Les Dieux ont la manie d'envoyer en punition sur la Terre ceux qui ont fait des bêtises ...
C’est un de ces dramas où la mythologie coréenne vient se mêler à la vie quotidienne, comme on peut le voir dans Korean odyssey, par exemple, ou Hôtel Del Luna et, comme toujours la famille et ses liens puissants n'est pas loin. C’est moins ambitieux, mais plus rigolo, ça se prend beaucoup moins au sérieux, et ce n’est jamais vraiment tragique ! Weol Ju est devenue une tenancière de bistrot au très mauvais caractère, qui s’emporte pour un rien, et c’est son assistant Gwi qui en prend pour son grade, mais il semble avoir une grande patience et une bonne raison de beaucoup en supporter !!La guérison des douleurs donne lieu à de petites histoires dans la grande, entraînant le défilé de quelques personnages pittoresques et de situations amusantes. La technique pour aider un couple en mal d’enfant devient une course contre la montre très drôle ! Les personnages sont tout sauf sérieux, ça me faisait penser à la mythologie grecque revue dans la Belle Hélène. Les acteurs sont tout à fait à l’aise dans leurs rôles, particulièrement Hwang Jeung Heum, que je préfère cent fois ici que dans la pleureuse de « secret love » ou même dans « Kill me Heal me » (enfin, les épisodes que j’en ai vus ! ) La comédie légère lui va bien, mais il faut qu’elle fasse attention, il ne lui reste que la moitié de la figure, si elle continue ça va devenir difficile !! J’ai aimé Choi Woon Young, que je connaissais surtout en personnages antipathiques (Doctor prisoner, Nokdu flower…)faire ici un très joli personnage, fiable, affectueux, et plus si affinités…
En bref, c’est un drama très agréable, très distrayant, et 12 épisodes, donc pas le temps de mettre toutes les inutilités qui alourdissent généralement les dramas, même pas de « je-t’aim-je-te-quitte » ni même d ‘amnésie !
Les dialogues sont enlevés et souvent drôles, la musique plutôt bonne, en tous cas les chansons ne m'ont pas gênée, c'est déjà bien !
Un voisin mystérieux, une maman solitaire de deux délicieux enfants...
Ce que j'en ai pensé :Que du bien !! Non qu’il n’y ait des défauts, (vraisemblance, intrigue policière assez téléphonée, quelques petites longueurs en particulier le dernier épisode…) mais j’y ai pris tant de plaisir que je me sentais toutes disposée à l’indulgence, ce qui m’arrive rarement !
Pourquoi tant de complaisance ? Mais c’est que ce drama est un cocktail très réussi entre une histoire d’espionnage assez crédible pour nous tenir en haleine, la naissance d’une solide affection entre un espion de renom international et deux adorables gamins, la façon dont la femme au foyer se montre au fur et à mesure plus maligne que les malins patentés, la solidarité réjouissantes d’un groupe de mamans dont la justification avérée est d’être au courant de tous les potins de la résidence, et la présence d’un escroc charmant mais très froussard qui a du mal à choisir son camp…
Il y a la bonne dose de gentils et de méchants, assez facilement reconnaissables pour un œil un peu averti, et il y a en plus la très jolie relation entre la femme au foyer et l’espion, que je ne qualifierai pas de « romance » mais plutôt d’une très tendre amitié, peut-être moins glamour mais tellement plus intéressante, jamais cucul, souvent très drôle et toujours touchante… Et la fin, elle est à la fois tout à fait attendue, et entièrement différente de ce à quoi on s’attend !
Bref, en ces temps de morosité, c’est tout à fait le drama que je conseille !
Un drama que disfrutarás, si te gusta el kpop.
