L'interphone pleure
Présenté comme une histoire de coucheries et de tromperies, ce drama en 10 épisodes de 26 min pourra en rebuter plus d'un et cela dès l'affiche. D'autres seront irrésistiblement et avec beaucoup de honte attirés par cette proposition de voyeurisme et de scènes beaucoup trop hots pour la télé japonaise. Si la promesse est en partie respectée, ce n'est pas pour la perversion assumée du beau Horii Arata qui cumule pas moins de cinq (5!!!) maîtresses en même temps dans la série, qu'il faudra la visionnée. Mais bien pour la direction complètement ouf dans laquelle la production arrive à nous emmener et cela jusqu'au dernier épisode.Comme souvent avec les dramas de DMM TV, les acteurs font rarement venir du monde avec leur seul nom. Mais comme souvent aussi, le scénario, la direction artistique et un peu de scènes passionnées vont vous scotcher jusqu'à la fin. En réalité, si vous êtes comme moi, vous aurez du mal à accrocher au postulat de départ et ces 6 premiers épisodes. Une femme heureuse en mariage, avec son fils de 9 ans découvre les relations qu'entretient son mari avec cinq maîtresses. On travaille pourtant 7 jours sur 7 au Japon. Quel amateur ! S'en suivront des scènes trop crues et inutilement trop longues entrecoupées d'une volonté de vengeance variable de la part de Tsuchimura Kaho, pourtant géniale dans son rôle de femme bafouée. Elle arrive à nous transmettre les bonnes émotions, même si nous ne cesserons de lui crier, à chaque scène, "Mais dégage le, enfin, ce gros porc !". Car au-delà du peu de crédibilité d'avoir 5 maîtresses la nuit et d'être un dirigeant à responsabilité 12 h le jour et cela sans que sa femme s'en rende compte, c'est la force que met notre héroïne pour garder et pardonner à son mari qui tourne au gênant et au manque de vérité permanent.
Souvent, un épisode consiste à expliquer comment dégager la concurrente. ( C'est vraiment l'ancien monde patriarcal, que l'on cotoie encore ici. Et on se dit qu'au bout de 3 ou 4 on a fait le tour de l'histoire. Mais c'est la que scénaristes, réalisateurs et auteur du Manga sont très forts, car la mise en scène nous happe par des moments de plus en plus énigmatiques et nous plonge dans l'incertitude et les faux semblants au fur et à mesure de l'avancé des épisodes. Certains ne mettent plus du tout à l'honneur certains personnages que l'on croyait essentiel à l'histoire tout en les faisant réapparaître sans crier gare. Des situations et des rebondissements qui vous emmènent à des kilomètres du postulat de départ. Impossible dans dire plus, mais le voyeurisme n'a rapidement plus sa place, où alors vous êtes plongé au cœur d'une intimité qui n'est plus du tout la même. Jamais je n'aurais pensé pleurer autant avec les acteurs dans les derniers épisodes. Ils vous emportent tellement loin et se montrent à la hauteur d'attentes que nous n'avion pas du tout. La série dévoile une sensibilité incroyable, en passant du grotesque des premières minutes au merveilleux à leur du dénouement.
On terminera cette belle surprise pour qui a su tenir bon, par l'opening et l'ending qui poursuivent cette direction artistique à tiroir et qui au delà des chansons très bien choisies, parsèment d'indices ce qui aboutira à une révélation qui à elle seule vaut le visionnage de la série.
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excelente dorama. o jeito que as coisas se conectam são muito bem feitas e escritas. os atores também são ótimos (a que mais me chamou atenção foi a atriz da hyunchae e também o personagem do seojin que achei incrível a elaboração da diferença da personalidade dele nos dois tempos).
poucas coisas que não gostei. os episódios tinham muita repetição dos anteriores (como por exemplo a aeri podendo ser morta o tempo inteiro e a história da mãe dela) que parecia que a história não mudava nunca. nos finais dos episódios foi bem confuso pra mim, não sei se foi pq não prestei tanta atenção mas comecei a achar meio confuso a partir do momento que o seojin do tempo da aeri começa a recuperar sua memória.
outra parte também que foi a mais decepcionante pra mim foi a história do pai da hyunchae e que depois aconteceu na morte do seo dogyun. não entendi o sentido dessa história com a principal. na minha opinião, foi apenas algo ''para encher linguiça'' no dorama. fiquei também o tempo inteiro me perguntando pq simplesmente ela não pediria um divórcio ao invés de ter que fazer tudo aquilo, mas depois entendi que foi realmente por pura ganância.
enfim, achei um dorama bom e que vale a pena assistir (apesar de ter alguns episódios que eu ficava com preguiça de continuar). com certeza não é um dorama pra ficar teorizando o que vai acontecer no próximo episódio pq literalmente tudo muda o tempo inteiro e eu gostei disso, mesmo as vezes ficando meio confuso.
comecei a assistir ele por causa do yoon (a ost dele can you hear me é perfeita<3<3) quando tava lançando ainda, porém parei por um tempo pq um episódio por semana me fazia ficar mais confusa ainda, então decidi terminar tudo quando terminasse de lançar todos os eps.
