Verdadeiro dramalhão
Estou gostando mesmo com situações mal explicadas e alguns exageros na atuação. Os cenários são aqueles de grandes mansões e repetem algumas situações de sempre: qualquer coisa saem a socos, por exemplo. Mas o enredo promete o clímax e daí talvez todos sejam felizes, exceto a megera. O que me atrai é o New Thitipoom, em seu primeiro papel de vilão. Sexy, mau-caráter e lindo de viver. Há muita disputa, uma jóia reveladora, mocinha linda e humana, irmãos separados. O figurino, no geral, bem bonito.Was this review helpful to you?
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My extraordinary
A princípio gostaria de dizer que boa parte da minha frustração com essa série, foi justamente por ela ter sido muito aguardada. Isso num cenário onde as Filipinas ainda estavam mergulhando no mundo BL, por isso essa série, apesar de não ser uma das melhores produções, está longe de ser a pior.A atuação do elenco é apenas razoável. A série é ambientada na universidade e na casa de Ken, mas tem locações externas que proporcionam uma bela fotografia. Outro detalhe que gostei muito foi a trilha sonora.
Com relação a história, num primeiro momento fiquei chocada com o final, pois detesto finais tristes. Mas depois de uma análise mais aprofundada percebi que essa série traz uma crítica social importante, contra o preconceito e a hipocrisia da sociedade. Sandee num ato de ciúmes, procurou a mãe de Ken e deu a entender que ele e Shake eram mais que amigos, esse já foi um ato discriminatório, pois para ela ele estava fazendo algo muito errado, e a reação da mãe foi ainda pior... nem após as mortes deles, elas conseguiram se declarar culpadas, e a justificativa de ambas para causarem tudo isso, foi ciúmes de mãe e amiga... depois deles mortos, elas agora aceitam o relacionamento que não iam permitir que eles vivessem se tivessem sobrevivido. É interessante problematizar essas ações, fazer com que as pessoas reflitam sobre o que o seu preconceito e intolerância podem causar na vida dos outros, por isso eu indico a série, mas que vcs assistam com a mente aberta para entender a mensagem que ela passa.
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Mignon
Pour une fois, nous avons droit à un BL thaïlandais qui ne nous gave pas avec des longueurs inutiles. Et pour cause, il n'y a que 8 épisodes qui ne dépassent jamais 30 minutes, et d'ailleurs, si on coupe les génériques de début et de fin ainsi que les récap des épisodes précédents et du suivant, ça réduit encore la durée. On n'a donc pas le temps de s'ennuyer, ce qui est un premier point positif.L'originalité du scénario est aussi un aspect que j'ai apprécié. Attention, quand je dis "originalité", ça n'indique pas une absence de clichés - parce que des situations convenues, à commencer par les bisous accidentels et très improbables qui durent plus de 10 secondes, il y en a à la pelle. Je fais allusion au fait que l'histoire se passe dans le milieu professionnel, avec des adultes dont l'un est tailleur et l'autre est l'héritier d'un homme qui a trahi le père du premier, et qui souffre en prime d'une phobie l'empêchant de sortir de chez lui. Des éléments intéressants qui, s'ils ne nous surprennent pas des masses, ont le mérite d'apporter un vent de fraîcheur dans le paysage des BL thaïs, prouvant que la Thaïlande est désormais bien décidée à nous offrir des scénarios diversifiés. Cela a droit à quelques encouragements, du moins à mon sens, quitte à redevenir sévère plus tard, quand le marché sera suffisamment inondé de scénarios hors-universitaires et qu'on aura vraiment de quoi comparer.
Je ne dirai pas que les deux acteurs sont particulièrement doués, par contre ils sont très à l'aise dans les scènes intimes, pas de bobine gênée, d'air débile ou d'hésitations ridicules. Là encore, une nette progression appréciable et comme l'ont déjà mentionné les précédentes critiques, les voir torse nu est un plaisir pour les yeux. Leur romance est mignonne, elle ne vole pas très haut mais ce n'est pas non plus ce qu'on lui demande.