Mi principal razón para ver este drama era Jun (el protagonista), ya que antes lo vi en Imitation y la premisa parecía la misma (idols), así que decidí verlo. La verdad es que el primer capitulo fue bastante aburrido y, a pesar de que yo no esperaba una gran historia, me hizo bajar más las expectativas. Esperé hasta que habían ya unos 5 capítulos (porque es una tortura esperar cada semana por un capitulo) y entonces fue la sorpresa. La historia remonta en el segundo capitulo y al menos a mí me hizo querer ver todos los capítulos en una tarde y luego desear que pasará rápido la semana para ver el siguiente jajaja.Algo que destaco bastante es el hecho de que no solo se centra en la historia romántica de los protagonistas, también nos muestran un poco del día a día de la banda LUNA y la historia de cada uno de sus miembros. Fue agradable ver cada una de sus peleas, verlos enojarse, gritarse y hasta llegar a los golpes, pero a pesar de eso apoyarse y seguir trabajando juntos en su mismo objetivo. De verdad fueron el mejor squad y los extrañaré :') Además de eso, sus OST's son una JOYA, no dejo de escucharlas <3
En la parte del romance entre los protagonistas, tengo que advertirles que hay que hacer caso omiso de los clichés y en ocasiones actitudes cuestionables del ML que son muy al estilo de la old school. La verdad para mí fueron bastantes adorables y me hacían emocionar, especialmente durante la primera mitad del drama, pero entiendo que haya quienes les resulte toxico.
En conclusión, recomiendo este drama si están buscando algo ligero de ver, para pasar el rato y sin tener que pensar mucho o tomarse en serio las cosas. También si eres fan del kpop y staneas algún grupo, probablemente sentirás una conexión con la banda de esta historia.
Melhorou, mas nem tanto.
Para fazer algo melhor do que a primeira temporada desastrosa de Color Rush era necessário apenas fazer o mínimo. E isso de fato foi feito (o mínimo e só isso também).Tivemos um maior equilíbrio entre o desenvolvimento do relacionamento dos protagonistas e a questão do desaparecimento da mãe/como ser mono na sociedade/relação com o probe etc.
Porém de melhor só houve isso: equilíbrio da narrativa. A qualidade de desenvolvimento da história continuou rasa. O roteiro é confuso. Diversas informações nos são apresentadas de forma repentina e sem contexto, deixando as situações da trama mal explicadas. Engraçado isso acontecer numa série com um absurdo excesso de voice-over, que teoricamente está lá pra explicar (de modo preguiçoso) o que está acontecendo.
O que me dá mais raiva é que a premissa é muito interessante! Uma distopia onde existem pessoas que não enxergam cor (mono) e existem aquelas cuja aproximação permite que os monos passem a ver cor (probe). A sensação de ver cores pode resultar em relações abusivas e até morte. A sociedade vê os monos com preconceito. Monos são segregados. Instituições foram criadas para estudar seu caso e tratar. Pessoas de mau caráter tentam tirar vantagem disso. Meu... os criadores tem o queijo e faca na mão para criar um universo incrível e tratar de questões políticas e sociais super importantes, mas simplesmente não aproveitam nada disso. Eles utilizaram essa temporada para tapar os buracos da primeira e fizeram isso de qualquer jeito.
As atuações são ruins. A atriz que faz a tia parece que só está lá, porque perdeu uma aposta. Um dos amigos do protagonista parece nem saber o que está fazendo ali (e nem eu).
Ah, outra melhora foi a interação entre o protagonista e o novo interesse amoroso. Melhorou tanto que o menino novo parecia mais interessado em se aproximar do prota do que vingar a irmã morta.
A pós-produção do k-drama foi bem ruim. Acho que até na minha casa conseguiria fazer melhor. As transições entre cenas eram abruptas (problema de falta de planejamento da direção também) e a trilha musical é horrível com sobe e desce som entre diálogos.
Existe uma deixa pra uma possível terceira temporada e só rezo pra que não venha, pois meu TOC não deixa eu ver as coisas pela metade e estou cansada dessa tortura.
La vie quotidienne des gens, leurs peines, leurs joies, leurs regrets, leurs espoirs...