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:/
Qué decir... venía todo dentro de lo esperado; estos minidramas siempre tienen cosas de dudosa explicación, bastantes situaciones "milagros del guion" y deus ex machina. Este no es la excepción, pero la historia estaba buena, era atrapante, y la pareja principal tiene química. Los besos son un 10 (además, no los escatiman, otro 10 más). Veníamos más o menos bien... hasta el final. ¿¿¿QUÉ FUE ESO??? porque seguro, un final no!!!SPOILER
No sé qué les pasó en la vida a los guionistas, pero seguro fue algo muy grave para que escriban EL PEOR FINAL que vi en mi vida. Y es mucho decir. Ni siquiera es objetable, o abierto. NO, ES PÉSIMO Y NO HAY POR DONDE AGARRARLO. NO TIENE DEFENSA. ES HORRIBLE. ES TAN MALO QUE NO TENGO MÁS CALIFICATIVOS.
Una pena por los actores y actrices, que hacen lo que pueden, en especial el trío principal, que lo dan todo.
FIN SPOILER
Y es por eso que no la recomiendo. Vean las otras producciones de estos actores y actriz, seguro están mucho mejor.
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Simple mais efficace
Je me suis lancée un peu dans ce drama par hasard, et c'était bien sympathique.Déjà, on découvre Lee Dong Wook dans un autre style : Après le faucheur dans Goblin, ou encore le renard dans "The tale of nine tailed", j'avoue que le voir en avocat d'abord glacial, puis on découvre, en fait, timide à souhait, se fut une jolie surprise. Que de casquettes, et de challenge toujours relevé, big up à lui.
Yoon In Na, n'est pas mon actrice préférée, mais elle tient bien son rôle, qui lui va comme un gant, de célébrité très superficielle et agaçante au départ, pour découvrir un cœur de chamallow derrière.
Ils avaient déjà joué ensemble dans Goblin, donc l'alchimie a vite repris, et leur couple tient la route.
Le couple secondaire formé par Shim Hyung Tak et Park Kyung Hye et rigolo à souhait et apporte une vraie fraicheur au drama.
L'histoire, même si elle n'a rien d'extraordinaire, reste sympathique et on adhère.
Cela reste un drama 100% romantique, mignon, et qui apporte la petite touche fleur bleue tant attendue. Donc pour moi, un joli moment à passer.
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Simplesmente fantástico!!!
Este drama possui um enredo que me deixou extremamente prendida até o último episódio.A história foi admiravelmente escrita, devo, inclusiva, os meus sinceros (e empolgados) parabéns aos roteiristas: bem elaborada, sem ponta soltas, apesar de, em alguns momentos, se apresentar um tanto confuso para entender, o que requer uma certa atenção do expectador, mas perfeitamente compreensiva no final.
O drama é cheio de reviravoltas totalmente inesperadas e surpreendentes que faz o telespectador suspeitar de todos os personagens do drama.
É um drama de tirar o fôlego que faz elaborar as mais diversas teorias até os capítulos finais.
Se você quer vê algo que te surpreenda de verdade, onde cada plot twist te desmonta e abala, se gosta de fazer teorias e sofrer até os minutos finais de uma série, este drama é perfeitamente feito sob medida para você.
Vale a pena ver cada segundo dessa série.
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Comment retrouver un travail quand on s'est arrêté des années ?
Ce qu’on ressent à regarder ce drama se rapproche du confort agréable et chaleureux d’une tasse de thé en hiver, au coin du feu, dans un fauteuil profond et confortable avec un bon livre et un chat qui ronronne à côté. On suit avec plaisir la relation amoureuse qui s’installe entre Dan Yi et Eun Oh, relation qui se construit paisiblement, sans crise, sans « je t’aime mais je te quitte » qui s’accepte et qui se manifeste ensuite au quotidien, ce qui est bien sympa : en effet, dans les dramas, le plus souvent, les héros s’avouent leur amour, s’en suit un baiser et (parfois)une nuit plus ou moins passionnée et ensuite… plus rien ! plus de bisous, plus de gestes de tendresses, comme si on avait dit : « l’amour, c’est fait, passons à autre chose ! » pas ici, Eun Oh n’arrête pas de montrer ses sentiments et si Dan Hyi a quelques instants de surprise, elle les accepte plutôt facilement et y répond avec bonheur ! Bref, ça ressemble aux débuts d’une vraie relation amoureuse.Mais heureusement il n’y a pas que ça dans ce drama ! Il y a la maison d’édition et son équipe de direction, composée de personnages pittoresques et très attachants, autant les hommes que les femmes, qui ne sont pas que des faire-valoir et c’est bien agréable ! Les liens qui se créent, les personnalités qui se découvrent créent un univers chaleureux et prenant. Et il y a tout ce qui concerne le travail de l’édition depuis le manuscrit jusqu’à la sortie et l’attente du chiffre des ventes, des commandes de réédition et le passage mélancolique au « pilon » où les livres retournés sont détruits. Et quel plaisir de voir et d’entendre des personnages qui aiment les livres, la littérature, les auteurs et qui en ont fait le centre de leur vie !
Autre aspect intéressant du drama, le rapport entre le travail et les femmes en Corée du Sud. Dan Hyi se trouve dans une impasse totale : elle a arrêté de travailler pendant 11 ans, et elle se heurte à la muraille invisible car elle ne rentre plus dans aucune des cases qui correspondent à la hiérarchie du travail en Corée du Sud. C’est plus qu’un plafond de verre, c’est une boîte en verre et c’est ahurissant à voir tout en étant plutôt anxiogène !
Tous ces fils s’entrelacent dans une intrigue harmonieuse, légèrement pimentée par le mystère de l’auteur disparu;
Les décors sont beaux, les images aussi, la garde-robe de Lee Jong Sun est une incroyable collection de manteaux !
et c’est pour ce genre de détail que j’aime les dramas tournés en hiver. De jolies trouvailles de réalisation, comme ces phrases aux changements d’épisodes, qui donne à entendre les pensées des personnages… Et quelle très jolie conclusion avec la citation de Sôseki : La lune est magnifique !
