PARA UMA HISTÓRIA REAL, ATÉ QUE É BOM
Atores interessantes, algumas cenas quentes, eu pensei que poderia ter mais sexo e um final mais amplo. O ator taiwanês Chris Wu é uma coisa linda e sexy, desperta mil fantasias. O plot começa meio sombrio, porém à medida que avança e o desejo também, a coisa toda melhora. Há uma fotografia mais escura, somente no final a protagonista parece, realmente, se libertar de amarras físicas e psicológicas. Ficou faltando alguma coisa, talvez mais presença do cozinheiro que faz a gente babar, mas no geral é bom assistir. Pela liberdade da mulherada, sempre estimula.Was this review helpful to you?
Even if This Love Disappears From the World Tonight
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https://lamagiedeshistoires.wordpress.com/2024/01/30/en-rafale-dramas-films-janvier-2024/
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My Happy Marriage est une romance fantastique très prometteuse, avec ce magnifique film, et avec une histoire qui mérite amplement une suite, voire plusieurs… que je me ferais un plaisir de regarder si cet espoir devient réel !
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Un film d'action post-apo entraînant
Il n'est pas nécessaire d'avoir vu Concrete Utopia pour voir Badland Hunters. Le film se suffit à lui-même et tant mieux. Si on sent qu'il manque un bagage sur les personnages, cela n'enlève en rien le bon moment qu'on passe devant ce film.Les scènes d'action sont excellentes. J'aime les univers post-apo pour des tas de raisons. Mais lorsqu'on ajoute de bonnes scènes d'action, tout devient plus intéressant. Badland Hunters n'est pas avare et offre tout un spectacle. Les scènes sont à la fois visibles, explosives et rapides, mais aussi d'une fluidité impressionnante.
Qu'on le compare à Mad Max, en revanche, me fait un peu hausser un sourcil. Parce que je suis une grande fan de la franchise de George Miller, mais aussi parce qu'à mes yeux, le film n'a que son genre post-apo en commun. Donc, non. N'attendez pas un Mad Max coréen, ce serait trompeur.
Le casting est superbe. De Ma Dong Seok en tant que boxeur sans pitié. Lee Jun Young qui amène la pointe d'humour, mais se révèle plus profond qu'il n'y paraît. Ahn Ji Hye qui casse des gueules avec classe. Et bien sûr Lee Hee Jun en tant que médecin fou, mais où son personnage s'avère plus développé qu'il n'y paraît.
Quoiqu'il en soit, Badland Hunters est un film d'action post-apo simple et efficace avec des scènes de combat spectaculaires.
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RUIM.... NÃO VALE A PENA ASSISTIR
A história do filme era promissora, mas não foi bem executada. Nem mesmo como comédia eu classifico esse filme. O que eu assisti foram piadas sem graça, de mal gosto e algumas vezes ofensivas. A personagem feminina de decepcionou profundamente, totalmente IDIOTA. Fiquei frustrado por essa personagem ser interpretada pela Jung So Min, pois acho que foi horrível para sua imagem como atriz.Já assisti cenas horríveis (ruins) em filmes, mas aquela da personagem feminina (Jung So Min) estar de fones de ouvido, no aeroporto, enquanto o marido estava falando com ela é uma das piores. Se era para ser engraçado, não foi. Chega a ser desrespeitoso com as pessoas que dedicaram seu tempo para assistir esse filme.
Resumindo.... não perca tempo com esse filme, não vale a pena.
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Moins par Moins donne Plus
Son pas grondait au loin, mais de plus en plus fort. Son cri résonnait depuis les États-Unis, pays du Bikini, où il est en train de battre tous les records. Mais en France, pays de Mururoa, il n'avait droit qu'à deux jours d'exploitation avant de retourner au fond des océans. Aussi rapide donc que son apparition sur l'ile d'Odo dans les 5 premières minutes du film, Gozilla Minus One refait surface pour seulement 15 jours de plus dans nos cinémas. C'est toujours mieux que Shin Godzilla, qui comme souvent, a dû attendre d'être disponible sur les plateformes pour être vue légalement en France. C'était normalement le sort réservé par ce nouvel opus jusqu'à la pression grandissante d'une communauté tombé sur l'adorable charme de cette petite boule d'écaille. Mais ce buzz, qui ne cesse, de grandir est-il vraiment mérité ?On l'aura attendu depuis sa sortie en novembre 2023 au Japon. Les trailers et le cast ne laissaient aucun doute sur une sortie mondiale, une traduction rapide et un grand succès. Tout du moins pour moi. Mais cela n'allait pas de soi pour les producteurs distributeurs. Peut-être à cause de ce tout petit budget pour un film catastrophe. 15 millions de dollars, une paille face aux Américains. Et pourtant, soyons clairs et au risque de répéter la plupart des critiques sur ce film, il est bien meilleur que les Godzi-Kong que l'oncle Sam nous sert depuis 3 décennies, maintenant.