Il faut entrer dans ce drama en immersion. Amateurs de romance, ou d’action, passez votre chemin.Mais si vous voulez avoir une vue plongeante sur la société coréenne, celle gens qui ont du mal à s’en sortir, là vous serez dans votre éléments.
Entendons-nous, ce n’est pas un documentaire, il y a une histoire, des rebondissements et une progression. Certains le trouveront lent, et c’est vrai que le scénario et la réalisation musarde hors de la ligne principale de l’histoire, vers celle des deux autres frères, ou celle de la jeune femme qui tient le bar où tout le monde se retrouve régulièrement.
Mais on revient toujours à l’essentiel : Park Dong Hoon, malheureux dans son travail, malheureux dans son mariage, et Lee Ji An qui se bat comme une lionne pour seulement survivre. Elle est prête à tout, sans le moindre recul devant les moyens, la seule fin étant de trouver de l’argent. C’est le hasard, ou le Destin ? qui va entremêler la vie de Park Dong Hoon et celle de Lee Ji An, obligeant l’un à faire des choix, l’autre à accepter de croire qu’il y a peut-être de l’espoir !
Des éléments sont révélés peu à peu : pourquoi celle qui tient le bar des copains est-elle si malheureuse ? Pourquoi le jeune usurier éprouve-t-il une telle haine envers Ji An ? Et est-ce seulement de la haine ?
J’ai pris conscience plus que jamais dans ce drama du poids de la famille en Corée, et du poids de la hiérarchie en fonction de l’âge ! Incroyable le problème que cela pose, que le CEO soit plus jeune que Park Dong Hoon, dont il est le supérieur ! Mais tout en prenant conscience des profondes différences entre notre univers et celui de Park Dog Hoon, c'est l’universalité de la nature humaine à travers les personnages du drama, à la fois la mesquinerie, la basse ambition, l’égoïsme, mais aussi la vraie générosité, le sens du devoir, l’amitié sincère qui sont dépeints. Les héros ne sont pas parfaits, la vie conjugale avec Park Dong Hoon ne doit pas être très rigolote, entre sa fratrie envahissante et ses amis d’enfance qui ne le sont pas moins, et je peux comprendre les plaintes de sa femme. Mais sa droiture est impressionnante. Le jeune usurier est un vrai salaud, et pourtant, il nous réserve une bien belle surprise !
Le son est très important dans l’histoire qui se passe souvent à travers des voix enregistrées, le bruit d’une respiration, de pas, et la magnifique voix de Lee Sun Kyun y est pour beaucoup.
Ce drama est profond, chaleureux, on prend le temps de voir vivre les personnages, de cheminer avec eux, de les voir découvrir parfois douloureusement leur moi profond, leurs vraies aspirations.
je l’ai tant aimé que j’ai entrepris de traduire les 16 épisodes (l’anglais, hein, malheureusement pas depuis le coréen original ! ) juste pour mon plaisir et je veux bien les donner à qui sera intéressé !
Bon, depuis, il y au Netflix ! ^_^
Dès qu'il est en vente j'en commande un, parce que cet hologramme.... Mmmmm !
En un mot, je me suis régalée !!!Le format court évite les habituels retours en arrière, atermoiements et autres étirement de l’histoire jusqu’à son ramollissement complet. L’histoire, à bien y regarder, n’a d’original que l’arrivée d’une AI aussi performante que séduisante qui réveille un peu l’habituel triangle amoureux. Autrement on retrouve les habituels ressorts familiaux (orphelinat, adoption, syndrome de l’abandon etc etc…)
A cela vient s’ajouter un méchant vraiment très méchant, un vrai salopard qu’on aimerait piétiner, et rien de tel qu’un bon méchant pour faire une bonne histoire ! La belle idée du scénario montrant à la fois Holo et Nan Do sous les mêmes (très agréables à regarder) traits de Yoon Hyun Min permet de mieux comprendre la personnalité cachée de ce fantôme au demeurant fort peu aimable !