Les acteurs sont parfaits, naturels et chaleureux, touchants, ou drôles ou les deux. Un bémol pour le couple de débutants, surtout la fille, qui collectionne les clichés de la gourde de service dans les dramas ! Mais c’est un détail !
Donc, en conclusion, on n’en sort pas bouleversés, mais confortés, charmés, et c’est bien agréable.
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Un excellent drama!
Le pourcentage de chance de tomber sur une autre perle tout de suite après "Under the skin" n'était pas très élevé, devrais-je aller cocher mes numéros de loto? Trèves de plaisanterie, passons aux choses sérieuses.Du plus loin que remontent mes souvenirs d'enfance, une mini série de 3 épisodes a fait rêver la petite fille que j'étais, découvrant le monde des voleurs de haut niveau : "Si c'était demain", ah oui, oui, cela ne date pas d'hier, 1986 tout de même.... Je revois Tracey faussement accusée et devenant une sacrée voleuse accompagnée de Jeff Stevens (dont j'ai eu pendant longtemps le béguin), ah c'était un tout autre monde, une autre façon de conter les histoires.
Puis sont arrivées les 3 fameuses soeurs Kisugi! Oui, oui les soeurs Cat's Eye qui ont bercé mon adolescence, indémodable. Manga, animé, OST, tout est encore dans ma mémoire.
Depuis, sans être ni une fan absolue ni une novice, de Hong Gil Dong en passant par "Ocean Eleven" et Arsène Lupin, j'en ai vu, entendu ou lu.
Ce fut donc avec une petite appréhension que je me lance dans le visionnage de "Be Reborn" après quelques critiques élogieuses glanées en diagonale. C'est déjà un exercice difficile que de pouvoir captiver l'auditoire mais encore plus difficile de garder cet intérêt du début à la fin.
"Be Reborn" fera donc partie désormais de ces dramas qui ont su nous harponner dès le synopsis, un drama qui, dieu merci, a su être d'une intelligence redoutable.
Mais pas seulement.
Un drama avec cette pincée d'humour qui bien souvent fera la différence à mes yeux.
Un drama mettant en scène un superbe duo, qui une fois n'est pas coutume, surenchérira à qui sera le plus malin, sans omettre la touche d'émotion nécessaire à la réussite d'une amitié hors norme.
Vous l'aurez compris, un drama qui selon moi réunit quasiment toute l'exigence du drama de l'année :
Le scénario : Un voleur. Pas vraiment. Wen Jie fait bien partie d'une famille très connue de voleur, de l'arrière grand-père jusqu'au père. Voulant rompre avec ce cercle, le jeune homme s'en est éloigné depuis la mort de ses parents, refusant tout contact avec le cercle des voleurs. Face à lui, un officier de police, Luo Jian, dont les principales enquêtes seront d'arrêter ces-dits voleurs. Le duo se formera naturellement avec pour chacun une raison différente d'enquêter sur ces vols, des raisons qui au final vont les rapprocher indéniablement.
Le scénario, simple de prime abord, va s'intensifier au fur et à mesure, entrainant le spectateur dans une course contre ces voleurs, avec bien sur un vrai "boss" de fin. Nous sommes dés le début happés par l'intrigue qui pianote sur un suspense où se mêle l'intelligence de nos protagonistes aux ruses des voleurs. C'est dynamique et les scènes de cambriolage pertinentes et intéressantes. Peu de fois où nous aurons l'envie de ronchonner face à la stupidité des actions que cela soit de la part des protagonistes ou des antagonistes. L'intérêt des ces vols se dévoilent petit à petit, comme un puzzle qui doucement se dessine. Rien n'est laissé au hasard et il m'est arrivé plus d'une fois de m'exclamer de stupeur ou de me creuser les méninges afin de comprendre la subtilité des situations. Je suis loin d'être versée dans cet art, mais j'oserai tout de même penser que l'expérience de la lecture ou de mes visionnages me permettent tout de même de pouvoir anticiper ou comprendre ce type de scénario.
L'intensité des épisodes est un savant mix d'actions et de dialogues épiques...Ce qui nous amène au gros gros gros point fort de ce drama.
Les personnages : Nous avions eu droit à un fantastique duo dans "Under the skin", ici encore, pour notre plus grand bonheur un duo un peu unique dans son genre grâce à l'écriture mais aussi au jeu d'acteur.
Je vais commencer par un des rares officiers de ce genre dans l'univers du drama, Luo Jian !
Depuis " Reset", je cherche désespérément un autre Zhang Cheng, et dieu merci, je n'ai pas attendu bien longtemps. Luo Jian est LE policier par essence ; si tous les officiers de la police, réels ou pas, pouvaient n'avoir que 10% de son intelligence, de son humour, de sa perception de voir les choses, de sa sincérité...le monde irait tellement mieux. Un personnage qui brille non seulement par son observation et sa fine déduction, mais aussi par ses qualités humaines. Rarement grincheux, n'usant jamais de violence (vous savez, cette violence policière qui est si souvent perçu comme "normal" dans une série ou un film) que cela soit dans ses actes ou ses mots, Luo Jian est un personnage maniant habilement un humour subtil, une attitude posée et parfois ironique tranchant sur la finesse de ses observations. Son absence de rébellion pourrait surprendre, notamment lorsque Su Ying fait son apparition ; au lieu de le trouver obséquieux, je l'ai au contraire trouvé fort intelligent d'éviter la confrontation, ce qui lui permet de ne se concentrer que sur l'essentiel. C'est bien connu, les conflits peuvent très vite gâcher le quotidien et nous épuiser. Le scénariste, Dieu merci, nous offre donc un protagoniste inoubliable et excellent tant par ses qualités humaines que par ses compétences de policier.