Là où le drama a réussi à me surprendre, c'est sur l'angle de la rupture familiale. L'approbation des parents et la réconciliation sont souvent un thème important, d'ailleurs la famille est une des valeurs fondamentale de la Thaïlande. Ici, le père de Nawee est un parfait connard, et sa belle-mère et son frère légitime ne sont pas en reste. Alors je ne suis pas très sûre que la décision de Nawee de rompre avec sa famille toxique soit bien perçue en Thaïlande (d'habitude on trouve un procédé scénaristique pour que tout rentre dans l'ordre), mais pour un oeil occidental comme le mien, cette décision m'a semblée tout à fait appropriée et plutôt inhabituelle, dans le bon sens.
Sinon, je dirais que cette petite série reste plutôt convenue et assez vite oubliable, mais suffisamment agréable pour passer un moment sympa. Le court format ne m'a aucunement dérangée dans la mesure où cela permet de se concentrer sur l'essentiel. Il y a clairement un effort pour nous proposer un scénario différent et un peu plus adulte, en bref, ne crachons pas dessus.
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Toute la vérité ? Rien que la vérité ?
Le plot est intrigant : la rencontre, puis la relation, enfin la romance entre un architecte (rigide) détestant le mensonge, et son assistante (pauvre mais chaleureuse, généreuse, pure.... et menteuse). Elle ment, pas pour tromper, mais parce qu'elle ne veut pas blesser les gens, manque de confiance en elle, ne sait pas dire NON.Ce CL est excellent. Ils sont beaux, talentueux et développent à l'écran une réelle alchimie. Leurs moments cute, de tendresse, sont vraiment ce qui maintient tout l'intérêt du drama.
En effet, quelque soit le mérite des acteurs, les personnages secondaires manquent d'intérêt ou de cohérence :
- la partenaire (love triangle) passe abruptement du comportement de "meilleure amie+ partenaire compétente" à "la peste acharnée prête à toutes les magouilles", puis à la "traitresse qui veut se venger d'avoir été éconduite" , pour revenir (en une 1/2 journée) au droit chemin et au repentir... Crédible , NON !
- le SML qui veut se venger d'une faute +/- imaginaire commise par son meilleur ami 13 ans plus tôt. La psychologie de ce personnage est confuse, complexe, pas très crédible. Je plains l'acteur qui a dû interpréter ce personnages.
- Le CL2, très cliché, entre l'amie intrépide et le jeune stagiaire (carrément puéril :( )
Etc.
Les obstacles sont assez banals : rivalités entre firmes, plagiat, harcèlement... Heureusement on échappe au "white truck of doom" et à l'amnésie :)
Le ton est léger. Les OST sont bonnes. Cependant, la narration est assez lente, s'attardant parfois longuement sur des scènes/personnages inutiles ou sans intérêt.
Conclusion : de très bons acteurs, un CL très mignon, mais une histoire mal écrite.
Morale de l'histoire ; le monde n'est pas noir ou blanc. Tout est +/- gris...
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Polecam
Ogółem to drama mi się podobała i chciałabym zobaczyć kontynuację...Tutaj jakieś moje uwagi czy coś w tym stylu:
- Początek mnie wkurzał oraz pojawienie się tamtego typa (Pluto)
- Kocham Playa i Firsta <3
- Zakochałam się w tym totalnie
- Szkoda, że było takie krótkie
- Widać ten niski budżet
- Te reklamy w trakcie dosłownie wszystkiego mnie tak denerwowały i były takie nienaturalne
-Wkurzyło mnie zakończenie pomimo, że było szczęśliwe
- Króliczek Firsta to jedna z najlepszych postaci
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Il 2021 è stato un buon anno per i Drama cinesi
E questo titolo lo dimostra appieno. 40 puntate non noiose e ripetitive, tanta azione, storia d'amore giusta e non ingombrante e sopratutto personaggi abbastanza realistici. La storia ha un filone principale che segue i due personaggi principali, una dottoressa militare e un capitano delle forze speciali dell'esercito. Si incontrano in un giorno qualsiasi, lei diventa ostaggio dei terroristi e lui fa parte del team che deve liberare l'ospedale e tutti i suoi occupanti. Poi per alterne vicende si trovano a condividere lo stesso appartamento. Poi ci sono i filoni secondari che seguono le vicende dei ruoli di supporto che non sono affatto da meno della storia principale con cui si intrecciano e che aiutano ad andare avanti in momenti che potrebbero invece essere stagnanti. È una bella storia e avvincente? sì Lo consiglierei? Sì a tutte quelle come me che amano guardare intrecci complessi, in questo caso il contrasto di traffici internazionali, che vogliono anche un po' conoscere la Cina attraverso il rispetto, i rapporti familiari e anche lavorativi, e che vogliono vedere qualcosa che sia anche stimolante, i protagonisti di queste storie hanno tutti lavorato duramente per occupare i posti che occupano ma non disdegnano anche l'andare oltre le rigide regole se necessario salvare vite o trovare soluzioni innovative. Insomma c'è un po' di tutto e a me è piaciuto molto, al punto tale che, non essendo una da drama troppo lunghi, queste quaranta puntate, invece, me le sono godute tutte!Was this review helpful to you?