Il y a tout ce qu’il faut de romance (pas ridicule) de suspense(pas trop téléphoné) d’humour et d’émotion (pas feinte, on voudrait ne jamais perdre Holo de vue !) pour que la mayonnaise prenne parfaitement, et encore une fois, si les Coréens comprennent que les histoires interminaaaables c’est dépassé, on va pouvoir avancer ! « My Holo love » est un drama Netflix, c’est peut-être pour ça !
La bande son est très sympa, même pour moi !
Les acteurs : ils sont très très bien dans leurs personnages. Bien sûr la palme au double rôle de Yoon Hyun Min (qui devrait changer de maquilleuse, mais c’est une autre histoire…) qui est parfait tout autant en charmant hologramme qu’en fantôme épineux. Mais c’est un acteur déjà croisé dans des rôles autres que le héros romantique qui épouse l’héroïne à la fin, et il s’en était fort bien tiré. Dans Beating again, par exemple, ou Heartless city…
C’est léger, frais, pas bête (on évoque même en passant les dangers que pourrait apporter une IA trop …intelligente ! ) et je le recommande chaleureusement !
Une fille pauvre mais débrouillarde et un riche héritier, mais c'est sidrôle !
La première fois que je l’ai vu, (il y a autour de 10 ans !), c’était pour Lee Jun Ki que je découvrais, et le drama m’avait donc déçu, car il n’y est pas très à l’honneur, et Lee Dong Wook ne m’avait pas inspiré grand chose !Je viens de revoir My Girl, après quelques centaines de dramas et la re-découverte de Lee Dong Wok dans « Goblin »… Eh bien c’est un drama charmant et drôle, aux dialogues pleins d’humour et de fantaisies, aux situations où le comique se mêle avec bonheur au côté romantique.
Tout cela fait que la situation parfaitement convenue et totalement éculée est très bien soutenue et que la mayonnaise prend très bien…Tout au moins dans la première moitié, allez, disons les 2/3 !
Parce la dernière partie oublie la fantaisie et tombe dans le mélo, la scène archi classique « je-t’aime-mais-je-te-quitte » , le goût du sacrifice et la présente envahissante de l’ex de Kong Chan alourdissent considérablement cette comédie pétillante jusque là. C’est dommage, mais bon, la plus grande partie est quand même très sympa !! Mais là où c’est tr!ès difficile à regarder, c’est au niveau du changement des acteurs ! Ils ont 15 ans de plus, vous allez me dire ! Certes ! Mais en 15 ans on gagne des rides d’expression, une maturité, mais pas une figure de plus en plus lisse, de plus en plus osseuse, et là je parle de Lee Jun Ki !
Je venais de voir Flower of Evil, et vraiment revoir My girl juste après ça vous fiche une claque !!! Lee Dong Wook, sauf qu’il est extrêmement maigre supporte mieux le regard en arrière, mais Lee Jun Ki !! C’est affligeant, et affolant ! qu’est-ce qu’il peut faire de plus à son visage pour ne pas avoir l’air d’avoir 38 ans, et plus tard 48, ce que je lui souhaite ? Enfin, ça je ne le verrai pas, heureusement !
Pour en revenir à My Girl, l’écriture des personnages est soignée pour les deux principaux, les autres sont très peu approfondis, particulièrement Lee Jun Ki qui est mal utilisé, chaque fois qu’il pourrait intervenir dans l’action ça tourne court… On peut le supprimer de l’histoire sans que ça change quoi que ce soit ! N’oublions pas la garde-robe incroyable de Lee Dae Hee, qui devait avoir une prime au nombre de vêtements et accessoires qu’elle pouvait porter !!
La bande son est très humoristique (j’ai même reconnu au passage quelques danses hongroises de Brahms), très enlevée et joyeuse, ce qui change des hurleuses romantiques des dernières années et des murmurants et gémissants à la mode aujourd’hui !
Ce drama est parfait comme drama-doudou, si on ne craint pas de se heurter brutalement au changement de Lee Jun Ki !