Sa relation avec Wen Jie était un délicieux mélange de "super pote" mais avec un brin d'attitude paternel. Soucieux en permanence de la sécurité de Wen Jie, le capitaine Luo ne s'arrête pas pour autant à cela. Il va plus loin, tissant ainsi une amitié assez unique en son genre, faite de complicité et de respect, une amitié entre un quadragénaire et un jeune de 20 ans, un vrai délice. Cet écart d'âge donne lieu à des dialogues drôles et touchants, mais qui nous donne ce sentiment un peu étrange qu'ils sont pourtant sur le même pied d'égalité. Ce fut réellement un soulagement et un plaisir de le voir déclamer cette confiance presque aveugle en Wen Jie, une foi qui ne manquait pas de surprendre son entourage. C'est une qualité rare de nos jours, que de laisser le bénéfice du doute avant de juger une personne, et surtout de ne pas laisser la facilité des préjugés assombrir un jugement, je pense notamment au drama que je regarde actuellement "From now on, showtime!", lorsque Seul Ha apprenant l'identité de Cha Woong, je n'ai pu m'empêcher de soupirer "si cela avait le capitaine Luo, il n'aurait jamais rejeté la faute du grand-père, si faute il y a, sur le petit-fils...". C'est ce qui rend ce personnage ultra adorable. Zhang Yi (张译) est un acteur chevronné qui a déjà son actif beaucoup de dramas dont "Reborn" et de film comme "The Eight Hundred" (un magnifique et émouvant film que je recommande chaudement). J'avoue, je ne connais pas très bien Zhang Yi, et pour une première rencontre avec cet acteur, ce fut un coup de foudre, confirmant que le talent supplante superbement ce physique d'Apollon que l'on retrouve trop souvent ces derniers temps. Jonglant avec nonchalance entre le sérieux et le comique, l'acteur a su nous faire rire avec trois fois rien et nous épater avec son jeu subtil. C'est un acteur que je me fais fort de suivre avec assiduité dorénavant.
Et son partenaire? Zhuang Wen Jie est un étudiant en droit et sa volonté de vouloir apprendre la vérité sur son père vont le pousser à se retrouve face à Luo Jian et aux criminels. Si dans les premiers épisodes, Wen Jie nous épate par ses pensées et actions astucieuses, nous découvrons petit à petit un personnage sensible, mature. Bien que souffrant de la perte de ses parents et du statut de son père, le personnage ne brûle ni de vengeance ou de rancune envers la société. Bien au contraire, choisissant une voie à l'opposé de son père, et sans jamais se dénaturer, Wen Jie devient un étudiant en droit avec la ferme intention de vivre une vie normale. Après sa rencontre avec Luo Jian, Wen Jie gagne en confiance, ses blessures et son sentiment de n'être que le fils d'un voleur disparaissant petit à petit. Ici aussi, le scénariste nous offre l'écriture d'un personnage doué d'une sacré intelligence et d'un raisonnement juste, quelque soit la situation. J'ai adoré les interactions entre Wen Jie et Luo Jian, qui sont pour ma part une paire incroyable d'enquêteur redoutable, et si je dois émettre un bémol, j'aurais aimé les voir interagir un peu plus!
Karry Wang (王俊凯) est un acteur que j'ai plutôt apprécié dans "Eagles and Youngster" mais sans m'avoir jusque là impressionné. C'est surtout à travers ses chansons que j'ai pu le découvrir, en tant que leader du groupe TFboys. Je pense que son jeu doit encore s'améliorer, surtout en face d'acteurs plus aguerris où l'on sent encore ses faiblesses. Mais pour être honnête, il est encore jeune, son potentiel est bien présent.
Je le dis souvent, et ce depuis "Joy Of Life", la qualité d'un drama se voit aussi à travers l'importance de petits détails comme les rôles secondaires. Ici, vous ne serez pas déçu. Que cela soit l'officier Liao Shuang et ses traits d'humour bien placé , Su Ying dont je m'attendais à ne pas apprécier, un peu comme Lu Hai Zhou (Under the Skin), elle apporte pourtant une petite touche d'humanité supplémentaire à Luo Jian dû à leur passé et leur relation un peu alambiqué. Ou encore Lin Zhi Yue que nous voyons peu et qui nous apporte pourtant cette petite touche de romance adorable. Ou Les antagonistes à la hauteur ou presque de nos génies. Des antagonistes ni tout blanc, ni tout noir, mais avec un sens remarquable du détails qui leur ont permis de tenir la dragée haute à Luo Jian et Wen Jie. Certes, il nous a été relativement facile de deviner qui était le mastermind, mais cela ne nous a pas empêché de prendre beaucoup de plaisir, voire même d'essayer de comprendre les rouages du scénario.
En conclusion, ce drama est une perle absolue, à voir de toute urgence. Avec le pack "Reset", "Under The Skin" et "Be Reborn", vous serez réconcilié, si fâché vous l'êtes, avec des genres qui tendent à s'empâter un peu.