L'allégorie d'un peuple résiliant face à des catastrophes naturelles ou provoquées est permanente mais jamais forcée. Pas de super-héros ou de super-armée ici. Les citoyens se battent avec ce qu'ils ont. C’est-à-dire pas grand-chose, vu qu'on se retrouve dès la première minute en mode survie. Un niveau -1 de la civilisation qui va tout de suite donner un vrai sens et une valeur réelle à la vie. Il n'y a qu'une chose à perdre, mais c'est la plus précieuse.
Les acteurs figurent parmi les meilleurs de leurs générations respectives, malgré la sous-exploitation évidente de Sakura Endo et Yuki Yamada. Mais c'est le jeu, des productions chorales. Les effets spéciaux, à part un matelas gonflable qui vous fera sursauter de rire font aussi partie de ce qu'on peut voir de mieux d'un film catastrophe.
Le contexte post WW2 est reproduit à la perfection et les attaques politiques, plus ou moins subtiles d'un peuple écrasé entre deux grandes puissances font du bien contre la pensée du moment. L'histoire (ou l'Histoire) est bien amenée, la re-construction des familles après la guerre vous fera verser un sacré torrent de larmes. Vous serez ému, voir choquer et il faudra rester bien accroché au fauteuil, même sans Imax 4D. Comme je le dis souvent en parlant de ce film, il est tellement bon, qu'on pourrait se passer de Godzilla. Minami Hanabe par exemple, me fascine une fois de plus, par son jeu (et un peu son sourire) et s'en sort à merveille dans les scènes catastrophes.
Mais Godzilla est bien présent et il va vous le faire comprendre. On poursuit l'hommage entamé par Shin Godzilla, aux films des années 50, en reprenant tous les codes. Graphique, sonore, même si la musique est moins datée que dans son illustre prédécesseur, elle fait quand même son job rétro. Clairement ce film peut encore prendre une nouvelle dimension en noir et blanc. Et un deuxième visionnage dans cette colorimétrie est essentiel pour le fan.
Certains pourront être déçus, d'autres enchantés par la fin. Qu'importe, il faut comprendre ce film comme le cri étouffé d'une nation qui vit depuis des 100aines d'année à l'ombre de puissances antagonistes, et qui n'a d'autre choix que d'avancer ou mourir. Ce film est rempli de messages politiques, écologiques et philosophiques et j'ose espérer que c'est pour cela qu'il a tant de succès.
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Yoru ga Aketara, Ichiban ni Kimi ni Ai ni Iku
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"Eu te odeio!"
Seiji Fukagawa e Akane Niwa são estudante do ensino médio e da mesma classe. Um dia, do nada, ele diz que a odeia, e Akane fica encomodada com a situação. Há uma grande diferença entre eles: Seiji é muito talentoso na pintura, seus colegas ouvem o que ele diz e seguem suas instruções; já Akane, apesar de ser representante de turma, precisa se esforçar um pouco para que seus colegas de classe prestem atenção nela, pois se esconde através de uma máscara - literalmente.Apesar das provações de Seiji, ele acaba a ajudando em uma apresentação, e é assim que ambos se aproximam. Akane tem a oportunidade de perguntar porque ele a odeia tanto, e Seiji percebe que há coisas das quais ele não tem conhecimento que a impedem de ser ela mesma.
Apesar de parecer que muitos dos filmes japoneses que são ambientados no ensino médio tem a mesma premissa, eu sempre acho que o olhar asiático para as questões juvenis são super válidos. Afinal foi isso que mais me encantou nas produções orientais. O leste asiático, principalmente o Japão e a China, veem com muito carinho e sensibilidade essa fase da vida que geralmente vem cheia de percalços.
E em "You Made My Dawn" temos dois jovens com dores infantis não super superadas, e é de uma delicadeza impressionante. Seiji e Akane estão vivendo a vida no automático, e esse encontro de almas vira uma chave que dá luz e cor em ambos. Adorei o final também, dá um quentinho no coração ao ver como os personagens estão vivendo em sua total plenitude.
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Life Note
Une petite review pour un film très feel good et donc très nécessaire pour 2024, si vous ne l'avez pas encore vu en 2023. Avec les plateformes, il est devenu tellement plus simple et légal de voir les adaptations en live action de shojo. Et celui-ci est particulièrement réussi. Sakurada Hiyori colle toujours bien à ses personnages d'ados ou post-ados en difficulté de communication. Même si, ici, c'est l'amour qui la fait bafouer. Très juste et touchante dans son interprétation, nul doute que la cible de cette œuvre arrivera grandement à s’identifier. Takahashi Fumiya est lui-même touchant, même s'il commence à être un peu à côté de son âge supposé pour le rôle. Alors que Hiyori-chan paraîtra encore quelques années avoir 16 ans, lui, doit faire un effort supplémentaire dans son jeu pour en paraître 17 et il y parvient bien mieux que Sota Ryosuke qui en avait 24 durant le tournage du film. Mais étant assez bons acteurs tous les deux, avec un Takahashi Fumiya bien meilleur et sensible que dans Fermat Ryouri tout cela passe parfaitement. Sans dévoiler l'intrigue on vibre avec ces ados qui vivent leurs premiers émois, même si la relation avec Hiyori-chan et son senpai en classe de 2de peut un peu faire froid dans le dos par le jeu de psychopathe délivré ici. Tout est classique dans cette année très School Life. Les examens, les fiches d'orientation, la litre de déclaration et le journal intime toujours très utilisé par les ados japonais nous rappellent qu'on est dans un Shojo. Mais un très bon, à hautement recommander pour ceux qui veulent une histoire assez réaliste et bien réalisée. Pas de réels méchants et peu d'enjeux dramatiques ici, mais un film qui donne encore un peu plus envie de vivre comme un ados au japon à nos ados d'ici. Attention, le film comporte quand même quelques éléments de pression scolaire qui pourraient choquer nos élèves les plus sensibles au travail à fournir.Was this review helpful to you?
