policial, tentar ajudar os cidadãos e meio que arrumar um jeito de diminuir a culpa que caiu sobre ele (MESMO ELE NAO TENDO CULPA DE NADA). Mas mesmo se tornando tenente, policial, detetive a opinião publica e o cidadão coreano ODIOU ele, ignorou todo o esforço que ele teve para provar ser uma pessoa melhor apenas por causa do ditado "filho de peixe, peixinho é". FAMILIA??????????????????? Pode ser que a cultura coreana seja diferente da nossa mas isso, meu, NÃO FAZ SENTIDO.Entretanto não é só isso, Na Moo sempre foi calado, introvertido, calmo, MAS RAPAZIADA O ROTEIRISTA/DIRETOR faz acontecerem que não era pra acontecer só pra ter um ponto a mais na historia, não faz sentido uma pessoa assim ter um momento totalmente contrario a sua personalidade e SORRIR DE ORELHA A ORELHA, JUSTAMENTE PARA UM HOMEM MAIS VELHO(REPRESENTANDO UMA FIGURA PATERNA) ENQUANTO O PAI MALUCO OBSERVA TUDO, S E M S E N T I D O. O que são esses momentos que ele SURTA e começa a ser semelhante com o pai, sendo que em NENHUM MOMENTO ele fez algo parecido como tortura psicologia ou ameaça. Simplesmente ignoraram a personalidade dele e usaram de qualquer jeito pra seguir a trama.
Nem vou falar do dialogo/relacionando da So Jin com o Hyun Moo, ela queria atuar, mas não falaram pra ela se ela tinha que ficar brava com ele, se ela deveria chorar, se ela deveria bater, e no final saiu isso.
Sei que não sou diretor ou roteirista, mas pra mim ficou faltando.
E fico com dó da Nak Won, não tem o que reclamar, mesmo com os pais assassinados ela ainda confortou o Na Moo, ele teve sucesso quando cresceu. Então como os coreano gostam de ditados vai um ai " ATÉ NO LIXÃO NASCE FLOR " .
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Doraminha bom demais, faz a gente sentir como se morasse la junto com todos eles. Acho que combinou o casal sim e fez muito mais sentido a Deok Sun terminar com o Teak.E a real é que ficaram o dorama inteiro focando e desenvolvendo os personagens secundário, que se esquecem de fazer o final. Como a família da Deok Sun lidou com a notícia? Como terminaram os personagens e os casais secundários? Como foi o casamento da personagem principal? E o mais importante como nosso grande Deus No Eul terminou?
Mas fora os problemas, muito bom.
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Desde o começo senti que seria um dorama incrível e agora que assisti tudo posso falar, O MELHOR DORAMA. Família, os personagens secundários são gente como a gente, não tem aquele plot que não faz o mínimo de sentido, mesmo não tendo chance pra NJ ou o Ji Ung, a gente fica triste, a gente torce. Nenhum outro dorama me deu vontade de ficar vendo a relação dos personagens secundários. Se fosse falar mal, só fico triste por ter acabado. Falo mais uma vez MUITO BOM O DORAMA FILHO, O MELHOR. NJ EU TE AMO VOCE MERECE O MUNDO. JI UNG SE SEU CORAÇÃO TIVER EM PEDAÇO EU TE DOU O MEU. Obrigado por essa obra maravilhosa Was this review helpful to you?
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Estou tão acostumado com final feliz que, esse final me pegou de surpresa. Cada pessoa morrendo, foi me deixando mais triste e quando Soo ho morre... apenas dor.Mas infelizmente esse dorama sofre dos mesmo problemas que quase todos os doramas, na hora do fechamento, normalmente acompanhado do time skip, não mostra a conclusão de vários outros personagens coadjuvante. Das mais de 70 reféns, ficamos juntos da Yeong Ro e das colegas de quarto dela, depois nos familiarizamos com a presidente do grêmio (a que ficava com a faixa no braço e sonâmbula), e os dois manos e constantemente é citado a família dos agentes da Coreia do Norte. Acabou e a gente nem sabe se eles estão vivos.
Cada final de episódio me deixava apreensivo e ansioso para o próximo, mas pra mim faltou romance. Confesso que queria um BEIJAO, teve aquele mixuruca mas nem da pra conta. Fora os problemas dorama muito bom ?
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O romance dos protagonistas é ofuscado por esses três, mas consegue entreter e te fazer torcer para que tudo dê certo entre os dois
Os outros personagens, os protagonistas inclusos, conseguiram ser interessantes o suficiente para não me fazer dropar, contudo o sam e a minnie são extremamente chatos, a série melhoraria muito sem a presença desses dois personagens
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