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Molto carina
YYY è una serie semplice, senza troppe pretese, divertente e anche coinvolgente. Molte parti della trama sono volutamente senza senso, a volte anche deliranti, il che rende la storia a suo modo originale.Alcuni dei personaggi sono davvero ben riusciti: basta pensare a Porpla, Wang Chao e Mahan, che in questo contesto sono i personaggi più azzeccati. Purtroppo però ci sono anche personaggi che non mi hanno affatto entusiasmato: come Yuri, soprattutto a causa di una certa cosa, verso la fine della serie. Non mi hanno entusiasmato nemmeno Chino e Grab, si sono visti poco, e da quel poco che li ho visti non mi sono sembrati niente di che.
Gli attori mi sono piaciuti molto, alcuni più di altri. Ho adorato Porpla, ma anche Pun, Wang Chao, Mahan e Yuri. Ovviamente era un tipo di recitazione "esagerata", ma che ho apprezzato molto in questo contesto.
La opening è una delle cose che più ho adorato. Molto orecchiabile, ma che allo stesso tempo rispecchiava il mood della serie.
Ho apprezzato anche i riferimenti alla serie Why R U. Anche se abbastanza numerosi, non ho mai pensato fossero delle cose buttate lì a caso, azzeccato soprattutto il momento in cui facevano partire le canzoni di Why R U.
Gli effetti sonori erano simpatici, anche se a volte li ho trovati eccessivi.
Questa non è assolutamente una storia perfetta, ci sono alcune parti che non mi hanno convinto, ma nel complesso è una serie divertente, da guardare tranquillamente per passare il tempo, la consiglio volentieri.
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Foi bem fofo
Amei todo o desenrolar da história, não ficou cansativo, achei tudo na medida.Tu Xiao Ning e Ji Yu Heng, que casal maduro, não tinham briguinhas bestas e não se deixavam levar por qualquer interferência exterior.
Miles Wei está todo de bom nesse personagem, que macho maravilhosoooo minhas amigas, não deixava nenhuma sirigaita com expectativa, ele cortava logo na raiz .
O casal Rao Jing e Zhao Fang Gang, maravilhosos também; o que foi toda aquela aversão no começo??? kkkkk ameiiii, tudo para levar a ser um calzalzão com muita química que logo na primeira oportunidade fizeram um CPF novo kkkk.
Ling Wei Yi e Qi Yu eu sentia que eles não dariam certo, a visão de mundo era bem diferente e nenhum estava disposto a ceder para fazer dar certo, ela tinha riqueza estava acostumada com o mais alto padrão ( e sim , ela podia se dar esse luxo) já ele pobre e não queria usufruir da riqueza dela por achar que se sentiria um tonhão.
São 33 episódios bem aproveitados, nem mesmo a trama de negócios empresarial ficou chato (o que raramente acontece), além de que todos os personagens trazem uma certa complementação para o enredo.
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Review - Beating Again
Um drama realmente muito bom , conseguiu me manter interessada pela história até o ultimo episodio sem ficar monótono.Achei o protagonista muito engraçado, ver ele mesmo surpreso por ter se apaixonado foi realmente muito divertido, e amei a forma como não só o transplante de coração modificou seu comportamento, mas a influencia dela aos poucos contribuiu para que ele se tornasse um homem melhor a cada novo episódio.
Aquele vilãozinho sem vergonha me dava nos nervos, como se não bastasse ter feito o que ele fez no inicio da historia, estava a cada dia que passava mais odioso, fazendo de tudo para derrubar a empresa que ele mesmo trabalhava antes , ridículo como ele não se arreṕendeu em momento algum dos seus atos e ainda achava que era digno de conquistar a nossa querida mocinha. A certa altura do campeonato cheguei a pensar que esse ser ia se safar de todas as suas artimanhas, ainda bem que eu estava enganada, e felizmente, ele foi derrubado de seu pedestal, mas como é de praxe não sem antes ter causado uma boa dose de sofrimento a diversas pessoas, o que deixou um gosto amargo em nossa boca pelo que o protagonista teve que fazer para conseguir a façanha de enquadrá-lo no final.
O ator Lee Shi Eon que interpretou o personagem: Oh Woo Shik, amigo do protagonista, sempre consegue me divertir em qualquer papel que ele faça e gostei bastante do fato de que ele conseguiu ter seu final feliz com aquela policial(Na Ok Hyun).
Sobre o final achei que passou realmente aquela sensação de uma história real , visto que, mesmo que conseguiram ficar juntos e felizes de uma certa forma, não pude deixar de perceber certo ar mais elevado de "sofrimento" para que chegassem nesse ponto.
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Du rire et une jolie romance, un été qui s'annonce sous de beau auspice !
Il pleut. Si pour certains vacanciers, c'est une plaie durant la période estivale, c'est une aubaine pour le nord de la France. Avouons que pouvoir rire de bon coeur sous son plaid, alors que l'orage gronde est plutôt plaisant.L'intrigue nous amène cette fois dans le royaume des mortels où se côtoient taoist et démon. La sémillante Yan Hui expulsée de son clan y rencontre l'esprit millénaire dragon, Tian Yao. Ce dernier à la recherche de certaines parties de son corps, éparpillés à travers les 4 coins du monde après une trahison de sa fiancée Su Ying, comprend rapidement que Yan Hui possède une partie de ce qui lui appartient. Et voilà notre duo de choc, envers et contre tous, sur les routes afin de reconstituer notre dragon millénaire.
Envers et contre tous. C'est un peu le thème de notre drama. Derrière le ton léger et drôle, du moins durant la première partie, se cache le problème de cette normalité que l'humanité a imposé depuis des siècles. A travers l'histoire de Yan Hui et de Tian Yao, c'est l'universalité de la différence qui nous est montrés. Qui est le monstre? Qui est l'humain? Cette peur de l'inconnu, cette idée de ce qui est différent est obligatoirement mal. J'ai vraiment apprécié la morale de l'histoire et c'est joliment mis en scène à travers les différents couples humain/démon mais aussi ce rejet que chaque protagoniste rencontre au sein même de son clan.