Une histoire de famille, de filiation, d'amour filial, chaleureuse et tendre...
Mon avis général est que je l’ai beaucoup aimé, malgré le nombre d’épisodes. Parfois j’aurais aimé que ça s’accélère, mais en fait le rythme du drama ne fait que reproduire le rythme de la vie, il n’y a pas un évènement extraordinaire chaque jour.Donc il faut s’embarquer sur ce fleuve tranquille, mais qui ne manque ni d’écueils ni de remous, et quant à moi, j’étais triste de les quitter. J'aurais aimé partager encore un peu leur vie, surtout après le final, débordant de joie, de gaîté, de bonheur (un peu eau de rose, mais ça faisait tellement de bien ! )
Il faut laisser le temps à l’histoire de se mettre en place et surtout à la quantité de personnages de nous dévoiler leurs personnalités diverses (La propriétaire est un personnage incroyable d’arrogance et d’orgueil stupide comme seuls les dramas en ont le secret, elle forme avec son mari ne vivant que pour Chicot, son chien, un couple en parfait négatif avec le couple principal.) Il y aura des rencontres, des amours, des mariages, des ruptures, la vie, quoi…
Il y aussi un aspect sympathique, c’est la vision des coulisses du tournage d’un drama, de la vie interne d’une maison de production, comment les costumes des acteurs sont choisis en fonction des collections et des sponsors… J’ai regretté que cet aspect disparaisse au fil du déroulement de l’histoire, mais c’était dans la logique du scénario.
Les acteurs sont très bons, très justes, on sent que le rôle de mère est une habitude pour Kim Hae Sook, elle s’en tire toujours avec les honneurs. En passant, chapeau à Lee Jon, absolument remarquable dans tous les registres du personnage ! Je l’avais trouvé impressionnant dans « Gapdong » et là il entre tout droit dans mon top d’acteur, et pour un boy's band, ce n’est pas du tout habituel ! Je vais éplucher sa filmo !
Le reste de la distribution est parfait ! Le scénariste a un peu trop joué sur la corde sensible dans la dernière partie (du 45 au 52 à peu près) pour le personnage du père, je n’en pouvais plus de l’entendre s’excuser et demander pardon…
Chaque couple, chaque branche de la famille apporte sa touche à cette fresque de la société coréenne dans une ambiance touchante, souvent drôle, émouvante parfois où même les méchants sont plus ridicules que méchants !
Pour en finir, je le recommande, on y passe d’excellents moments, et il se peut que je le revoie dans 1 an ou 2 !
La partie suivante est un spoiler donc, à ne pas lire, sauf si, comme moi, vous adorez les spoilers !
Parmi les histoires qui s’entremêlent, celle qui m’a le plus touchée, émue, à laquelle je me suis le plus attachée, ce n’est pas l’histoire d’amour (très mignonne) entre An Jung Hui et MieYoung, mais celle entre Jung Hui et son « père » ! Les plus belles scènes à mes yeux sont celles en relation avec cette histoire : l’arrivée du jeune acteur arrogant, prétentieux et en même temps dévoré de manque de confiance en soi, dans la famille dont l’accueil est glacial. Puis la façon dont au fil du temps il va s’intégrer, comprendre ce que c’est qu’une vraie famille, s’attacher à son père et peu à peu perdre sa carapace d’arrogance, s’humaniser et du coup, effet secondaire, devenir enfin un bon acteur ! La révélation de la vérité sera un véritable effondrement, la colère, la douleur sont à la hauteur de l’amour qu’il avait commencé à donner à la famille. La scène où il pardonne au père pour l’amour des enfants et de la famille est extrêmement émouvante, car il renonce à la fois au père et à son amour !! Cette partie de l’histoire, donne une grande profondeur au drama, par son approche des problèmes de la filiation, de la famille. Les liens du sang ont-ils plus de valeur que les liens du cœur ?