Parmi les quatre, mon cœur a fini de balancer
Dans l'Égypte ancienne, des rituels pratiqués sur le corps du défunt roi, lui octroyaient la vie éternelle et l'approbation des dieux tout puissants. N'étant pas un dieu, malgré ma tête piaf, mais ayant déjà dévoré trois saisons et un spin-off de la série Satsujin Bunsekihan, je ne pouvais qu'être aux champs d'Ialou, en apprenant la nouvelle d'une 4e saison.Pourtant, rien n'est gagné d'avance avec cette nouvelle adaptation de l'œuvre d'Asami Kazufumi, devenu maintenant culte dix ans après le premier roman. Comme son héros fétiche, Le détective Takano Hideaka, nous devrons nous adapter à une nouvelle équipe, une nouvelle ambiance et des nouvelles méthodes de travail. Mais nous devrons surtout nous habituer à la disparition du casting de Kisaragi Toko, interprétée par Kimura Fumino dans les trois premières saisons et véritable héroïne de la saga. Un pari audacieux de la part du romancier, mais davantage encore de la production. Sachant à quel point il est important de fidéliser les fans par des héros récurrents, même si Aoki Munetaka est un acteur à la forte personnalité, apprécier un nouveau premier rôle féminin au côté de notre Shunin préféré, sera aussi compliqué que pour lui de s'adapter aux méthodes de la Sécurité Publique.
En effet, pour ceux qui ont suivi la saison 2 (la moins bonne à mon avis) on avait déjà les prémisses de l'antagonisme des méthodes de travail et de la philosophie de ses deux branches prestigieuses de la police japonaise. Muté du département d'investigation des crimes, souvent en série, à l'antiterroriste, après les évènements de 2019 et la fin de la saison 3, on redécouvre Takano, un an après, faire ses premiers dans cette fameuse sécurité publique. Un peu comme Kisaragi dans la première saison, perdu et ré( ou dés)-apprenant le métier depuis zéro. On peut comparer la SP à notre DGSE, ou au FBI américain. La culture du secret, le non partage des informations et le manque d'empathie pour les victimes isolés ou colatérales au bénéfice de la société, vont à l'encontre de la philosophie du bureau d'enquête criminelle et des valeurs de Takano. Mais on connait ce qui le motive dans ce changement de carrière et son parachutage dans ce nouvel univers est tout à fait cohérent avec les romans de Asami Kazufumi
L'œuvre est respectée. Le sentiment de malaise dû à l'absence de Kisaragi et des autres membres de la section 11 s'estompe dès le deuxième épisode, tant l'histoire est menée tambour battant et vous prend aux tripes. On retrouve cette tension dû à la traque d'un sérial killer qui se joue de la police, mais sans redite dans le milieu anarchiste, sectaire ou terroriste. Des connexions se font avec l'ensemble de la saga, donnant à cet opus une dimension indispensable alors qu'elle pouvait paraitre au même niveau que le spin-off Doremi. On est ici dans ce qui se fait de mieux en termes d'écriture de romans policiers/espionnages. La série prend ici un nouveau tournant. La production a encore passé un cran, malgré le tournage en période COVID. On est ici devant une série léchée techniquement et visuellement, jouée par des acteurs qui ont de la gueule et une gueule. Pas de top-modèle, pas de jeunes éphèbes. Des héros matures comme Matsuyuki Yasuko, parfaits dans leur rôle. La pétillante maman de Nagano Mei dans Hanbun Aoi nous offre ici une tout autre palette de son immense talent d'actrice. Elle fait la gueule, certes, pendant 95 % du drama, mais comment aurait-elle pu