J'aime que rien ne soit blanc ou noir, la nuance se glisse partout que cela soit chez les humains ou les démons.
L'humour omniprésent allège considérablement l'atmosphère et on se surprend à rire de bon coeur, du moins dans la première partie. La seconde partie devient plus dramatique et perd un peu ce côté étonnant et loufoque mais n'en reste pas moins agréable à suivre.
Les personnages? c'est le point fort et une belle réussite dans ce drama.
Yan Hui est le personnage central de ce drama. C'est un personnage féminin pétillant de vie dont la joie et la bonne humeur ont illuminé le petit écran de ses répliques détonnantes d'intelligences et de drôleries! J'ai totalement craqué pour ses actions inattendues et ses mimiques ultra "cutes"! J'ai adoré sa force et sa féminité, c'est un personnage superbement interprété par Zhou Ye! Je découvre cette actrice et j'avoue que j'ai été bluffée par son jeu. Je pense que Yan Hui fut le pilier de ce drama.
Tian Yao, moins exubérant, apporte ce contraste nécessaire dans notre duo, rendant le côté loufoque de Yan Hui encore plus évident. Leur couple fut adorable malgré je l'avoue une petite perte d'intensité pendant une partie du drama (je vous laisse deviner à quel moment....).
Les personnages secondaires ont été soignés, et nous prenons beaucoup de plaisir à suivre chacune de leur histoires.
C'est donc un drama extrêmement agréable à suivre avec une sacrée bonne dose de bonne humeur!
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O enredo nos leva a pensar e refletir e foi isto que eu mais gostei neste drama. Enquanto assistia algumas questões existenciais me fizeram refletir:
- Somos realmente incorruptíveis como pensamos?
- Vale fazer de tudo pelo "bem maior"?
- Os fins justificam os meios?
Devo dizer que não perdi interesse em nenhum episódio, a história manteve o ritmo até o final da temporada e que final hein?!
Altamente recomendável, super assistível, muito interessante.
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Coup de cœur !
Je ne souhaite pas m'étaler des heures parce que les critiques précédentes sont toutes si bonnes que la mienne ne ferait que pâle figure en comparaison. Cependant, je ne pouvais pas ignorer la page de Under the Skin, car il est mon premier coup de cœur de l'année.Je vais essayer de ne pas trop en dire. En réalité, j'ai déjà passé pas mal de temps sur la critique publiée sur mon site pour ne pas trop en dire. Et comme je n'aime pas faire de stupide copié/collé. Bref ! Sachez juste que cette review n'est pas à la hauteur de Under the Skin qui mérite mieux.
Le scénario était stupéfiant. On part d'un fil rouge qui va s'étirer tout du long, mais on va lui apporter de nombreux connecteurs afin de ne pas tomber dans une ambiance terne et monotone. Certains pourront avoir le sentiment qu'il manque quelque chose. Mais cela dépendra de ce que vous attendez réellement de ce drame. Une histoire pleine de suspense avec de multiples sous-intrigue et un aspect tranche de vie ou une façon différente d'aborder les crimes en se concentrant sur les enquêtes. Les cas sont traités d'une façon unique et fascinante - je suis fascinée en tout cas. De simples cas, on construit toute une intrigue autour et chacun étant en lien avec le travail de Shen Yi, le dessin. C'était incroyable d'ailleurs de voir les portraits s'esquisser pour prendre vie par la suite. Et les personnages ne sont pas en reste.
Le casting était parfait ! Tan Jian Ci était spectaculaire dans le rôle de Shen Yi. Il est l'image même de Under the Skin avec sa palette d'expressions maîtrisée et la façon dont il a abordé son personnage au fil des épisodes.
Jin Shi Jia incarne bien le flic un peu brut en surface, mais au cœur tendre et au bon fond. Le reste du casting était bon, chacun amenant du dynamisme quand il le fallait et où il le fallait.
L'image était bonne avec des couleurs prenantes. La palette de couleurs nous plonge dans une ambiance. La musique était très bien. Mention spéciale au générique d'ouverture.
Under the Skin était pour moi une fascination qui aura alimenté mes soirées avec passion - la rime c'est cadeau. J'aime les séries policières, mais rares sont celles qui vont me marquer de la sorte. Et c'est totalement ce que fait Under the Skin. Difficile de l'ignorer une fois commencé, difficile de l'oublier une fois terminé.
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Écrivain fantôme
Voilà bien une série pour laquelle je ne m'attendais pas à voir une deuxième saison. Mais c'était sans compter les choix de folie qu'à toujours fait Koshiba Fuka dans sa déjà longue carrière d'actrice déjantée. Car après avoir incarné les rôles les plus farfelus de l'histoire des dramas, elle revient dans l'un des plus kitch et improbables de 2020, mais qui nous a tellement enchanté durant les différents confinements.Comme si les producteurs avaient entendu mon vœu prononcé dans ma critique de la première saison et comme si toutes mes prières et offrandes au temple n'étaient finalement pas veines, voilà donc une seconde saison de la famille Yokai au grand complet. Enfin presque, puisque le jeune prêtre amouraché de la jolie Fuka-chan, est remplacé par une autre jeune (fils de) prêtre aussi transi d'amour, mais incapable de lui révélé. Et c'est là que les problèmes commencent. Autant les situations de comédie (comprendre sitcom), dans la saison 1 étaient rafraichissantes et décalées, par l'originalité du contexte Yokai, autant, passé cette surprise, la saison 2 semble plate et répétitive. Et ce n'est pas en avançant dans l'histoire que cela s'arrange. Les épisodes s'enchainent, certes, en ayant en fil rouge l'ascension de Fuka-chan dans le monde impitoyable de l'édition, mais surtout en répétant sur 9 épisodes le même schéma trop prévisible.