J’avais bien plus envie de voir le « père » et le « fils » se retrouver et construire une nouvelle relation que de m’intéresser à l’histoire d’amour, assez banale, en fait, une fois la relation frère/sœur évacuée.
Les réflexions des filles de la famille sur le mariage sont intéressantes, surtout l’aînée qui ne veut pas en entendre parler et fait preuve d’une belle maturité en étant consciente que le mariage ne lui convient pas ! Elle se connaît parfaitement et sait qu’elle est ambitieuse et égoïste, et ce qui change de la tradition dramaesque c’est que les parents ne bassinent pas leurs enfants (largement trentenaires pour les 3 premiers) pour se marier !
Même le couple improbable de la belle-famille apporte une réflexion intéressante sur la relation d’un couple dans le mariage !
La mention du harcèlement scolaire de la 3è fille amène un sujet qui semble vraiment revenir très régulièrement dans les dramas, l’intérêt ici, c’est que son bourreau se retrouve entrer dans sa famille, on la déteste, on finit par la connaître et par comprendre que c’était son propre malheur qui la rendait odieuse…
Et la fin, dans une explosion de bons sentiments, de joie et de gaîté m’a énormément plu, moi qui, en général, déteste ce genre de « prolongations » sentimentalo-lacrymales !! Mais pas cette fois ! Il m’a semblé que les acteurs avaient créé des liens d’amitiés (52 épisodes, remarquez, ça fait une bonne année ! ) et qu’ils ont pris un vrai plaisir à tourner cette scène de mariage !
Bon, je m’arrête là, j’espère que je vous aurai donné envie !
Mas preguntas que respuestas
Realmente a Love alarm le tengo un cariño muy grande ya que fue mi primer k drama pero cuando volví a ver algunas escenas es muy mala JAJAJA .Osea tenian todo para ser un excelente drama pero no supieron manejarlo, para empezar es un drama muy cliche: la protagonista pobre que no tiene padres y su vida es muy triste y el protagonista hombre que es un egoista, guapo, popular y rico de dinero JAJA
Bueno es una historia que empezo bien y conforme pasan los capitulos te dejan mas preguntas que respuestas y es muy confuso pero es entretenido y para mi es muy facil de ver.
pero bueno no me quiero extender mucho en esta temporada ya que quiero hacer una reseña mas elaborada en la temporada 2 asi que los veo alla
La jeunesse idéaliste peu parfois faire bouger les lignes et avancer les choses !
Ce que j’en pense :Eh bien, beaucoup de bien !! Tout est dans la confrontation d’une jeune idéaliste à la réalité, à la fois de la Justice qui n’est que ce qu’elle est : humaine, donc faillible, et de la hiérarchie administrative, avec deux lourds handicaps : elle est jeune, elle est femme !! Il n’y a aucun travail d’enquête dans le drama, l’affaire arrive bouclée devant les juges et à eux de se dépatouiller avec le dossier et leur propre lecture dudit dossier.
Par le biais des procès et de la vie des juges on va avoir un aperçu de la persistance tenace du sexisme, malgré, soyons juste une bonne tendance à l’amélioration, à la difficulté de sortir de la fameuse morale « suivant que vous soyez puissant ou misérable les jugements de cour vous ferons blancs ou noirs »
Des amitiés se nouent, des amours commencent, des haines s’installent ,des rancunes se tissent, la vie, quoi ! Juste ce qu’il faut de romance pour éclairer tout ça, mais ce n’est clairement pas le but de l’histoire !
La fin, belle et bonne, ne tombe pas dans le bisounours grâce à un départ, et à la tonalité générale plutôt nostalgique des dernières scènes.
Les acteurs sont excellents, justes, sincères, ils nous font croire à leur personnage (un méchant peut-être un poil caricatural ?? Mais si peu ! ) et un grand bravo au juge Han, Sung Dong Il est vraiment génial, Go Ara pleine de sensibilité et L(je déteste ce pseudo ridicule ) est parfait, donnant une belle profondeur à un personnage en demi-teinte qui ne s’impose pas en « jeune premier » classique.