AMO
ERA DISSO QUE EU PRECISAVA! Que romcom bom! Fazia tempo que não assistia um ótimo assim!!! Ri demais!!!Was this review helpful to you?
La triste réalité pour certain-e-s
L'histoire est un coup de poing. Après c'est un court métrage à petit budget, il pèche par quelques maladresses mais les acteurs sont à la hauteur du propos. Ce n'est pas un BL c'est un film qui expose crûment une réalité bien triste. Le personnage de Bank est tout excusé du son attitude envers le personnage de Jack : ils sont tous les deux de jeunes lycéens. Leur histoire a commencé dans " My Friendship 2" qui a été tourné après celui-là, il est d'ailleurs plus accompli du point de vue narration et cinématographique. Lorsque l'on a vu les deux parties on se rend compte des errements de Bank et la non acceptation de ses propres désirs, et les difficultés de Jack à être ce qu'il est et sa grande souffrance. Si la fin peut paraître abrupte, elle me semble juste car que pourrait-on dire d'autre? Ce n'est pas des courts métrages à regarder dans un moment de tristesse car il faut s'accrocher pour ne pas être éprouvé. J'ai lu plusieurs critiques que j'ai trouvé assez injustes : oui il y a des manquements mais ces films sont produits pour exposer des faits, et montrer certains aspects de nos sociétés hétéronormées et leur violence envers les personnes LGBT.Was this review helpful to you?
Les difficultés de communication
C'est un court métrage à petit budget alors je ne ferais aucune critique sur la production en elle-même.Cela nous raconte les difficultés de dire les sentiments, les maladresses d'expression ( Gentle qui se fâche à cause de l' "abandon" de Motor qui est allé à un rendez-vous amoureux.) et les tâtonnements pour se connaître. La narration peut paraître un peu brouillonne mais elle est logique, il manque juste un peu explications sur la relation entre la jeune fille et Motor ( ils ont eu un problème dans le passé : a-t-il pardonné? a-t-il passé l'éponge et rien dit à la jeune fille? ou veut-il continuer coûte que coûte cette relation afin de cacher ses véritables sentiments? Le narrateur nous laisse peut-être le champ libre pour notre imagination. Sinon c'est doux et j'ai aimé que l'on est le temps de voir l'histoire se dérouler.
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Un peu d'espoir!
J'ai beaucoup aimé ce court métrage car il donne un peu d'espoir dans ce monde de brutes. Il y a de jolis moments et de beaux jeux de regards. Il y a un élément étonnant : le bureau du père pas très content d'avoir un fils gay ( c'est le moins que l'on puisse dire! ) est couvert d'affiches queer. Juste un bémol : on nous montre encore une fille "pénible et chiante" qui ne donne pas envie d'être avec elle, alors que montrer la difficulté d'être à l'aise avec une fille "ordinaire" aurait été plus élégant et surtout plus juste.Was this review helpful to you?
O cinema somos nós e nós somos cinema
Comecei 'Goodbye, Dragon Inn' em um completo estado de desconforto, sentia como se estivesse espiando por debaixo da porta algo que não deveria ver. Mas, antes que pudesse perceber, o filme me trouxe um poço de calmaria e eu já fazia parte daquilo tudo mesmo sem saber.Um filme em que pouco se fala, mas muito se diz. O ritmo das pessoas nos espaços é o coração pulsante do cinema. Cada passo, respiração, mastigação ou resquício de som vindo do cinema nos traz a ideia de um organismo vivo, de um corpo em funcionamento. Um corpo que está sempre lá e não nos abandona em nenhum momento do filme. Um corpo que existe mesmo que ninguém mais lembre do que um dia já foi, porque alguém permanece ali. Um corpo igual porém sempre diferente.
A maneira como o filme conecta os trechos de falas do Dragon Inn (1967) em exibição com as cenas do cinema me tocou profundamente e foi aí que refleti sobre a vida e como tudo sempre é um fluxo. Um constante estar, viver e lembrar. Nós vivemos desse ciclo e o cinema também.
Pra mim, essa é uma história sobre o cinema, sobre pessoas, sobre a vida, sobre memória e também sobre nada. E que história linda.
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