Une personne immonde lui mène la vie dure jusqu'à révéler sa nature Yokai, qui de plus est, est manipulée par on ne sait qu'elle force obscure. Car comme pour la famille Yokai, personne n'est vraiment méchant, dans Yokai Sharehouse 2, faisant de ce sitcom, un programme hautement familial. Jusqu'au costume et maquillage, qui pouvaient faire sourire par le Cheap dans la saison 1, mais qui agacent, essentiellement pour les nouveaux Yokai, par le manque d'ambition.
Mais c'est, malheureusement, toute la série qui transpire le manque d'ambition. Pour le scénario d'abord, des petites histoires à la grande, on s'ennuie, vu qu'on devine sans se tromper de la fin des épisodes et de la série. On n'attendra même pas quelque chose de plus du film qui fera office d'épisode 10, tant l'envie de connaitre la conclusion n'y est pas. Ne parlons pas des personnages sous-exploités, comme ce jeune mawari-san qui n'a qu'un rôle très secondaire, ou son père, qui malgré son pouvoir comique et alcoolique très prononcé, ne fait que quelques rares apparitions. Un premier épisode trop long qui est en fait la réunion des deux premiers (d'où le nombre 9), est le signe que la série n'a pas été assez réfléchie. L'annonce du film, à la fin de chacun, rajoute s'il en fallait de la confusion.
Reste quand même une pléthore de très bons acteurs dans leur rôle principaux. Un plaisir non feint de retrouver cette famille qui n'a pas bougée d'un pouce, de retrouver Fuka-chan dans un de ses rôles forts, de rire à ses blagounettes et d'admirer le travail sur les histoires en théâtre de papier. Mais c'est surtout l'ambiance "période Edo", voir Showa" qui vous fera replonger une fois de plus dans cette SitCom qui ne ressemble vraiment pas aux autres.
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Inkarnacyjna gra w berka.
Jest mi taaak ciężko sklecić jakoś przetrawić ten tytuł żeby dać jakiś jasny obraz o czym była ta seria.Głównym powodem jest chyba to że w tych wątkach to chyba nawet sami scenarzyści się pogubili bo koniec końców, najważniejsze pytania i spory wciąż nie są jasno rozstrzygnięte. Mało tego, mam wrażenie co najmniej pierwsze tak porządne w kdramowym życiu, że villan tej historii był najbardziej pokrzywdzoną osobą której nawet na końcu pozbawiono dobrego zakończenia.
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Głównym reklamowanym wątkiem tytułu Bulgasala jest historia mężczyzny, którego jedynym celem jest zabicie osoby, która nie dość że wyrżnęła mu rodzinę w poprzednim życiu to i na dodatek zabrała jego ludzką duszę czyniąc go tym samym nieśmiertelnym potworem zwanym Bulgasalem. Idąc dalej tropem historii poznajemy przeszłość Hwala (czyli tego Bulgasala głównego) jako przeklętego dziecka (przez Bulgasala) wychowanego przez dowódcę armii królewskiej, który staje się szanowanym i niepokonanym na "dworze" wojownikiem w walce z wrogami i potworami. Hwal w swoim poprzednim życiu zakłada rodzinę z córką swojego ojczyma (taaak przybraną siostrą), które na wskutek przekleństwa rodzi się ślepe bądź nieżywe potomstwo. Jak można łatwo wywnioskować Hwal ma nieszczęśliwe życie, wciąż będąc ściganym przez znamię przekleństwa jakie na niego nałożono i to dopełnia się w kulminacyjnym momencie w którym ów potwór zabiera duszę Hwalowi.
Sprawa wygląda na wstępie prosto do rozwiązania i napawa odbiorcę adrenaliną w oczekiwaniu na pojawienie się potwora w ludzkiej postaci ażeby wreszcie wyrównać rachunki. Powiem szczerze że wstęp i zarys historii oraz chyba reżyserska robota dawały mi jakiś naprawdę good vibe co do tego tytułu. Niby nic szczególnego w historii, ale postać nieśmiertelnego potwora, te wizualne klimaty dawały mi nadzieje że poza dobrym mordobiciem zobaczę motyw akcji i dreszczyku na tle nadnaturalnych czy raczej duchowych klimatów. Ale im dalej w las szłam tym tak naprawdę tylko więcej drzew zamiast uzasadnionego zachwytu doznałam.
No więc przeskakując już do ówczesności, poznajemy znów inkarnację złodziejki duszy Hwala którą jest Sang Un.
Sang Un całe życie ucieka nie tylko przed Bulgasalem ale i przed potworami. Dodatkowo żeby było ciekawiej, rodzina i osoby bliskie z poprzedniego wcielenia Hwala również się odrodziły jako inne osoby i jak na złość również napotyka ich na swojej drodze, gdzie ponownie walczy o ich bezpieczeństwo.
Historia mogłaby się szybko skończyć śmiercią Sang Un, gdyby nie fakt że ściga ją jeszcze jeden Bulgasal głodny jej duszy, a sama śmierć dziewczyny wcale niekoniecznie rozwiąże problem Hwala.