Je ne me souviens pas de chansons sauf une seule que j’aimais bien, donc de ce côté-là c’est tout bon !
Drama à voir pour sa chaleureuse humanité !
Accomplir une tâche dont on veut pas paut parfois aider à s'accomplir soi-même
J’ai bien aimé ce drama, pourtant assez prévisible dès le début et assez classique dans son scénario. Ce qui le sauve, c’est que la réalisation ne tombe jamais dans le pathos et reste simple, sans l’insistance sur le côté larmoyant qu’on aurait pu craindre.Ce qui le sauve aussi c’est l’interprétation excellente des acteurs, qui n’en font jamais trop, ni le boxeur dans le genre mauvais garçon illuminé par la grâce, ni l’entourage de Geu Ru dans l’excès de protectionnisme ! La jeune Na Mu est parfaite, aucune ambiguïté dans son amitié protectrice pour Geu Ru ! Et surtout c’est le jeu très naturel, très juste et simple de Tang Joon Sang (17 ans ! et déjà 5 films et 5 dramas !)qui maîtrise très bien le personnage et se tire avec les honneurs du rôle assez piégeux de cet autiste asperger !
De plus le format du drama est court : 10 épisodes de 52 minutes !! Grâce à ça les pièges du mélo larmoyant sont très bien évités !
Je conseille fortement ce drama si vous voulez reposer vos neurones (je l’ai vu après Vincenzo !!) sans pour autant vous ennuyer ou vous noyer dans le sirop ou la guimauve ! On en garde un joli sentiment heureux et réconfortant.
Sortir de l'enfance, devenir adulte, responsable, trouver sa voie,...
En coréen, « Misaeng » se traduit à peu près par « vie incomplète », et par suite par « naissance ».Le terme est utilisé dans le Baduk, jeu de stratégie coréen proche du Go, pour désigner les pions prêts à entrer en jeu et dont le destin n’est donc pas encore déterminé. Un peu comme Jang Geu Rae (Im Siwan).(StellarsSisters)
Dès son arrivée, il porte l’étiquette infamante de « pistonné » et cela entraînera pas mal de déboires dans ses débuts.
Personnellement j’ai adoré ce drama, mais si vous cherchez la romance, l’amour et les histoires habituelles de chaebols et de leur fils bons à rien ou leurs filles pimbêches fans de shopping de luxe, ce n’est pas là qu’il faut aller !
Par contre, si vous aimez la Corée telle qu’elle est, avec son bon et son moins bon, et que vous avez envie de savoir ce que signifie vraiment être « salary man » là-bas, allez-y, foncez !!
Jang Geu Rea va être assigné au départements des ventes, section 3, et son chef (Oh Sang Sik) l’accueille très mal (il déteste tout ce qui ressemble au favoritisme). La situation est dure pour Geu Rae, mais assez rapidement il va comprendre que la vie en entreprise peut être considérée comme une gigantesque partie de jeu de Go (jeu de stratégies par excellence) et son expérience va lui permettre non seulement de s’intégrer mais d’avoir une vue totalement neuve sur son travail…
Il n’est pas seul, il fait partie d’un groupe de 4 mais les 3 autres ont suivi le parcours classique, lycée, université, et ils sont stagiaires avec l’espoir de devenir permanent à la fin des deux ans de contrats. Les relations qui vont se créer entre les 4, et en particulier celles des 3 diplômés par rapport à Geu Rea sont très bien exploitées et écrites, chacun réagissant d’une façon différente.
Ce qui est passionnant dans ce drama c’est la mise sous microscope d’un univers fermé : l’entreprise, mais au niveau le plus bas, celui des intérimaires, et leur statut bien spécial. La Corée est un pays de classe, celle de l’âge, celle de la fortune, celle de la famille, et il y en a sûrement d’autres et là elles se superposent et s’ajoutent sans oublier la conviction des Coréens que les Coréennes leur sont forcément inférieures au travail ! Ici le statut est fondamental et le harcèlement moral est un des piliers de ce drama qui prend hardiment le parti des victimes. C'est par là que nous sommes en territoire fondamentalement coréen, qui se différencie du monde de l'entreprise française.