faire autrement ?. Elle habite le rôle de ce flic dont la vie privée est impossible et les choix éthique et cornélien sont quotidiens. Kimura Fumino est oublié dès le deuxième épisode, et même si beaucoup d'anciens croisent la route de Takano, son absence n'est plus un problème. Les scénariste s'amuse à faire des clins d'œils à des scènes des autres opus, mais ce fan service est inutile, tant ces 10 épisodes se suffisent à eux même. Le défaut de courte durée (6 d'habitude) a été gommé, comme beaucoup d'autres d'ailleurs (pas de flash back sépia…). Mais les habitués risqueront quand même de voir le détail qui pourra divulgâcher les révélations, car il y a toujours cette proportion à parsemer des images trop explicites pour ne pas être des indices. On ne devrait pas se douter du coupable avant les enquêteurs. On devrait être surpris, alors arrêtez les plans fixes sur certains figurants SVP, ça gâche tout.
Clairement, on peut prendre du plaisir, ou plutôt de l'angoisse et un grand coup de stress à regarder cette saison, sans connaître le reste de la saga. Le problème, c'est que vous aurait l'irrésistible envie de voir les préquels après celle-ci. Et là, je dis non, interdiction de commencer par la fin. D'autant plus que malgré les 7 ans du premier épisode, il n'a techniquement et en matière d'écriture pas pris une ride. Je l'ai revu pour écrire ma toute récente critique de Mishi no Mayu pour en être convaincu. Les thèmes musicaux cultes ont été réarrangés pour l'opus 2022, mais sans les trahir. Toujours empreins de spiritualité, avec ses voix et l'ajout d'un orgue, rentrant en résonance avec les milieux sectaires et de l'ancienne Égypte. Mais elle sait se faire intense quand on retrouve ses fameux moments de tension, lampe torche et flingue à la main, autre marque de fabrique d'une saga qui revient nous hanter tous les 2-3 ans, toujours plus forte, toujours plus noir, mais malheureusement, toujours plus à l'image d'une société violente, déboussolée, en quête de sens et de spiritualité.
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When You Be Me
untuk ketiga kalinya aku nonton drama china, aku benar-benar sangat selektif dalam memilih tontonan drama, baik itu drama china maupun drama korea. Di drama ini benar-benar semuanya aku menyukainya baik itu akting keseluruhan para pemainnya, alur ceritanya, bahkan plot twist dari akhir ceritanya. Aku bahkan tidak akan mengir jika itu semua hanyalah hayalan belaka dari seorang Mu Xiangxiang yang sedang mencoba gim di masa depan. Aku benar-benar terbawa perasaan dan benar-benar tertipu. Aku sunggu menunggu kelanjutan dari kisah ini. Aku sungguh ingin melihat kelanjutan dari cerita ini. ಥ‿ಥWas this review helpful to you?
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Tiene todo lo que quieren las guachas
Recién la terminé de ver y todavía no lo puedo creer. La cantidad de veces que lloré con este drama, incluso con personajes que sabía que iban a revivir, es increíble.Sufre de lo que sufre este género: los primeros cinco capítulos son lentos y sentís que nada de lo que sucede está muy atado. Lo que me gustó mucho es que al principio la trama apuntaba para un lado y después termina girando tanto que apunta en una dirección opuesta. El guión está muy bien escrito y estos cambios no parecen bruscos. Por el contrario, cada personaje tiene vida propia y va construyendo la trama, lo que se agradece. Parece una tontería pero muchas series caen en la tentación de que la trama justifica todo.