W ten oto sposób, mam niekończącego się berka potworów o duszę Hwala która koniec końców się okazuje nie być najprawdopodobniej jego duszą..
I tak oto drodzy państwo mamy bałagan fabularny na tle przeskakiwanki wcieleń którą ewentualnie możecie próbować rozgryźć dopiero na końcu po obejrzeniu genezy w finałowym odcinku.
**
|spoiler alert|
Od połowy serii trwa jedna dramaturgia płaczu i żalów pomiędzy Hwalem a Sang Un. Absolutnie mnie szlag trafiał od ciągłego przeskakiwania z "zabije się razem z Ok Tea Gyulem bo innego wyjscia nie ma" na "sama sie zabije/albo dam sie zabić OTG żeby oddac ci duszę Hwal" Aktorstwo w tamtym momencie... boli. Dużo generalnie tych scen każdego bohatera który był taki pick me mocno dawał mi się we znaki. Nie mogłam już w niektórych momentach patrzeć na tę dramę i przesuwałam do przodu, bo doprawdy fabuła od połowy strasznie się wlekła jakby nikt nie miał zamiaru wreszcie powiedzieć czy wyjawić jaka jest geneza tych bulgsalów, jakie są przeszłe wspomnienia Sang Un i co mamy wreszcie zrobić żeby rozwiązać problem trójki bohaterów.
Geneza jest jakoś tak prostaczna i bez wyrazu, że szybko doznaje wrażenia że scenarzystom albo brakło pomysłów albo ich jedynym rozwiązaniem było zrobić pomieszane z poplątanym tego co już mają. W praktyce wyglądało to tak że jeden bulgasal goni drugiego; jeden bulgasal chroni człowieka chcąc znowu być człowiekiem i zmieniając go w bulgasala, a z kolei ten drugi chce śmierci człowieka, żeby ten mógł doznać ulgi w cierpieniu nałożonym mu przez bycie potworem. Jedynym panaceum okazuje się nie magiczne zioło, nie zaczarowany miecz, nie ogień czy cudowne moce i rytuały a nawet zwrot duszy. Żeby wrócił jakiś porządek w tej całej gonitwie jedynym rozwiązaniem się jest pozabijanie się nawzajem dwóch bulgasalów.
Już wisienką na torcie jest fakt że Sang Un według mojego rozeznania nie jest właścicielką duszy Hwala a bardziej OTG, bo nie wiem czy pamiętacie że Hwal pierwotnie aby mógł inkarnować jako wojownik musiał zabrać duszę OGT czyniąc go bulgasalem. Więc jeśli w następnym wcieleniu OGT wymordował faktycznie rodzinę Hwala to nie mógł wziąć sobie jego duszy bo nie miał by chyba tej całej dziury co nie? Ale wciąż miał, więc samego Hwala zabiła Sang Un i jak dobrze kalkuluje to ona przetrzymuje dusze OGT w ówczesności. Wszystko by się dobrze logicznie też tu ułożyło i OGT mógł sobie zabić Sang Un odzyskując dusze ale za każdym razem coś go blokuje i zalewa sie czarną krwią. Wtedy był wątek autentycznie niezrozumiały, jakoby to Hwal musiał zabić Sang Un żeby OGT mógł być 'sobą'.
Wniosek się najwyraźniej też sam piszę, że bulgasale nie mogli mieć swoich dusz dlatego byli potworami nieśmiertelnymi. Inkarnować mogli jedynie kradnąc dusze człowieka.
Powalone co nie? Ja wciąż nie jestem pewna całej tej bezsensownej krzyżówki. Jeśli ktoś ma lepsze wyjaśnienie to dajcie znać.
Postacie drugoplanowe czyli cała inkarnowana rodzinka w zasadzie większego sensu istnienia w tej fabule nie ma poza emocjonalnymi kwestiami i robieniem zmiksowanego tła. Oni po prostu są, żyją i uciekają. Czasem tylko dzięki retrospekcjom z poprzedniego życia udaje się troszkę układać tę pomieszaną zagadkę.
A zakończenie.... porażka. No tak, najlepiej jest pozamiatać śmieci pod dywan. Wszyscy zadowolenie w nowych wcieleniach i wszystko jasne bo bez bulgasalów i wgl. Tylko szkoda że takiego OGT nie pokazano w nowym wcieleniu jakbym nie mógł sie odrodzić a przecież zachowywał się jak niewyżyta bestia w nie mniejszym stopniu niż pierwotny Hwal na instynktach.
Pytanie teraz: dlaczego? Jakby nie było to jego okradziono...
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Ścieżka dźwiękowa dość nostalgiczna i spokojna. W 90% same wolne i smutne kawałki do podkreślenia historii dramatu. Aktorstwo.... ahhhh nie. Jestem bardziej na nie. Scenariusz najpewniej musiał wyciskać na aktorach tak beznadziejne dialogi i tą całą dramaturgię. Ostatnia scena doprawdy śmierdzi kilometrami Goblinem. Na największe oklaski zasługuje Lee Joon, bo świetnie po raz kolejny zresztą wcielił się w rolę potwora z duszą rozżalonego mordercy. Uwielbiam Jin Wooka ale stać go na więcej. No i to ciągłe płacze Kwon Na Ry ahhh
Podsumowanie: Drama z motywem potworów i dobrze się sprzedającym wątkiem podróży dusz. Coś na słodko coś na kwaśno. Nienajgorsze pierwsze wrażenie niekoniecznie wystarczy do końca dramy ale sądzę że warto dać szanse. Potwory na scenie wciąż ewoluują i to jest tegoroczna jego odmiana w świecie kdram.
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