On peut comprendre aisément pourquoi le webcomic d’abord puis le drama ensuite ont eu un très gros succès en Corée, particulièrement chez les trentenaires salariés !! C’est leur vie, leurs histoires, leurs problèmes qui sont exposés ici.
Mais n’imaginez pas du tout qu’on s’y ennuie ! Il y a beaucoup de scènes intenses, ou drôles, ou touchantes, ou émouvantes, jusqu’à être bouleversantes et une fin totalement inattendue, se démarquant totalement du reste du drama, dans un feu d’artifice de beauté et de couleurs, ayant été tournée en extérieur en Jordanie, avec de l’humour et un bel optimisme !!
L’interprétation est exemplaire de justesse, de finesse et d’humanité ! Difficile de se souvenir qu’en fait il y a caméras et techniciens autour ! Je connaissais déjà Lee Sung Min pour sa magnifique prestation dans « Memory » et j’ai découvert le jeu tout en finesse et intelligence d’Im Siwan que j’aimerais bien voir dans autre chose ! Ce n’est pas si souvent que les idols se trouvent être des acteurs talentueux !
L’OST est excellente, compliment que je fais rarement !
Je l’ai déjà vu et revu, et je suis sûre d’y revenir encore !!
Perdre la mémoire peut parfois permettrede commencer par se retrouver.
J’ai beaucoup aimé ce drama qui mêle très habilement les problèmes créés par cette maladie, (comment l’accepter, comment vivre avec, comment l’entourage va vivre avec), avec des intrigues typiquement juridiques autour de la traditionnelle histoire de corruption sur fond de crimes qu’on a dissimulés à grands renforts d’agent et de pouvoir.Les histoires s’entrelacent habilement, ce qui fait qu’on ne s’ennuie pas. Les scènes où les premiers symptômes de la maladie se manifestent sont très bouleversantes, l’angoisse de Tae-suk perdu dans une rue de Séoul est palpable, surtout que l’acteur Lee Sung Min y est particulièrement excellent.
La réaction de son entourage, (sa femme, son fils, ses deux assistants) est aussi très émouvante par le mur invisible de protection qu’ils vont bâtir autour de lui et leur soutien sans faille.
Belle bande son, chansons à la fois discrètes et belles, bien en situation, interprétation générale excellente. Comme toujours on voudrait piétiner le méchant, mais comme l’acteur mesure 1,95 m on hésitera !
la fin est très bien, très juste, avec ce qu’il faut d’espoir et suffisamment de réalisme !
Donc tout à fait recommandable !!
Fraco
Um romance meio fraco. Lá estava escrito que era tapa e beijo, tudo bem, mas era um tapa e beijo beeeem fraco.No começo parecia mais interessante, eles tinham uma química legal e tal, depois foi ficando tudo água com açúcar e aquela pegada toda foi se perdendo.
E a galera do mal nunca conseguia matar as pessoas hahahaha! Achava que estavam mortas e depois elas ressurgiam!
Mas os atores são bons, interpretaram bem seus papéis.
Enfim, eu não veria novamente e me arrependi um pouquinho de ter visto.
Que dorama incrível!
Eu não esperava esse dorama ser tão bom assim, comecei por tédio e acabou se tornando um dos meus kdramas favs! eu fiquei muito chocado com a atuação de cada personagem, foi insano, era como se eu estive envolvido na história do drama e eu achei isso muito bom. O jeito como as coisas aconteceram no tempo certo também foi incrível!! Com certeza esse é um drama que tem que servir de inspiração para outros, porquê ele realmente é incrível. eu assistiria esse drama mais mil vezes, queria apagar a minha memória pra assistir como se fosse a primeira haha.Recent Discussions
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