Así los personajes te van guiando a través de las decisiones que toman a partir de lo que les pasa. (SPOILERS A PARTIR DE ACÁ) Me sorprendió mucho cuando Yun He tiró a Chang Yi por el acantilado y lo apuñaló que ella no se muriera en ese mismísimo lugar, fue super angustiante porque actuaba a sabiendas de que esa era la última vez que lo iba a ver a él. Le dijo cosas horribles para que no se quedara atado a ella, todo para que después sobreviviera y la encerrasen una vez más en una prisión. Fue super frustrante ver como ella, un personaje que había anhelado la libertad y siempre tenía que tener mil ojos en la espalda para que no la mataran ni torturaran más, termina siendo primero el experimento del jefe de la aldea y DESPUÉS del Maestro Inmortal. Terribles ganas de golpear la pantalla. Yun He es un personaje entero que sabe lo que quiere, también me sorprendí mucho cuando tuvo la oportunidad de escaparse de la prisión pero aprovechó mejor para inspeccionar y descubrir que era lo que tramaba en verdad el Maestro para así finalmente descubrirnos que él es el villano en realidad, aprovechando en el medio para seguir explorando sus nuevas habilidades y rescatar a los otros Inmortales. Su habilidad para manipular está pulidísima y, remarcando una vez más la calidad del guión, no parece ser fingido. Yo me creía lo que ella les decía. Como espectadora me parece clave esto último.
Cuando Chang Yi la rescata y la vuelve a encerrar casi vuelvo a golpear la pantalla de vuelta. Él estaba extremadamente dolido, lo entiendo. Ella no quería decirle la verdad para que cuando al fin se muriese él no sufriera tanto, eso también lo entiendo. Me gustó muchísimo cuando Yun He revivió, lo abrazó y le confesó que en realidad nunca lo había traicionado, pero como se iba a morir tenía muchísimo miedo de decirle la verdad porque eran cosas que ella no quería enfrentar. 10/10 en comunicación y desarrollo de personaje. Todos vivimos alguna vez el miedo a decir una verdad y que explote todo a la mierda.
No quiero seguir extendiéndome, pero esto debe ser nombrado porque me pareció ÉPICO, La historia comienza cuando Shun De, la princesa inmortal, captura a Chang Yi para domarlo, quitarle su cola de sireno y hacerse un VESTIDO CON LAS ESCAMAS. Sí, así como lo leen. Al final, gracias al poder del Principe Inmortal, Chang Yi revive y la fruta usada para traerlo de vuelta le devuelve la cola de sireno. En la batalla final quedan enfrentados Shun De con Chang Yi, este último atrapa a la princesa con hielo y, para tirarla a la formación, le pega un colatazo que mamita. Lo repetí como 3 veces. No me arrepiento de nada. ÉPICO QUEDO, ÉPICO. Segunda temporada, capítulo 20, minuto 12:25. De nada.
MI ÚNICA QUEJA NO ES QUE LOS PERSONAJES SE MUERAN, ES QUE SEAN LOS MISMOS. Li Shu, mi hermoso Li Shu se muere DOS VECES. Chang Yi, una vez. Yun He DOS VECES. Luo Luo nos amagó feo, pero se quedó.
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*O quanto um dorama pode te tirar da realidade ? O quanto um dorama pode te distrair das coisas ruins da vida ? O quanto um dorama pode te ensinar ? Gente FIGHT SONG me prendeu, me encantou, me distraiu, me ensinou, me emocionou, me motivou, que linda história 💕, que personagens incríveis, Kaya Kiyohara e Shotaro Mamiya super combinaram OSU OSU , Fuma apesar de ter ficado na friend zone , foi o apoio constante da personagem da Kaya e a animação do dorama, para maratonar ele com certeza é daqueles doramas que vc revira a noite, dorama perfeito , redondinho, que soube com delicadeza, tratar um assunto da deficiência auditiva, parabéns ❤️❤️❤️❤️.Só fiquei esperando ouvir tb a canção Fight Song 🎶 , mas entendo que a música está no coração*
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Gostei das partes fofas e é bom para passar o tempo, apesar de ter partes que me irritaram e confesso que queria que focasse mais no policial e em Yoon Min, em cenas com os policiais, seria divertido, como um tipo de Três Solteirões e um Bebê ou em filmes de comédia com crianças Também achei a protagonista fraca e imatura, o romance não acrescentou em nada.
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Massante
Decepcionada estou, este drama parecia ser muito interessante vi vários clipes dele no youtube e fiquei bem enteressada porem tudo foi por água abaixo logo no primeiro episódio.Quando você começa a pular partes de um drama logo no primeiro episódio e um mau sinal e quando você começa a pular ainda mais nos proximos episódios é hora de largar.
O inicio para mim foi super arrastado o ritimo era absurdamente lento, achei os pensonagens desinteressantes nada ali era crivel , a protagonista feminina era irritante meus olhos sangravam vendo sua personagem na tela, ela era bem infantil , fazia aquele esteriótipo de garota inocente e meio burrinhae isso é algo que da os nervos. Pode ser que ela amaduresça com o passar dos episódios porém eu que não vou arriscar meu precioso tempo nessa aposta.
O protagonista masculino e uma parede eram a mesma coisa, entendo que era para o personagem ser sério porem não havia expressão ali.
Em fim esse relamente não foi minha xicara de chá.
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Uma longa, rica, devastadora e apaixonante experiência
Como primeiro lakorn BL produzido, ainda mais num grande canal, The Miracle of Teddy Bear entregou tantos núcleos e temáticas que a princípio pareceram estranhos e avulsos conforme se questiona "O que isso tem a ver?" Mas conforme os episódios passam e todas as grandes abordagens surgem de maneira bem detalhada e suficiente, levando todo o tempo necessário para que se desenvolvam cada um dos personagens necessários.Personagens esses que possuem cada um o seu momento, sua essência e seus ideais, transmitidos de maneiras belíssimas por atores incríveis! E que desenvolvimento de personagens perfeito, toda a jornada entre que rompe um gigantesco ciclo foi escrita de maneira brilhante!
O desenrolar da história passa de maneira longa mas que nenhum momento causa a sensação de que está parado pois é uma obra tão rica que cada momento vale a pena de se prestar atenção.
E que desfecho incrível, sempre deixado claro para o telespectador como terminaria mas que mesmo assim possui um impacto gigantesco, com uma fotografia absurda e diálogos e monólogos extremamente profundos.
Uma obra rica, profunda e totalmente apaixonante!
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Uma comédia que perde toda a graça em pouco tempo.
De uma forma geral, possui uma comédia bem escrachada e até ridícula, mas funcionava até que bem até chegar num momento em que os protagonistas já não precisariam mais dela.Os personagens em geral são bem rasos e sem grande peso narrativo, assim como possuem enredos completamente vazios e mal trabalhados, o que piora com a atuação que muitas vezes não consegue convencer que os personagens realmente acreditam no que falam ou sentem. Além disso, mts são extremamente estereotipados de uma forma bem desagradável de assistir.
Além de uma tentativa péssima de causar uma reviravolta nos últimos episódios que seria completamente esquecível se não tivesse sido tão angustiantemente longa, fraca, irritante, frágil e descartável.
Pode servir como um entretenimento qualquer num dia que queria assistir algo descompromissadamente mas apenas até certo ponto.
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Um dos BLs tailandeses mais lindos já feitos!
A série possui uma história que se permite tomar o tempo necessário para que se sinta tudo que é necessário, a saudade, a dor, a angústia, o afeto, a segurança, entre outros.Um desenvolvimento de personagens muito gracioso que você compreende cada ponto em que os caminhos tocam os protagonistas, grande parte bem entregues pelo cast principal que apesar de ainda meio cru em alguns momentos, conseguiram fazer um bom trabalho.
Alguns probleminhas aqui e ali quanto a captação de áudio às vezes mas nada que faça a magia dessa experiência se desfazer.
Muito profundo e que abordou um tema tão grande de uma forma compreensível e que não foi vazia ou superficial, mostrando todas as consequências de diversas ações.
Definitivamente, um dos BLs mais valiosos e que merece receber atenção!
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